Echange d’expérience pilotage biplace Magnum … et les autres aussi, bien sur !

bonsoir,
je reviens juste sur le posé avec airbag, pour mùa part sur mon site hors de question l atéro n est pas un des plus évident ( apparemment si on sait poser chez nous on pose presque partout) le terrain est en pente et en atéro vend de nord on peut perdre vite 1m sur l approche ou prendre des bulles et re"descendre aussi vite , pour ma part je part du principe que si on perd un ou 2 m en parachutale avant juste de toucher le sol l airbag va protéger mais pas assez sur

il vaut mieux que ce soit la cheville ou les jambes qui encaissent pûtot que le coccyx et donc la colonne vertébrale , on peut se remettre d’une cheville foulée voire une fracture des membres inférieurs mais rarement de fractures de la colonne vertébrale

donc pour ma part ( cela n engage que moi ) et pour mes passagers c est toujours approche debout prêt a amortir avec les jambes et bras si besoin bon des fois aussi :taupe:

je n ai pas encore testé le posé à coté , a essayer peut être avec des écarteurs souples, au départ ce soit être plus facile qu avec des rigides

merci a tous pour ces infos personnelles karma+

Schmeich,

Tu as parfaitement raison de préciser l’éventuelle dangerosité d’un posé AirBag sur un terrain et/ou dans des conditions aéro non adaptés. :affraid:

Maintenant, pour ma part, je pense que c’est une technique à envisager quand le terrain et l’aérologie s’y prétent et que … le passager le requiert. :koi:

Exemple perso ; mon dernier biplace je l’ai fait au Brunas avec une brise assez forte mais qui ne me posait pas problème au déco avec mon passager, un ami de très longue date qui tenait absolument à faire son premier vol parapente biplace avec moi. Ce qui est de sa part une très belle marque de confiance et pour moi un honneur et un vrai bonheur. :smiley:

Le vol fut une heure de vrai plaisir puis vint le moment de songer à atterrir (en vérité j’y ai évidemment réfléchi avant de décoller) :grat:

Deux possibilités, soit posé au déco avec l’avantage de très peu de vitesse/sol et l’inconvénient de n’avoir personne de préparé pour me prendre les commandes dès les pieds au sol pour affaler la voile avant que nous ne nous fassions éventuellement culbuté et tirer au sol (ça ronflait de plus en plus au déco). biroute

Ou poser à l’attero officiel ou au vu de la configuration du terrain le vent était faible et je le sais par expérience avec un gradient prévisible en sus.

J’ai choisi l’option deux et malgré toute ma volonté de freiner à fond et toute sa volonté à mon passager de courir comme je le lui avait conseillé/demandé, je l’ai culbuté quand lui à trébuché une fois ses pieds au sol. :oops:

Détails qui ont leur importance, il est dans une forme physique et psychique éblouissante pour ses quatre-vingt printemps et cerise sur le gâteau ne demande qu’a recommencer dès que nous le rejoindront sur Ceret. :ppte:

Et c’est bien une des raisons qui m’ont poussé à initier ce fil de discussion, lui permettre de revivre ce plaisir inimitable de voler mais avec encore plus de sécurité. Déjà pour ne pas risquer les foudres de Mimi, sa chère et tendre :grrr:

Et je crois sincèrement que toutes les interventions déjà faites sur ce fil vont m’y aider … et d’autres aussi. :pouce:

Bonne soirée,

Intéressante et bien structurée cette discussion

J’ai une centaine de vols avec un Magnum que j’aime beaucoup.
Je pense que son posé sans vent est un peu particulier par rapport aux autre biplaces:
tendance au “flair” très sympa pour le pilote, moins pour le passager.

Un usage qui n’a pas été mentionné pour les trims:
détrimer légèrement permet de compenser le fait que ma voile vieillit et est un peu paresseuse au gonflage

Pour le reste je me suis bien reconnu dans ce qui a été écrit sur ce sujet

Merci

@ WOWO

pour ce qui est d affaler la voile je dois mettre en place ce qu a deja fait un des pro de mon club, il a préparé 2 petite balles de tennis avec petit crochet qu il laisse attaché au passager, si il voit qu il y a du vent fort il les mets en vols sur les maillons elevateurs C ils sont de couleurs assez flash orange et bleu je crois, comme cela pour affaler la voile par vent fort a l atero pas besoin de chercher ou sont les “C” ils tire sur ces petites balles, affalement de la voile tres rapide

@SPJ oui tout a fait lorsque la voile commence a veillir le f ait d utiliser les trims pour acceler la voile permet un meilleur gonflage

:forum:

Super topic avec plein d’infos…

Je vole aussi en Magnum 41 avec quelques essais sous Golden 2 light 38.
J’ai trouvé ce dernier bien sympa mais plus flou à la commande, moins vif au pilotage mais très solide en l’air. Je galère un peu plus pour le poser par manque d’habitude peut-être.
C’est le seul bi avec lequel j’ai “culbuté” des passagers.

J’ai la Qbi depuis moins d’un an donc une cinquantaine de vol.
Avec le Magnum, au déco, on en vient vite à faire comme tout le monde, comme on nous avais dit à la Qbi. En effet, on se retrouve à décoller toujours avec 1cm détrimé. Soit pour aider en absence de vent, soit pour calmer avec un peu trop de vent et pas mal de poids. En l’air, les bours d’aile peuvent “clignoter” en thermique mais cela ne m’a jamais alarmé.
Ce qui m’a surpris au début du biplace c’est le plaisir que j’ai pu rencontrer en pilotage. C’est tout sauf un camion et un jour où tu ne sortirais pas ton aile car cela ne crosse pas, tu te retrouves en bi à te battre et piloter comme un diable. C’est quasi une aile solo et très chargé cela devient un jouet dément. J’adore avoir des gars de près de 100kg.

Au déco, jamais eu de problème, un briefing simple et clair pour les passager et cela se passe bien.

En l’air j’utilise un max mes passagers. Leur ventrale est ouverte à fond, il ressentent donc tout et je leur demande participer en leur disant que j’ai deux solutions pour piloter: tout à la commande ou avec nous deux à la sellette et avec un peu de commande. Et cela fonctionne très bien, les passagers les plus à l’aise attrapent bien le coup et cela permet de voir quand ils sont fatigués car ils ne répondent plus correctement aux sollicitations en penchant du mauvais coté.

Au posé, je suis un fan du méga flair et du posé à l’arrêt avec un bi tout détrimé, voir une prise de vitesse. Je préviens mon passager qu’il va rester assis jusqu’à la dernière seconde, que le sol va arriver très vite, qu’il doit se préparer à courir mais que normalement on ne fera que quelques pas. Même avec des stressés, cela fonctionne bien. Après je pense que la pratique de la mini-voile m’a beaucoup aidé pour le biplace car on retrouve pas mal de similitudes du point de vu technique, surtout au posé.
Cette technique de flair présente bcp d’avantage à mon sens:

  • Si tout se passe bien, c’est génial car le passager à un dernier coup d’adrénaline avec la vitesse d’approche et se retrouve 1sec plus tard sur ses pieds à l’arrêt comme si il était descendu d’un escalier.
  • Si le passager ne sort pas, tu le pose à l’arrêt sur l’airbag sans vitesse horizontale donc sans risque que le culbuter: lui assi, toi sur tes guiboles tranquille.
  • Si pour une raison ou une autre il te faut changer les plans, tu peux toujours posé “classiquement” en courant en dosant les freins et c’est là le gros avantage selon moi.

Après, en fonction des conditions, il m’arrive de posé trimé, voir de faire sortir mes passagers de leur sellette en amont si les conditions sur turbulentes. Je garde en option le posé airbag si besoin un jour mais je ne m’en suis jamais servi.

Je ne sais pas vous mais mon petit plaisir est la phrase du passager juste en sortie de déco, dans 90% des cas le passager qui s’attendait à faire un triple salto avant au décollage sort alors qu’il est encore penché en avant et pendu comme un cochon et exprime avec surprise et plaisur un “mais c’était tout doux” vu qu’il n’a pas cru un mot de ton briefing :wink: .

@ Champlo,

C’est vrai que la sortie de déco … ou un peu plus loin, une fois le passager bien installé dans sa sellette, ressentir comment son anxiété lié à l’inconnu de l’aventure qu’il vit laisse place au plaisir est une expérience très agréable. :koi:

J’utilise moins mon passager que toi et je suis sans doute moins engagé dans mon pilotage Bi que Toi (moi + vieux, les passagers + vieux … ?) :clown:

Va falloir vraiment que je vérifié quel est la position de mes trims pour un réglage au neutre. :canape:

@ Schmeich,

Ton idée de commandes déportées et rajoutables pour permettre (si j’ai bien compris ?) d’affaler au “C” est une idée intéressante. Je me suis rajouté des arrêts de porte de salle de bains (1/2 boule, 38 mm de diamètre) sur les commandes de mon Artic 2. J’ai déjà pensé en faire de même pour le Magnum et pourquoi ne pas installer les même “colorés” sur les C pour l’affalement rapide par brise forte à l’attéro. biroute

@ SPJ et Schmeich,

Vous parler tous deux de l’intérêt de de-trimmer vos Magnum pour pallier à leurs fainéantises à la montée lors des gonflage. Vous avez constaté/remarqué ce vieillissement avec combien de vols/d’heures ? :shock:

@ SPJ,

Développe donc STP, ce que tu trouve de particulier au posé sans vent du Magnum rapport à d’autres Bi testés. :cry:

Merci pour toutes vos contributions, :pouce:

Bonne nuits,

Hello Wowo. Si tu es dans le coin, je serais au Treh demain.

Bonsoir La Brune … et tous les autres,

La Brune, cela aurait été un plaisir de te rencontrer et échanger de visu sur le Biplace en particulier et le Parapente en général mais cela ne sera pas pour cette fois voire cette année si ce n’est en novembre…

Ce n’est que partie remise :trinq:

Comme chaque année depuis quelques années, nous sommes au pied des Albères à une poignée de plumes du Canigou depuis hier et jusqu’à fin octobre. :soleil:

Le Magnum est de la partie et des copains arrivent demain. :bu:
Notre ami de 80 printemps évoqué quelques post plus avant est déjà sur place et n’attend que mon invitation pour un 2èm vol. :dent:
Bon ici et ce de façon global, les sites sont un peu plus exigeant qu’à Millau ou j’ai pu lui offrir, il y a une semaine juste, son 1er vol en parapente biplace.
Ce vol fut parfait excepté l’attéro ou je l’ai (légèrement) culbuté. Le suivant, je le veux parfait d’un bout à l’autre. C’est pourquoi les copains, ~30 ans de moins … comme moi, vont servir de cobaye pour avec, tous ce qui s’est déjà dit dans ce fil, me permettre d’améliorer ma technique.
Puis Francis aura droit à son second vol et, peut-être, sa Mimi adorée aura envie aussi d’essayer ? :koi:

En attendant, le fil est toujours encore ouvert pour tous ceux qui voudraient y apporter un peu de brainstorming supplémentaire. :grat:

Je suis étonné que le seul pro qui s’est ouvert sur sa propre expérience fût JJ. Ou reste les Patrick, JC d’ici et de la et autres Choucas … ? :prof:

Bon dimanche et bon vols à tous,

@ WOWO

bonsoir, je ne vole pas avec un magnum je volais avec un bluetwo qui etait à 50% de vie, lors de deollage court ou avec poids léger ou pas de vent le fait de de trimmer acceler la montée de la voile pour le moment avec mon cargo pas besoin 75% de vie. un des prod de mon club le ressent sur son takoo , lorsqu il était neuf il pouvait gonfler même trims fermé c’est a dire voie ralenti ( sur les takoo au neutre il y a 1cm de débattement pour freiner encore ) maintenant environ 50% de vie de son bi , si il le fait le bi monte vraiment très lentement.

pour ce qui est d affaler au “c” oui c est une bonne chose , sur mon blue two il y avait des “b stall” poignées specifiques pour tirer sur les B pour affaler avec les B

Lorsque un des ces constructeurs reprendra le meilleurs de toutes les voiles on pourrait avoir un truc super

derniere chose avec vent violent et suivant les voiles il est possible de pouvoir compenser avec les “B” c est a dire prendre les"A" dans une main les “B” dans l autre pour reussir à bientemporiser la montée de laile sans se faire chooter, cela marche avec le cargo , apparemment avec les gradient aussi

:trinq:

trois jours déjà que plus personne ne se sent inspiré par ce fil de discussion sur le pilotage biplace. Il est temps, je pense, de faire une (1er ?) synthèse des différents apports qui se sont vus apporté par les uns et les autres intervenants.

Mais d’abord, il me semble de bon usage de remercier ceux qui se sont donnés la peine d’enrichir la discussion par le partage de leurs expérience, Merci donc à (par ordre d’apparition) ; La Brune, Cyrille, Thierry C, Schmeich Ch, Kriko, JJ, Fraclo, Spj, Champlo. Un karma+ à chacun de vous pour votre contribution.

J’avais espéré en fait, plus d’emballement sur le sujet au vu de tous les forumeurs rencontré sur d’autres fils traitant de parapente biplace sur notre forum.

Surtout je trouve dommage que les professionnels du parapente :prof: qui interviennent souvent sur :forum: n’aient pas eu plus d’envies de partager leurs expériences certainement riches de la pratique du parapente biplace.
Peut-être finalement est-ce un sujet par trop sensible pour nombre d’entre eux ? Peut-être qu’il existe une réticence inconsciente chez eux de partager leurs astuces avec les biplaceurs associatifs qui les privent, c’est certain, d’une clientèle potentielle ? :canape:
Tans-pis, quoique le fil est toujours encore ouvert et qu’il n’est jamais trop tard pour bien faire ?

Venons-en à la synthèse :

Avant le déco :

On explique, on insiste sur la nécessaire implication du passager à la bonne réussite du déco. On lui donne les explications en fonction de l’environnement physique et aérologique du site et du moment (partir doucement, accélérer à ma demande, ne pas s’assoir avant d’y être invité, etc.).

On lui parle (éventuellement) aussi de sa possible (souhaitable) participation au pilotage en vol (le regard vers la plume de la direction du virage souhaité par ex.) Ceci permet aussi dans une certaine mesure de vérifier l’état de bien-être/fatigue du passager en fonction sa compréhension/répondant aux directives données.

Et sur le fait que si au décollage il peut refuser de courir … donc (peut-être) de décoller. Mais que l’atterrissage, il n’est pas question de le refuser et que pour le réussir agréablement, il est impératif qu’il suive les indications du pilote à la lettre (sortir de la sellette, courir ou lever les jambes …) Que la vitesse lors de la finale et sa forte perception à l’approche du sol est non seulement normale mais souhaitable, que la vitesse est synonyme de sécurité.

Au Déco : (pour la plupart d’entre nous, il semblerait que le décollage en Bi est plutôt plus facile qu’en solo du fait de la stabilité, de l’équilibre de la plupart des ailes biplaces)

On accroche le passager de façon à préserver sa vision, donc le plus souvent devant/bas.

Dans la plupart des cas, on décolle avec les trims réglés au neutre, sinon. On choisit après acquisition d’expériences avec la voile concernée, la position des trims en fonction du PTV (+ leger = plutôt dé-trimé), de la brise (+ fort = plutôt dé-trimé)
L’idée générale étant qu’un gonflage trimé est plus doux (lent) avec une meilleure prise en charge du fait d’un meilleur taux de chute avec en contrepartie le risque de se faire arracher.
Alors qu’un gonflage dé-trimé permet une montée plus rapide de la voile (plus serein) ce qui peut être intéressant par brise forte et/ou PTV faible, la tempo se devant d’être plus efficace et précise dans ce cas pour éviter dépassement ou tout de même arrachage.

A noter qu’il peut être utile, en fonction du vieillissement de la voile (si elle a tendance à un peu de paresse au gonflage, de dé-trimmer quelque-peu.)

A noter (et expérimenter) aussi, l’idée par brise forte au déco d’utiliser les « A » dans une main pour lever la voile et les « B » dans l’autre main pour calmer la puissance de la voile dans sa montée.

En vol :

De l’avis général, les trims en vol sont en biplace ce que l’accélérateur est en solo. Une possibilité de gagner quelques Km/h de vitesse/air avec en contrepartie une fragilisation induite du bord d’attaque. Donc à utiliser vraiment en connaissance de cause. Sur certaines ailes ils peuvent êtres à accélérer comme à ralentir.

Fort PTV ou PTV normal, on restera plutôt au neutre.

Avec un petit PTV, on choisira éventuellement de libérera un peu les trims pour gagner de la pénétration et de la vivacité/maniabilité.

Dans de petites conditions, on aura tendance à trimmer (sur les voiles ou c’est possible) pour gagner en taux de chute.

Dans des conditions turbulentes, on aura tendance à trimmer (sur les voiles ou c’est possible) pour calmer/stabiliser les mouvements pendulaires de l’aile (attention alors dans les manœuvre de ne pas sur-piloter et risquer un décrochage ou un départ en négatif) sinon (probablement) la position au neutre reste encore la façon la plus simple de gérer l’aile quand ça remue.

Enfin on libérera les trims comme on appuierait sur le barreau avec une aile solo quand il s’agit d’utiliser la réserve de vitesse pour transiter, remonter au vent ou fuir une descendance avec toujours dans l’esprit la fragilisation du bord d’attaque avec les conséquences inhérentes que cela peut avoir. :vrac:

On essaye de faire participer le passager au pilotage :koi: (s’il y est disposé et disponible) avec par-exemple le fait de lui faire tourner le regard (donc les épaules, donc le bassin) vers la plume intérieure du virage souhaité. Pour en assurer l’efficacité, il est bon de ne pas trop lui serrer la ventrale et éventuellement laisser la planchette dans les sellettes passager qui permettent l’usage en tant que cuissardes-planchette ou cuissardes pures. Attention quand-même à ce que peut donner une telle configuration en cas de grosse fermeture asymétrique. :affraid: Après je pense que si ça arrive, c’est que l’on n’a pas choisi le bon jour ou site pour faire du Bi … associatif.

A l’attéro :

Alors en Bi et pour des biplaceurs amateurs, il est probable que c’est bien l’atterrissage qui est la phase de vol qui pose le plus de problèmes ou du moins le plus de questionnement et sans-doute … de réponses. :grat:

D’abord ce qui fait l’unanimité :

Bien prévenir/rassurer le passager de l’impression de vitesse d’arrivée en finale, que c’est normal, utile, nécessaire !

Prévenir/informer le passager suffisamment à l’avance du choix de posé (debout-couru ou assis-glissé)

On est (je pense) tous d’accord qu’à l’atterrissage du fait de la multiplicité des paramètres intervenants (PTV, comportements de l’aile, typographie du terrain, condition aéro du moment, possibilités physiques et psychologiques du passager, etc.) qu’il est très difficile de généraliser une méthode unique comment gérer la manœuvre. Il en ressort :

Les uns trouvent plus de ressource en dé-trimant, les autres au neutre voire trimé. Personnellement j’ai d’abord pensé comme les premiers pour maintenant rejoindre les seconds (sans l’avoir encore testé) en réfléchissant/imageant sur l’exemple donné dans le fil à propos de l’attéro fauteuil/Handicare et avec l’assentiment qu’une aile dé-trimée/accélérée à un bord d’attaque plus fragile et que si une fermeture avec du gaz risque d’être désagréable, à raz du sol elle sera éventuellement fatale.
Après c’est vrai qu’en cas de gradient cela peut/devrait donner plus de marge avant décrochage ? Bon, va falloir essayer pour savoir !

Expérimenter (prudemment) pour savoir, c’est aussi une des vérités qui ressort de la discussion. L’expérience, il n’y a que ça de vrai !

Ne pas attendre que le passager soit cuit pour aller atterrir, cela n’a pas été formellement dit mais ça ressort quand même de la discussion, dans la mesure où l’on est d’accord de vérifier la fatigue du passager par l’incitation, de son aide au pilotage. :dodo: :oops: :shock:

Poser le passager assis/glissé est possible si le terrain d’atterrissage s’y prête et, est souhaitable pour les passager présentant une (des) faiblesse(s) de train d’atterrissage. Le freinage doit être modulé pour éviter une ressource malencontreuse et pourtant il s’agit de réduire la vitesse horizontale au maximum (pour ce qui est de peu ressourcer, il semblerait que pour la plupart des ailes biplaces cela fasse partie de leurs gênes) Si on choisi cette alternative, il est nécessaires de bien en informer le passager, d’être sur qu’il est capable de garder les jambes à l’équerre bien calé au fond de sa sellette pendant les 5 à 6 secondes nécessaires. Lui rappeler la normalité de la sensation de grande vitesse à l’arrivée.

Poser debout reste sans-doute en début de carrière de pilote biplaceur la méthode la plus simple même si de temps à autre (le temps que ça rentre) cela signifie culbuter son passager (n’en n’abuser pas avec les passagères …) :bisous:
Le but étant d’annihiler vitesse horizontale et verticale par une ressource idoine provoqué par un freinage fort et profond après une (si possible) prise de vitesse, le tout, fonction de la brise et/ou du gradient.
Évidemment il est plus que souhaitable que le passager soit debout et bien sorti de sa sellette et près à enchainer quelques pas de course à l’arrivée au sol.
Donc la aussi, informer de ceci et cela suffisamment à l’avance et bien-sur rassuré sur la normalité de la sensation de grande vitesse à l’arrivée.
Le fait qu’il connaisse son pied d’appel et qu’il le mette en avant facilite souvent ces quelques pas nécessaires.
Lui expliquer aussi en insistant, qu’un refus du sol que ce soit en rentrant le train d’atterrissage ou en se bloquant sur ses pieds dès ceux-ci au sol aura comme conséquence d’aller brouter l’herbe (s’il y en a) avec un bébé de plus de 90 Kg (dans mon cas) sur le dos. :banane:

Il existe la possibilité de se positionner à coté du passager pour atterrir (pour décoller aussi) Cela n’est pas facile sans entrainement préalable mais mérite d’être essayer/travailler (avec un passager adapté/informé/conciliant)

Voili voila ce que pour le moment, j’ai retiré des différents post. Désolé si mon interprétation des dires des uns ou autres ne reflète pas exactement leur pensée. Ne vous gênez pas pour mettre vos « points » sur mes « i ».

Il y aurait encore certainement beaucoup de choses à développer, par exemple : :grat:

Les approches (PTU ou PTS/PT8)

Le gonflage face voile (abordé avec l’idée d’utiliser « A » et « B »)

Les méthodes de descentes rapides.

Les conduites à tenir si passager se retrouve malade ou paniqué en l’air.

Les choix d’équipements du passager (casque, gants, lunettes avec cordon, etc.)

La répartition des charges au portage.
Etc. …

Enfin,

@ La Brune, étant tous deux du bel Nord-est, 2013 nous donnera probablement l’occasion de nous serrer les paluches et frotter les plumes. :trinq:

@ JJ, indique-nous ou tu exerce professionnellement (par MP si tu préfères) Pour ma part je ne serais pas réfractaire pour me payer une ou deux ou plus journées avec un pro pour découvrir, expérimenter et travailler les subtilités du pilotage biplace au sol comme en l’air. Je pense que la Qbi n’est que le stage init. :init: du pilotage biplace et que, comme pour voler mieux et surtout en sécurité en solo, un stage perf biplace :ppte: ne serait pas quelque chose d’inutile.

Merci à tous et bons vols !

Amicalement, Wowo

àmha ça fait trop d’infos avant de décoller : le passager est un peu submergé et risque de croire que son pilote n’est pas sûr de lui.
On pourrait ajouter : “faire concis et rassurant”. :wink:

edit : merci pour la synthèse ! :trinq:

Un petit post supplémentaire pour prier Flaille et Zarafa de m’excuser de ne pas les avoir citer dans mes remerciements mais en écrivant ma synthèse. J’ai, honte à moi, survolé leurs interventions. :tomate:
Du fait qu’elles était plus des constats sur le comportement des ailes (Flaille) ou des demandes de renseignements sur une aile précise (Zarafà) et qu’obnubilé par trouver des réponses à mes propres questionnements pour les synthétiser, eh ben, je ne leur ai pas prêté l’attention qu’elles méritaient. :canape:

Merci aussi à tous deux et karma+ à vous !

@ Flaille, je rejoint totalement ton avis sur Golden et Magnum avec peut-être la différence dans l’avis sur la dureté des commande, bon c’est vrai que ça dépend pas mal du PTV lors des vols avec l’une et l’autre. :ppte:

@ Zarafa, j’ai volé 3 x avec un Bi-Béta 3 et autant avec un Bi-Béta 4 lors de la Qbi et juste après avec celui du club mais je n’ai pas testé en ce temps les trims et suis malheureusement incapable de t’éclairer la dessus plus d’un an après, :init: désolé?

Effectivement de façon écrite ma synthése parait un peu rédhibitoire pour un passager mais la elle s’adresse aux pilote. Sur le terrain, je prends ma vois grave et tranquille et je crois que je suis plutôt du genre “Bon Papa Ours Rassurant” que “petit furet énervé, inquiet et inquiétant” C’est l’avis des nanas que j’ai emmené voler, les mecs sont trop fier pour avouer leurs anxiétés et donc admettre que je les ai rassuré. :clown:

Bons vols,

Amicalement,

[quote=“wowo,post:32,topic:42091”]
petit hs :
moi j’aime bien ce moment ou le mec qui faisait le viril arrête de parler , la je lui dis pas de stress si on le sens pas on y va pas, et a chaque fois une toute petite voie répond: non non pas de soucis ça va le faire ROTFL

c est tellement vrai , les plus decontract ce sont les enfants et les jeunes ado qui ne percoivent pas le danger du deco, il n y voient que du bonheur et souvent l expression a la fin en dit long

C ETAIT ENORME !!!

voila merci a tous et merci pour le recap

:forum:

Dans le recap, j’ai oublié de parler des “poignées/balles” à rajouter en vol sur les C ou D pour décrocher rapidemment la voile une fois posé dans du vent fort. :tomate:

Avant hier j’ai emmené voler un copain qui ne voulait pas d’un vol tranquille … du coup, il a eu droit (et moi aussi) à du musclé et au moment de posé, les dites “poignées/balles” m’ont fait défaut et l’on s’est retrouvé sur les fesses faute de savoir courrir en marche arrière. biroute
Pour être honnéte, je lui avait tellement rempli la tète les jours avant sur la néccessité de courir une fois les pieds à nouveau au sol que malgré les bons conseils que je lui ai prodigué durant l’appoche sur le fait qu’au vu des conditions du jour ; On n’aura pas besoin de courrir à l’atterro mais qu’il faudra plutôt reculer de deux pas pour décharger l’aile. Mais voila, ma leçon des jours precedents s’était tellement bien imprimé que ce ne sont pas les nouvelles consignes des trois dernières minutes qui ont changé quelque chose dans son programme.

Pas grave, atterro vivant atterro content qu’il dit toujours mon ami Jean. :prof:

Ceci étant, j’ai vérifié, mon magnum a des trims que à détrimer. Trims au neutre, tous les maillons au même niveau, il n’y plus aucun centimètre à tirer. Il s’agit d’un modéle sorti de fabrication en juillet 2011. Alors des changement par rapport aux votres ? :grat:

Sinon, pour le reste, mon copain (54 ans) m’à impressionné. Je pensais que son envie d’un vol autre que tranquille se calmerait vite fait bien fait dès que cela remuerait un peu. Eh ben, j’en étais pour mes frais. Il en redemandais encore quand moi j’engueulais le petit :diable: en moi qui m’avais convaincu d’y aller. Comme quoi il existe toujours des exeptions aux règles.

Bonne soirée à tous et ne vous genez pas à encore faire vivre un peu ce fil en parlant de vos anecdoctes et experience biplace. :forum:

En cas de vent fort, tu peux demander à ton passager de “tuer l’aile” en la fermant comme sur la video dessous, ok, il s’agit là de deux pilotes mais bien briefé, cela marche du tonnerre.

https://vimeo.com/22688177

En revanche, il est peut-être préférable de faire fermer les deux cotés??? Nous, cela à bien marché.

Belle vidéo, beau vol, Xc sympa et … mon envie/objectif pour 2013, vu qu’avec la météo du moment et même ici dans les P.O. ou on séjourne jusque fin octobre (probablement) cela me semble compromis …
:fume:
En aout, dans les Vosges, et avec une passagère très motivée (au départ) je pensais que cela allait se faire. Lâs, au bout d’une heure et 1/4, elle m’a laissé comprendre que l’on risquait de partager le dejeuner une deuxième fois … :koi:

Bref que ce soit pour tenter un (petit) cross ou abattre la voile dans le cas de vent fort à l’atterro, il est préferable de le tenter avec un(e) pilote comme passager ou à défaut, au minimum, avec une personne habituée. :bu:

Bonne nuit à tous,

Hello,

Discussion très intéressante… et effectivement, dommage qu’il n’y ait pas plus de pro qui y participent.
Pour info, j’avais un Beta 3 38 (et je ne me suis jamais servi des trims qui n’étaient pas pratiques -on/off seulement-), et je viens de passer à un Magnum 41 d’occase, donc je découvre l’utilisation des trims.
Si en l’air, ça ne me pose aucun souci, c’est vrai que je me pose des questions sur les réglages au déco et à l’atterro…

[quote]Au posé: délicat de dire comment trimer car plusieurs paramètres entrent en ligne de compte: vent au sol, PTV, configuration du terrain notamment.
[/quote]
JJ, peux-tu developper ce point là ?
Tu as développé sur l’utilisation en vol, mais pas sur ton réglage à l’atterro il me semble… c’est surtout sans vent à l’atterro que ça m’intéresse…

Sinon des réponses en vracs:

-il me semble que le magnum 1 n’a que des trims à détrimmer, quelque soit l’année de fabrication. Ca doit être sur le 2 que ça change.

  • sur le magnum, en cas de forte brise, il est possible d’utiliser les A sans les A’, ça calme bien le jeu

  • atterro: je confirme l’importance de prévenir le passager de la prise de vitesse… Une fois ma copine a crié en voyant le sol arrivé, “on arrive trop vite !”, ça m’a fait peur (si, si), et du coup j’ai freiné un peu trop tôt. Rien de méchant, on a posé vertical après la ressource, mais l’expérience était marrante. Je ne pense pas que je l’aurais écouté si ca avait été quelqu’un d’autre (eh oh, non, mais c’est qui le pilote ?!), mais depuis je préviens le passager, ce qui n’empeche pas certains de pousser des petits cris d’étouffement à la vue du sol, mais ça, en fait, c’est drôle, surtout que c’est en général mes plus beaux atterros sans vent :slight_smile:

  • Atterro bis: après avoir gentillement crouté une ex copine plusieurs fois et avoir analysé le truc, j’explique su’il va falloir peut-etre courir et donc mettre un pied
    devant l’autre. En effet, après coup, j’avais compris que ladite copine se préparait à courir en mettant les deux pieds joints devant elle. Ca marchait pas très bien…
    Je ne m’ennuie pas avec la question du pied d’appel: c’est de toute façon le pied qu’il devrait mettre naturellement devant…

  • posé en se mettant à coté: je le fais quasi tout le temps avec les gamins, et ça marche très bien (attention à ne se mettre du coté de la poignée du secours of course…)

  • après je ne suis pas d’accord sur la synthèse: le brief est trop compliqué selon moi. Mon brief, je le focalise essentiellement sur le déco et l’importance de la participation du passager. En l’air, ça se limite à “tu me dis dès que tu commences à être brassé si ça t’arrive” afin de pouvoir adapter mon pilotage. Je conseille aussi de regarder du coté où l’on tourne pour limiter le mal de l’air, qui a souvent lieu en petites conditions étonnement…

  • accrochage du passager: avant je l’accrochais toujours en bas, maintenant, je fais une estimation en fonction de la taille et du poids. Ca donne:
    1/plus lourd et plus petit que moi, c’est facile, accroche en haut direct
    2/plus lourd, plus grand, accroche en bas pour ma visi, mais je préviens qu’il va devoir finir la course (en déconnant, ça passe bien, mais en général le gars comprend l’enjeu). En général, c’est un gros baraque, il met la pêche, ça décolle aussi vite que la minette toute légère qui n’a pas la même notion de “mettre la patate”
    3/plus léger, plus petit, accroche en bas
    4/plus léger, plus grand, accroche en bas, et je préviens aussi pour la course

Outre le réglage des trims à l’atterro, j’aimerais bien avoir un retour (surtout de possesseurs de magnum) sur le réglage des trims pour envoyer en wings ou en 360… Autant j’avais aucun souci avec le beta 3 38, autant avec le magnum, je fais pas encore hurler le passager (bon, j’ai pas trop eu l’occasion d’avoir du gaz non plus).

C’est vrai que ce désistement des pro :prof: vis-à-vis de ce fil de discussion est étonnant pour ne pas dire … curieux ! :grat: Soit ce ne les intéresse tout simplement pas ou … :shock: Allez, je ne vais pas leur faire un procès d’intentions quant tout simplement, sans-doute, cela ne les intéresse pas.

Merci Gael d’apporter aussi ta pierre à l’édifice de nos connaissances communes. :pouce:

Comme toi, sur mon Magnum (1er du nom) les trims ne sont que à relâcher à partir du neutre. Les propriétaires des N°2 nous éclairerons la chandelle.

:tomate: Je n’ai même pas pensé à utiliser que les “A” en laissant les "A’ "de coté sur les deux seuls déco avec vent fort fait pour le moment, ceci étant je ne me suis pas fait arraché non plus.

Pour l’atterro effectivement je pense qu’il est bon de rassurer le passager sur le coté normal de la vitesse à laquelle le sol défile sous nos pieds qu’on ont flaire avant la ressource finale. :speedy: Sinon nombre d’entre eux ont tendance à relever le train d’atterrissage en tenant les jambes serrées devant eux et suivant, si ils les lève assez ou pas, cela se termine par une glissade ou une culbute. En effet, pourvu qu’un pied soit en avant devrait déjà éviter le coup des talons plantés dans le gazon, encore faut-il qu’il y ait un pied en avant.

Ce qui m’amène à défendre ma synthèse qui se veut une synthèse de tous ce qui à pu être préconisé par les uns et les autres intervenants sur le fil.

Que de ce fait le briefing exposé dans cette synthèse n’est pas celui applicable par tous pilote à tous passager mais plutôt un listing souhaité assez exhaustif de tous les éléments et explications parmi lesquels le pilote peut choisir ceux qui peuvent constituer un bon briefing pour son passager du moment.

Et puis si je mets bout à bout les explications que tu donne à ton passager, tu n’es pas loin du compte du résumé du brieffing donnée dans la synthèse ; … je confirme l’importance de prévenir le passager de la prise de vitesse… … mais depuis je préviens le passager… …j’explique su’il va falloir peut-etre courir et donc mettre un pied devant l’autre… … Mon brief, je le focalise essentiellement sur le déco et l’importance de la participation du passager. En l’air, ça se limite à “tu me dis dès que tu commences à être brassé si ça t’arrive” afin de pouvoir adapter mon pilotage. Je conseille aussi de regarder du coté où l’on tourne pour limiter le mal de l’air, qui a souvent lieu en petites conditions étonnement
:canape:

Il est vrai et je l’ai dit dans un post plus tôt ; Les informations écrites et lues semblent souvent plus compliquées et fastidieuses que les mêmes info dites et entendues.

Ta précision sur le coté ou se déporter dans le cas d’un choix d’atterro cote-à-cote en tenant compte du positionnement de la poignée de secours est très judicieux. :pouce:

Les accroches j’en suis aux mêmes conclusions … :pouce:

Pour les trims à l’atterro et après avoir testé moi-même les différents réglages (+/-) après aussi avoir lu tous ce qui précédait dans ce fil et surtout après avoir il y 5 jours dans un vol en conditions plutôt turbulentes essuyé une grosse frontale alors que j’étais avec les trims au neutre (donc serrés) (PTV ~195 Kg) :vrac: que le même incident tout dé-trimé aurait peut-être plus sévère dans ses suites et que surtout un frontale en finale ça ça serait vraiment pas glop. :affraid: En voile solo non plus aucun de nous s’amuse à finir au second barreau, non ? Je pense que la seule bonne façon de réussir ses atterro tient dans un bon timing et gestuelle et trims au neutre, calage de la voile qui lui donne la meilleure stabilité/sécurité.
:banane:

Maintenant pour ce qui concerne les 3.6 et autres wings, effectivement que peut certains pourront nous donner leur utilisation des trims ou simplement façon de faire.

Pour le moment j’ai réussi une seule série de 3.6 avec un PTV de ~165 et sans me rappeler ici quels était la position des trims. quand je dis réussi c’est qu’ils étaient propres (les 3.6) de l’entrée à la sortie sur 4 ou 5 tours (peut-être 6) avec un taux de chute de peut-être ~8 m/s.

Maintenant dans un vol suivant avec un PTV d’environ ~190 Kg, dans des conditions (légèrement) turbulentes et la aussi sans que je me rappelle maintenant le réglage des trims, le Magnum m’a octroyé un départ en négatif (vrille) :affraid: qui s’est transformé en abatée oblique dés la remonté de ma main intérieure. Alors quelle est la bonne méthode ?

Bonne nuit à tous,

Euh pas tout à fait, on parlait du brief AVANT de décoller.
L’atterro, je le briefe en l’air en me dirigeant vers l’atterrissage, quand je vois que ça tient plus… le pied devant, le fait que ça va accélérer, tout ça, je le dis juste avant d’aller poser.

C’est pas comparable avec la plupart des bis… les vitesses atteintes ne sont pas du tout les même.
Et l’objectif en bi, c’est aussi de s’adapter au poids des passagers. D’où mon interrogation (c’est sur que ton poids lourd, tu va pas détrimmer pour le poser… mais la question peut se poser en bas de fourchette par contre)