Encadrement et sécurité, message important !

Moi ce que j’en déduis c’est que les clubs qui organisent des sorties encadrées seront poussées à ne pas déclarer un accident ou demanderont à l’accidenté de déclarer qu’il s’agissait d’un vol non encadré.

Pareil pour les écoles même si c’est plus compliqué à faire pour elles (si prise de licence école uniquement ce sera pas possible).

Au final, ça va rendre frileux tout le monde, donc peut-être moins de vols en école pour prendre plus de marge (météo…) et moins de motiv pour les clubs à organiser des sorties.

J’ai du mal à comprendre le sens de ton message Patrick.
Sans le prendre pour moi, je précise.
Bien sur que je suis pret à remettre en cause mon type de pratique, j’en ai un questionnement régulier, mais je peux évidement le faire progresser.

Ce qui me gene, c’est ce risque d’annulation d’assurance. Si je ne respecte pas les marges par erreur (je répète c’est toujours une erreur) dois-je voir mon assurance s’annuler et prendre moi même en charge les conséquences ? Si je me plante dans l’estimation du vent de 10km/h suis-je de bonne fois dans mon erreur ou ai-je mangé volontairement ma marge pour ne pas redescendre à pied ?
JE sais, pour MOI et dans MON CAS uniquement dans quelle situation je me trouve, sans aucune ambiguïté, mais comment l’assurance va-t-elle juger la situation ?

A mon sens, quand on ouvre la porte d’une possible annulation d’assurance, il faut que ce soit encadré de manière trés précise et factuelle. Ce qui est peut etre le cas dans notre situation, je tire peut être un peu vite…

:diable:

petite précision pour ceux qui n’ont pas tout compris :

le soucis (ce qui coute du pognon à l’assureur) c’est l’accidentologie des tiers : élèves et passagers … rarement des brevets verts en sortie club avec accompagnateur club …

et le pilote solo qui s’écrase sur une falaise :banane: … on s’en tape ! parce que l’assureur , et bien ça lui coûte rien ! …

ça fait des années que j’évoque ce problème et ce n’est seulement qu’à la veille de ne plus trouver d’assureur , ou de devoir payer des primes énormes , que l’autruche sort timidement la tête de l’eau :evil:

autre rappel : c’est la pratique professionnelle , la plus exposée au risque de blessures aux tiers qui se sert de la RCA en lieu et place d’une RCP … comme pour le transport aérien … sauf que cela n’est pas que du transport …
une gestion de l’analyse de l’accidentologie et une réponse selon les critères de ceux des RCP, ne nous aurait pas mis dans cette situation …
notamment le fameux qui paie quoi , et la transparence totale des rapports de sinistres …

à ce train la on va vers une explosion du tarif des biplaceurs , les associatifs ne pourront payer , les pros paieront en augmentant le tarif du bi et n’auront plus la “concurrence” des associatifs …

pour les écoles … mes souvenirs se basent sur des faits anciens mais clairement la sécurité était limite … en une semaine on a fait vol dans le vent fort , vol sous la pluie , vol sur déco falaise sans pente progressive (90°pile) … et des moniteurs qui répétaient tous les jours " ouf , l’alpha 3 ça pardonne … "
je ne sais pas trop ce que ça donne en ce moment mais l’accidentologie est loin de l’objectif 0 “grave” annoncée par mme gensac et pierre braems …

par contre je leur soumettrai bien des idées sur ce point : “réviser les chartes pour les encadrants sur les points concernant la sécurité” , ils seront peut être plus attentifs :roll:

Quelqu’un a t’il une réponse à cette question clé ? Par exemple, J’ai reçu cette lettre en tant que “dirigeant” de club, suis-je pour autant un encadrant ? Suis-je encadrant quand j’organise une sortie club (ou on a jusqu’ici toujours pris bien soin de dire que chacun en l’air est responsable de sa sécurité) ? S’agit-il uniquement des moniteurs (pro et associatifs), des biplaceurs (pros ou associatif ?). Si quelq’un peut m’éclairer, merci à lui !

Je l’ai reçue en tant que biplaceur associatif. Pour autant je ne me sens pas concerné par le terme “encadrant”…

Moi je ne l’ai pas reçue en tant que président de club. Pour autant je me sens concerné par le terme ‘encadrant’…
Pour le coup, je viens d’être contacté par des organisateurs d’un festoche qui voulaient intégrer une partie découverte/gonflage de parapente dans leur programme. J’avais dit oui mais comme je n’y comprends plus rien sur la distribution des responsabilités je crois que je vais revenir sur ma décision.

Ca y ressemble pas mal, non ?

Pas du tout.
Il est question ici de reconduction du contrat entre la la fédé et son assureur, pas de suspension de garanties soudaines du contrat actuel.

Bonjour,

A la relecture du doc, je ne vois aucun point qui fasse allusion à la possible rétraction de l’assureur après un sinistre, laissant seul le malheureux biplaceur ou moniteur face aux colossaux dommages en responsabilité civile en cas d’accident corporel.

Ce que je vois par contre, c’est le risque objectif en 2020, que la fédération ne trouve plus d’assureur en RCA qui accepte de couvrir les pilotes ET les biplaceurs et encadrants, qu’ils soient pros ou bénévoles.

Il faut savoir aujourd’hui que les pilotes solo paye une prime RCA essentiellement pour couvrir les (très très) rares dommages corporels causés à des passagers biplaces ou des élèves volant sous la responsabilité d’un licencié. Les coûts de ses heureusement très rares sinistres peuvent se chiffrer en centaines de milliers voire en millions d’euros en cas de décès ou d’invalidité permanente de la victime. Pour mémoire, il semble qu’il n’y ait eu “que” 4 accidents en 2017 entraînant la mort d’un passager ou d’un élève auquel il faut rajouter les accidents corporels graves qui peuvent beaucoup chiffrer en dommages-intérêts également.

Les dégâts matériels causés à des tiers par les pilotes solo, souvent mineurs et pas déclarés, sont peu chers pour l’assureur indépendamment de la gravité du sinistre pour le pilote (ce ne serait pas le cas si un pilote solo estropiait un enfant qui jouerait à l’atterro par exemple, l’endommagement des infrastructures électriques devant représenter le plus gros poste).

Si les ratios de gravité sont les mêmes que pour les pilotes solo, nous payons tous une RCA fédérale pour essentiellement une trentaine d’accidents corporels impliquant des passagers ou des élèves. Ce coût est à repartir entre grosso 30.000 licenciés volant avec en plus les frais de gestion et la marge de l’assureur.

Le choix fédéral, auquel j’adhère totalement pour ma part, est de faire payer :

  • un tout petit peu les 15.000 licenciés-élèves (qui en droit ne sont jamais responsable sous leur voile mais sous la responsabilité de leur encadrant)
  • un peu plus les primo-licenciés solo
  • encore plus les pratiquants solo réguliers
  • un gros surcoût supplémentaire pour les biplaceurs associatifs (+IA passager que bcp prennent)
  • un beaucoup plus gros surcoût pour les pros avec une partie enseignement et une partie biplace (les pros ici pourront confirmer s’ils le souhaitent mais le poste licence et assurance doit tangenter les 1000€ pour eux mais sans doute avec les individuelles accidents)

En ce qui concerne les encadrants associatifs (MF, mais aussi accompagnateurs/animateurs ou dirigeants de club dont la responsabilité peut-être aussi recherchée) je dis peut-être une bêtise mais il ne me semble pas que leur licence soit “surtaxée”.

Cette répartition à pour objectif de favoriser la découverte de l’activité puis la formation et l’arrivée de nouveaux pilotes, sans que les écoles n’aient à trop augmenter leurs tarifs pour inclure les coûts d’assurance devenus prohibitifs.

On voit à quel point, vu le très faible volume d’assurés, ce système est fragile. Un à deux sinistres majeurs par rapport à une moyenne de long terme (autour de 3 morts encadrés par an apparemment) et l’assureur peut y être de sa poche pour plusieurs millions d’euros. Sa réaction immédiate serait soit de doubler la prime demandée à la FFVL, qui n’aurait d’autre choix que de la répercuter dans le prix de nos licences, soit de renoncer à couvrir l’activité car la variabilité du risque est trop forte. Trouver un nouvel assureur qui ne prendrait pas ceinture et bretelles (X2 à X10 sur la prime) ne serait pas aisé pour le tout petit marché que nous représentons.

L’autre alternative serait de ne plus couvrir le risque biplace, ce qui revient à interdire la pratique pour défaut d’assurance. En poussant un peu plus loin, interdire également toute forme d’enseignement du vol libre, puisque juridiquement le commandant de bord est l’enseignant qui ne serait pas assuré. Autant dire la mort de l’ensemble de l’activité, du moins dans la légalité.

D’accord ou non avec les clés de répartition fédérales, tous les pilotes de vol libre (delta et parapente) doivent être conscients que ce type d’accidentalité menace toutes nos pratiques (hélas pour des raisons exclusivement financières et non pour les drames humains). Certes, il sera possible pour les pilotes solo actuels de trouver une RCA, mais il n’y aura plus de nouveaux entrants dans l’activité, les clubs et les sites de pratiques dépériront, les écoles et les pros qui distribuent nos voiles fermeront progressivement (sans le biplace, l’équation économique est quasi-insoluble) etc… Ce risque assuranciel ne peut être pris à la légère par chacun d’entre nous.

Il est probable, sans imaginer le scénario catastrophe de l’absence d’assureur, que si nous n’arrivons pas à convaincre le notre que nous prenons toutes les mesures pour réduire ce type d’accidentalité qui lui coûte (il se fout des morts et des invalides en solo tant qu’ils n’écrasent que des brins d’herbe), les pouvoirs publics se saisiront du dossier et émettront sous couvert de sécurité des tonnes de réglementations qui limiteront notre pratique.

C’est ce risque que la fédération essaye de conjurer en sensibilisant biplaceurs et encadrants pour impérativement faire chuter les accidents qui impactent des tiers (élèves ou passagers).

Avant de crier au loup, regardons ce qu’il y aura dans la future charte. Ne nous leurrons pas, il y aura sans doute des éléments qui ne feront pas plaisir à tout le monde.

Par contre, en ce qui concerne le premier point annoncé dans cette lettre,la systématisation de l’enquête fédérale pour déterminer les causes d’un accident corporel ne devrait pas beaucoup plus affecter le biplaceur ou l’encadrant quand il est déjà au prise avec la gendarmerie qui recherche sa responsabilité pénale. Je suis étonné que cette démarche ne soit pas déjà systématique car les dossiers sur l’accidentalité de Jean-Marc (notre Flying Enclum du forum) de la commission Sécurité de la fédé sont déjà bien étoffés. Comme dans tous les accidents aériens, la recherche des causes par le BEA n’est pas là pour exonérer l’assureur de son obligation d’indemnisation mais bien pour comprendre et éviter ensuite que l’accident ne se reproduise. Ces enquêtes nourriront vraisemblablement les évolutions de la future charte.

FK.

C’est peut-être juste moi qui pige pas, mais quand je vois “mise en cause de la validité et de la reconduction des contrats” je comprends aussi “mise en cause de la validité” = contrat caduc = pas couvert.
Après si ce n’est pas le cas tant mieux, mais il vaut mieux y réfléchir maintenant plutôt que de s’en rendre compte après

Les présidents de clubs ont reçu ce courrier car il doivent être tenus au courant de la démarche de la fédération.
Bien souvent ils ne sont pas eux-mêmes “encadrants” !

Cette lettre a été envoyée, non pas à l’ensemble des licenciés, mais uniquement aux encadrants, c’est-à-dire à tous ceux qui ont passé un examen leur permettant d’être, à certains moments de leur pratique, encadrants pour d’autres, que ceux-ci soient élèves en école, passagers pour des vols biplace, camarades de clubs…
Il s’agit donc des BE professionnels, des biplaceurs (professionnels et associatifs), des moniteurs fédéraux, des initiateurs et accompagnateurs de clubs.

Ce document fédéral vise exclusivement le réduction des accidents dans le contexte de la pratique encadrée et uniquement ce contexte de pratique.
Ce sont ces accidents qui peuvent coûter très cher aux assureurs et ce sont aussi eux qui ne devraient pas arriver puisqu’il y a justement une fonction d’encadrement qualifié dans le cadre de cette pratique.
Et les enquêtes, en cas d’accident grave, seront justement là pour analyser s’il y a eu une faute grave ou non de la part de l’encadrant.

La fédération se pose la question, dans des cas de faute grave avérée, ayant conduit à l’accident (ou aux accidents graves en cas de récidive) de retirer la qualification de l’encadrant et donc automatiquement l’assurance qui va avec !
Un biplaceur à qui la fédération retirerait la Qbi ne serait plus assuré en cas d’accident en biplace “sauvage” (c’est exactement comme un conducteur sans permis : l’assureur ne le couvre pas !).

Rappelons l’exemple (déjà évoqué sur le forum) suivant.
Il y a quelques années un BE (moniteur de parapente qui était aussi guide de haute montagne) a décollé sans aucune visibilité aux Grands Montets (alors que d’autres biplaceurs présents ont renoncé au vol) et s’est fracassé juste après le décollage (visibilité nulle) sur la falaise à côté blessant très grièvement sa passagère.
Pour sa défense il avait précisé qu’il volait avec son GPS et que celui-ci, étant saturé et plein, ne fonctionnait plus (pitoyable excuse !).
Ce même BE, l’année suivante, toujours en biplace, avait réussi à s’entortiller dans une ligne électrique avec son passager.
Si, après enquête, la fédération décidait de retirer à un “encadrant” comme lui la Qbi professionnelle (qui représente une partie importante de son salaire), cela ne me choquerait pas.

Au vu du contenu de certains messages, j’ai vraiment l’impression que certains n’ont pas compris ce qui était écrit.

Ce document ne s’adresse pas aux pilotes autonomes qui volent en solo (il est demandé bien sûr à ce qu’ils fassent attention quand ils volent) car, comme cela a été écrit au-dessus, ils ne coûtent pratiquement rien (pour le moment) aux assureurs en cas d’accident.
Il pourrait y avoir un jour un dommage grave faisant intervenir la RC solo (collision d’un enfant avec graves séquelles à l’atterrissage par exemple comme cela s’est produit en Allemagne, mais pour le moment rien de tel, heureusement, n’est survenu à un licencié FFVL).

J’espère que les choses sont plus claires maintenant.

Marc

Les assureurs ne sont pas des philanthropes c’est vrai, et s’il existe un moyen de s’abstraire de leurs obligations, ils le trouveront.

Néanmoins, il sont soumis à une réglementation contraignante, en particulier sur la responsabilité civile. En effet, s’ils n’indemnisent pas les victimes dans le cas de dommages corporels, il y a toutes les chances que le responsable soit insolvable vu les montants faramineux que peuvent atteindre ces sinistres. Dans ce cas, c’est l’état qui indemnise les victimes ce qui ne lui plaît pas du tout.

Les règles d’exclusion de garantie sont excessivement limitées et prévues par le législateur qui n’a aucune envie de se substituer à l’assureur. Dans la pratique, je ne pense pas qu’il y ait lieu d’être inquiet, un allié de poids veille à ce que l’assureur ne se défausse pas.

Ce qui explique que l’assureur regarde à deux fois avant d’accepter de couvrir ce risque et que nous risquons bientôt la carence d’assurance si le coût de notre sinistralité ne baisse pas.

FK.

J’étais aux assises du CNP en Mars (alors que c’était fumant et que ça a fait 200km :bang: )
On a eu une slide sur le coût des sinistres en 2017
http://parapente.ffvl.fr/assises-n-2-24-mars-2018
Dans 180416_Annexes_CR_assises_CNP.zip le powerpoint “Annexe 2 - Etat des dossiers assurance”
Attention, les chiffres ne sont pas tout à fait bons (correction à l’oral lors de la présentation, j’ai demandé à la fédé de corriger sur les documents)

En gros sur 2 millions d’euros de coûts, y’a 10000 euros pour les élèves, 40000 euros pour les pratiquants solo, un sinistre en biplace associatif (~300k euros) et tout le reste c’est les pros.

Ce que j’aimerai savoir (on a pas eu le temps de détailler les chiffres)

  • Combien coûte la RC pour un pratiquant solo, biplace associatif, pro ?

Je suis à fond pour la mutualisation des coûts évidemment, je ne remet pas en cause ce système. C’est juste pour avoir les chiffres (impossibles à trouver en l’état)

Salut

J’ai eu un cadre technique de la fédé ce jour. Bien que l’objet de mon appel n’était pas ce texte, nous en avons parlé longuement.

Ce qui coûte à la fédé, ce sont 4 ou 5 accidents par an qui implique la RCA d’une personne envers une autre personne dont il avait la responsabilité “sportive ou aérienne”.
Dans ce cadre là, une enquête sera faite pour chaque accident qui engagera la RCA d’une personne (moniteur ou biplaceur) qui aura la responsabilité de la victime (élève, passager).

Perso je suis un peu comme Patrick

[quote=“Patrick Samoens,post:20,topic:66576”]
Lire dans le même post qu’il faut remettre en cause la pratique de certains professionnels ou de certains clubs et qu’il est inadmissible de remettre en cause la pratique personnelle de chacun est antinomique. Au vu de l’accidentologie dans la pratique encadrée, je suis favorable à une remise en cause générale même si MA pratique doit être examinée à la loupe en cas de problème.

[quote]

Enfin je le dirais d’avantage en mettant en avant les responsabilités.
Toute personne qui a dans la pratique du parapente la responsabilité d’une autre devrait faire l’objet d’une enquête en cas d’accident.
Et je comprendrais tout à fait qu’une enquête soit faite dans mon école en cas d’accident.

A+
L

C’est pourtant clair : le contrat d’assurance pourrait devenir caduc pour un encadrant, auteur de faute grave dans le cadre d’une pratique encadrée.
Pour cela il suffit que la fédération retire l’agrément pour la pratique encadrée pour cet encadrant, c’est-à-dire lui retirer le diplôme d’encadrant correspondant.

En aucune façon il ne peut y avoir de défaut de couverture d’assurance rétroactif pour un accident antérieur, quelle que soit la faute de l’encadrant.

Jusqu’à aujourd’hui il n’y a eu aucune sanction fédérale pour des comportements dangereux de certains encadrants ayant conduit à des accidents graves.
La FFVL se pose la question de mettre en place un dispositif à ce sujet pour faire baisser l’accidentalité en pratique encadrée et je comprends cette démarche.
Il me semble que le document explique bien celle-ci.

Marc

Mais ces chiffres se trouvent dans le document fédéral 2018 sur les licences et assurances !
Ceci a été indiqué sur le forum à de multiples reprises.

Voir ici (§ 4.4 en page8) :

https://federation.ffvl.fr/sites/ffvl.fr/files/2017_12_15_Guide_licence_et_résumé_garanties_FFVL2018_v7.pdf

Ce document est en ligne et téléchargeable sur le site Internet fédéral.

Marc

Ce que j’ai compris, c’est : dès qu’un pratiquant pourra se retourner contre un tiers. Donc pros, biplaceurs associatifs, accompagnateurs, animateurs et moniteurs fédéraux.

Pratiquant : 27,00€
Biplaceur associatif : 134,00 €
Moniteur professionnel : 350,00 €

Et Alors est-ce un mal !
Lorsque l’on encadre une action on se mets à la place des “encadrés” et on fait en sorte de préserver leur intégrité/sécurité.
Est-ce que vous ne le faites pas déjà ? :grat: