Essais en vol via le labotest de la Commission sécurité et technique de la FFVL.

Mais tu rigoles ? On pourrait en fixer le départ peu ou prou avec l’avènement de la Saphir Must (1990) !
Et encore, je suis sûr que certains vont nous sortir des exemples encore plus antédiluviens !

:pouce:

C’est bien ce que je disais, une question de culture et d’expérience. En parapente pour moi, elles commencent en ~2000…

:trinq:

Tu crois qu’elle était plus chaude que la Trilair, la Saphir? :wink:

Qui ne connaît pas l’histoire est condamné à régresser.
Et c’est bien ce qui se passe (on régresse) car en 1990 lorsque la Saphir Must est sortie, personne absolument personne, même pas moi le débutant inconscient que j’étais, n’imaginait qu’elle était une aile de début, une aile facile ou qu’elle était autre chose qu’une aile compétition !

Donc un vrai problème sociétal… une inconscience formatée pour le public “pilotes en apprentissage” et par qui ?

Qu’est-ce qui a changé entre 1990 et presque 2020, à part nos bedaines et couleurs de cheveux (pour ceux pour qui c’est encore un sujet) ?

Et qu’est-ce qui ou qui, qui a amené/provoqué ce changement (si changement il y a) ?

:grat:

Ce devait se valoir. Mais la Saphir Muste était Niv.1. Autrement dit “safe”
Ce qui était loin d’être le cas !
A+
L

On est passé d’un marché de passionnés anticonformistes de tous horizons à un marché de loisir sportif destiné aux classes moyennes et supérieures citadines.

Les parapente de niveau 1 étaient normalement destinés aux débutants!

Totalement raccord avec ton analyse mais alors quelles devraient être les réponses des acteurs responsables de ce “nouveau” microcosme et là je penses plus particulièrement aux membres de la PMA
qui sont dans une certaine mesure les “tireurs de ficelles” de ce, je te cites, marché de loisir sportif destiné aux classes moyennes et supérieures citadines et les à minima, les consultants consultés pour l’écriture et évolution des normes qui nous concernes et en particulier, l’EN 926-2.

Ne devraient-ils pas justement clarifier les choses même pour les plus profanes des nouvaux venus.

Cela ne signifie pas changer la norme quoique le descriptif de à qui s’adresse une voile classée EN-A ou EN-B mériterait sans d’être actualisé. Mais cela pourrait passer par une certaine déontologie à informer sans ambiguïté le futur client espéré des exigences réelles de capacités de pilotage que telles ou telles voiles peuvent présenter.

C’est là qu’il me semble que le bât blesse.

Et en toute sincérité, il me semble définitivement trop facile de se retrancher derrière l’appellation “vol libre” pour prétendre que c’est de la responsabilité individuelle et personelle de tout “commandant de bord” même si seulement… en devenir.
Surtout quand ailleurs on ne se privera pas d’expliquer le sens premier de vol libre.

Après on peut aussi tous faire langue de bois pour que surtout rien ne change pour… le moment.

:trinq:

La PMA est bientôt morte, il n’y a presque plus personne qui y participe. Elle ne se maintient qu’artificiellement parce que justement elle participe à l’élaboration qui est en cours, des modifications de la norme actuelle.
Mais il ne faut rien en attendre. Il faudrait un nouveau regroupement de constructeurs sur des bases consensuelles et altruistes à trouver. On peut rêver.

C’est le travail des pros de terrain qui sont directement au contact des pilotes et surtout des élèves. Ça devrait être comme ça. On a rêvé de ça.
Mais combien de moniteurs sont intéressés par l’enseignement ? Et parmi ceux-là, combien sont intéressés par la vente de matériel ? Et dans cette minorité, combien ont dans leur secteur la rentabilité économique nécessaire à le faire en toute rigueur et hors pressions ?

Une solution ? Une norme unique, type CCC, qui garantit seulement que l’aile est saine (elle est navigable par le pilote de son niveau). La voile est homologuée ou pas. Et on n’en sait pas plus.
Pour le reste, il faut se référer aux sachants expérimentés qui l’utilisent.
D’où revalorisation du rôle de revendeur et de son expertise pour sa clientèle et pour son secteur. D’où un nombre limité de marques représentées par une même structure (faut pouvoir connaître les produits qu’on vend). D’où responsabilisation de tout le monde (le constructeur ne peut plus se retrancher derrière une homologation, le revendeur doit connaître ses produits et doit faire des choix raisonnés dans ses marques, le pilote doit réaliser où il mets les pieds et choisir à qui il fait confiance et pourquoi).

Pas mieux. On va finir par tous être d’accord. C’est triste, y’aura plus de débat… :wink:

Oui sans doute que ce serait la solution la plus saine MAIS comme pour le reste avant ; On peut rêver !. Dommage !

Bah, au moins le débat va me permettre d’enrichir ma culture parapentesque en rajoutant à mon lexique, en plus de l’expression “ça depend” maintenant aussi “on peut rêver”. Quoique rêver le parapente me le fait déjà depuis la 1ere fois.

:trinq:

tout ce que ça m’inspire c’est qu’a une des dernières AG , l’avant dernière je crois …
la ffvl a essuyé un trou auprès d’un prestataire qui la planté , et est parti avec la caisse pour résumer …
et que la ffvl a refusé d’ouvrir le débat, que ce soit en détaillant les conditions ou en citant le nom du gérant de la société correspondante …
autant faire des chèques en blanc sur la base de copinage …

je ne suis pas fan du principe vu comment ils se responsabilisent …

que l’Europe impose une norme , que ce soit de la responsabilité des fabricants d’y participer et de payer pour les homologations à cette norme , rend ces derniers plus responsables de leurs dépenses …

:roll:

Dans un pays normalement civilisé, on ne jète pas de noms en pâture à la vindicte populaire, il y a une justice pour s’occuper de ces cas. D’autant plus qu’en 2018 avec les “réseaux sociaux” et autres cacas dans le genre, ça peut vitre prendre des proportions complètement irraisonnées.

Ceci dit la justice est publique. J’ai même déjà entendu un juge dire à une personne qui se plaignait de la présence d’autres personnes dans l’auditoire que je cite “les fenêtres du tribunal devraient être ouvertes pour que tout le monde entende”.

une assemblée générale n’est pas une “vindicte populaire” …
et à ta connaissance , une procédure aurait été engagée ? parce que j’ai plutôt compris : " on s’assoie dessus "
si une démarche inter-fédération européenne était mise en avance , cela éviterait aussi le monde " d’entre soi " … et ce type de déconvenue … sans parler d’autres avantages comme la mutualisation …

:mdr: en tous cas voilà qui amène un autre raison insoupçonnée et peut-être un élément de réponse aux questions de Thierry.
Merci messages non lus. Ptin fallait pas l’dire t’es grillé maintenant.

https://federation.ffvl.fr/fonctions/61

Au moins le responsable du trou n est pas dans la nouvelle liste ?
Pourquoi ne pas avoir une coopération européenne ?

Prévisionnel FFVL 2018:
https://federation.ffvl.fr/sites/ffvl.fr/files/BP2018_valid_par_AG_25_mars_2018_0.pdf

Dans la colonne Laboratoire Aérotest : 50000 euros ou 60000 euros ( je ne comprends pas trop le tableau…! )
Dans la colonne Commission sécurité : 18000 euros.

Prévisionnel FFVL 2017:
https://federation.ffvl.fr/sites/ffvl.fr/files/Budget_previ_2017_validAG25mars2017_vef.pdf

Dans la colonne Laboratoire Aérotest : 12000 euros.
Dans la colonne Commission sécurité : 13500 euros.

Bon, je ne comprends pas tout dans ces chiffres et puis ce ne sont que des prévisionnels…!
Mais je remarque une petite différence non négligeable entre 2017 et 2018…!

Il y a sûrement des personnes sur ce forum qui pourraient nous éclairer un peu plus dans tous ces chiffres…?

Salut à tous…

Est-ce que ça fait partie de “l’affaire” de 2016…?
Voir le lien ci-dessous en page 2 :
https://federation.ffvl.fr/sites/ffvl.fr/files/Rapport_commission_financiere_2016_vdef_0.pdf
Voir photo ci-dessous :

Ou est-ce que c’est une autre “affaire”…?

Merci d’avance pour vos réponses…

À bientôt…