Zut, tu m’as grillé sur cet artefact rhétorique bancal. On peut rajouter "quand je laisse tomber mon cache d’objectif photo il tombe dans le cocon et pas dans la montagne ==> je le récupère à l’attéro 
Bon, disons que le cocon pour moi c’est moins de trucs à surtout-ne-pas-oublier et à enfiler avant le déco, donc plus de temps et d’énergie disponibles pour analyser les conditions et faire ma prévol.
Et en vol, je suis souvent accéléré, c’est très confortable de l’avoir sous le talon.
Le confort en vol c’est extrêmement important, surtout quand le vol dure. Je ne me vois pas passer 8h de vol en étant mal calé ou en ayant de l’air froid qui me rentre dans le pantalon par les chevilles… (en biplace je mets des guêtres d’alpi pour éviter ça, quelle plaie pour se préparer à voler!)
Je trouve très étranges, les considérations sur le lacet. Quand on vraque, on plie les jambes et puis c’est tout… parfois je vole assis et groupé dans mon cocon quand ça tabasse, c’est quoi le problème? (et pourtant le mien est assez incliné!)
Jamais senti de “mouvements induits par le cocon”… à vous lire, je me demande si ce n’est pas juste de l’effet nocebo.
Alors c’est vrai qu’une sellette couchée a un plus grand moment d’inertie en lacet, mais ça n’a rien à voir avec le cocon: la position du corps et l’aspect “fuselé” de la sellette jouent bien plus.
Pour moi le pilotage, avec ou sans cocon c’est à peu près pareil, mais la planchette prodigue de meilleurs appuis. Un mec avec un cale-pieds qui ne replie pas les jambes lors d’un gros vrac n’est pas moins “en danger” qu’un mec en cocon qui fait pareil.
Seul souci des cocons: quand ce n’est pas le poids c’est le prix, et vice versa.