oui, et puis finalement lezalpes c’est lezalpes; pas de quoi s’en faire une montagne 

oui, et puis finalement lezalpes c’est lezalpes; pas de quoi s’en faire une montagne 

Hé bien… comment dire ?.. Combien en as-tu fréquenté ?

Parmi les 35% combien sont sorties au moins une fois du domaine de vol ?
Tant que tu restes dans les alpes du nord, ça devrait aller!
Je suis très loiiiiin
Pour la question de Brandi; combien des 35% sont déjà sorti du domaine de vol?
J’en ai aucune idée.
Pour les autres, hahaha hahahahaha ha haha a.
[quote]Après tout, un thermique c’est un thermique.
[/quote]
Y’a quand même pas que les Alpes pour te mettre à l’épreuve. Tu dois trouver des coins bien sympas pour ça un peu plus à l’ouest, dans les Rocheuses… Enfin, je dis ça mais je n’y ai jamais volé (malheureusement). Mais quand tu vois la configuration des terrains, vallées, les altitudes des sommets et les plafs, je pense que tu peux y malmener une M6 aussi!
Y’a quand même pas que les Alpes pour te mettre à l’épreuve. Tu dois trouver des coins bien sympas pour ça un peu plus à l’ouest, dans les Rocheuses… Enfin, je dis ça mais je n’y ai jamais volé (malheureusement). Mais quand tu vois la configuration des terrains, vallées, les altitudes des sommets et les plafs, je pense que tu peux y malmener une M6 aussi!
[/quote]
Charognard.
Sûrement mais moi non plus j’y suis jamais allé. Ça beau être dans le même pays, si j’y allait en auto ou en train, probablement que tu arriverais avant moi en prenant l’avion en Europe avec une escale à Toronto.
Oui je sais que c’est même parfois plus facile (et moins cher) de faire Québec- Europe que Québec- Côte ouest. D’autant plus pour avoir vécu à Montréal.
C’était pour dire que y’a pas que les Alpes. Ca commence à faire un peu prétentieux de dire “tu verras si tu viens dans les Alpes”, ou pire, “si tu voles dans les Alpes, tu seras à l’aise partout”.
J’habite à St-Hil. Et je pense qu’il me faudrait bien de l’humilité et des précautions pour aller voler en Utah ou dans l’Idaho. Dans les Pyrénées je n’y vais pas la fleur au fusil non plus!
Le distingo est plus Plaine-Montagne. Et je me comprends quand je dis “montagne”. Pas le Mont-Tremblant ;-)…
Ma première voile, la mythique Joy d’Aérodyne, essayée le dernier jour de mon stage init et achetée le soir-même, était homologuée B (Michel Leblanc ne l’avait pas passée au DHV). J’ai volé avec mes 3 premières saisons et j’en ai essayé des quantités d’autres, toujours en B, pour le plaisir et parce que je cherchais une voile légère pour le vol-rando.
Ce fut l’Ultralite 19, toujours classée B (en 23 elle était classée A). J’étais allée à l’extrême.

Tu es déjà passé à clecy ?
Tout dépend ce que l’on compare, il est claire que ce ne sont pas les mêmes sensations.
Mais à quand remonte ton dernier nuage en plaine ?
Je crois me rappeler que la dernière fois que tu es venus voler par chez nous , tu n’es même pas sortie de la voiture pour ne pas salir tes chaussures 
En ce moment ni chaussures ni botes, c’est une bouée qu’il faut pour atteindre le déco 
Des thermiques forts, étroits, teigneux, méchants (barrez les qualificatifs qui vous dérangent et… ne me jetez pas de pierres) Bref des conditions fortes peuvent exister en plaine comme en montagne. Ceci etant en montagne plus les sommets sont hauts et les vallées encaissées et nombreuses, plus l’aerologie et les plans de vol qui en découlent sont compliqués. Le nier serait faire preuve de mauvaise foi.
En disant cela, je ne dis pas que en plaine ou piémont, on ne pourrait pas se faire démonter. J’estime juste que les conditions fortes en hautes montagnes sont plus compliquées à gérer.
Ce qui est certain, c’est que même si la catégorie d’homologation ne reflete pas ou que rarement le niveau dexigences fait au pilote. Il n’y a tout de même pas à douter sur le gap qui existe en termes d’exigences de competences entre une Kailasch et une M6. Une M6 est un outil formidable pour celui qui sait l’utiliser, sinon…
Et cela est vrai pour toutes les ailes quimporte leur homologation.
Savoir faire du soaring en M6 ou même thermiquer dans des conditions “gentilles” en plaine et l’exploiter dans des conditions fortes dans un environnement compliqué, il y quand même une sacrée marche… qu’il vaut mieux ne pas louper.
Et ce n’est pas parce que l’on est passé 100 X, que l’on passera 101 X.
Je vais dans le même sens que toi Wowo en se qui concerne l’aérologie en montagne.
Quand je lit dans les magazines ou forums les récits de vol dans les hauts sommets, les brises descendante du au glacier, le vol d’onde, les effets de résonance entre les montagnes, sous le vent de la montagne d’en face, la brise de vallée qui s’installe à tel heure sous le vent météo et qui crée un cisaillement et j’en passe, je me dit “hé, j’ai rien de tout ça”.
Forcément, mes cross sont beaucoup plus facile à vivre. Moins de risque de mauvaise interprétation aérologique.
Donc quand j’entend des recommandations sur une aile plus (chaude), j’essaie de savoir de qui ou plutôt de ou viennent les recommandations pour savoir si l’on vit la même réalité.
Comme la j’ai pas besoin de 56 données et de balises pour savoir si je vais voler.
Le -42*celcius avec refroidissement éolien me dit de rester encabané à chauffer mon poêle à bois.
Je me permets d’en parler car j’ai eu l’occasion d’en essayer une de M6 durant une journée de fin d’été plutôt “facile” (thermiques faible et peu de vent) sur un piémont. Si l’aile m’a donné énormément de plaisir doublé d’un fort sentiment d’être “bon”. Les quelques exercices que je me suis permis (oreilles, 3.6 engagés, “petites” frontales et asy) et ses réactions dzns ces conditions douces, m’ont clairement fait comprendre que j’avais bien fait de me décider pour la S9 au printemps. Car en conditions plus compliqués, il est certain que mes capacités serait limites et moi vite épuisé physiquement et nerveusement.
Ceci étant, c’est l’aile qui parmi toutes celles que j’ai eu l’occasion d’essayer qui m’a fait la plus forte impression de perf. Si je pouvais me le permettre sans créer un incident diplomatique avec ma ministre de finances et navette-woman favorite, je men achèterais une pour les quelques journées que j’estimerai adaptées à mon niveau global (compétence/physique/psychique) sous ce magnifique jouet.
:canape:
J’ai fait le même sondage sur Paramoteur Québec pour faire un comparatif entre parapentiste et paramotoriste.
Pour les aile En A, c’est kif kif. 1 pilote sur 2 a débuté En A.
Pour le parapente, les ailes En C représentent 1 personne sur 10.
Pour le Paramoteur, les ailes En C représentent 1 personne sur 5 donc 2 fois plus de pilote sautent directement sous des ailes sport.
Dans un cas comme dans l’autre, 0 personne pour En D et 1 personne pour CCC.
Je ne suis pas paramotoriste même si l’occasion m’a ete donné d’essayer. Pour autant il me semble pas prétentieux d’affirmer que la grande majorité des paramotoristes privilégie le vol dans des conditions aerologiques plutôt calmes. À une exeption près (il y en a toujours une… ) cet à priori de ma part est confirmé par les paramotoristes que je connais.
Quelqu’un plutôt dans ce fil, Laurent ou Patrick ou ?, avait déjà pointé cela et les tenants et aboutissants du choix de telle ou telle aile C pour le vol moteur. Il est fort probable qu’une des raison soit là et que les mêmes pilotes à l’aise sous leur C motorisé au matin ou soir ne le serait pas l’après midi d’une journée fumante avec ou sans moulbif dans le dos. Hormis, bien sûr, ceux qui font du vol thermique par ailkeurs, mais là on ne parle pas des mêmes.
Juste pour dire que voler avec une voile très au dessus de son niveau, même en “petites conditions thermiques” peut coûter très cher.
C’est dans ces petites conditions qu’on vole plus près du relief, et que les conséquences d’un “petit incident” mal maitrisé peuvent être terribles.
Les exemples et vidéos de grillage de joker sont populaires sur ce forum; et les accidents graves voire mortels le confirment malheureusement (St Hil encore cet hiver).
Alors, pour quoi faire?
Fly Safe.
:canape:
C’est vrai. Ici les paramotoristes qui vol en air calme représente à peut prêt 95% des pilotes. Je fais parti des 5% qui vol en thermique. J’ai commencé le Paramoteur avant le libre. Après environ 3 mois de Paramoteur normal et beaucoup de lecture, j’ai acheté mon premier vario.
J’avais lu que pour savoir si un cumulus était alimenté, il devait avoir le fond plat (ligne foncé) et qu’on devait commencer dans du pas trop fort (environ 2 mètres/seconde).
Un bon jour je décide que je suis près à essayer mon premier vol thermique avec ma Kaîlash et mon nouveau vario.
Je regarde du sol les nuages et j’ai personne pour me dire si les cumulus que je vois sont considéré comme gros ou normal.
Prêt à faire feu, je décolles en Paramoteur et me dirige vers le nuage à 1000 pieds d’altitude. Belle ligne foncé, barbules qui tournes mais le nuage est plus loin que je pensais et plus je l’approche, plus il est gros.
Bang, premier thermique à vie. +7m/seconde jusqu’au plaf à 7000’ d’altitude. Le vario mal ajusté beugle à mort. Ça devient sombre. Sortie au soleil avant de me faire aspirer comme lu dans Parapente Mag. Vu de près, je peut dire maintenant avec mes 6 ans d’expérience que c’était un vrai gros en développement.
J’avais lu que si ça monte à +7 quelque part c’est que ça descent aussi fort autour.
J’étais donc inquiet pour la sortie de sous le nuage mais mon aile ne m’a pas mis mal à l’aise.
Après le coup de foudre, j’ai de plus en plus souvent arrêté le moteur pour faire le plus longtemps possible puis je me suis naturellement mis au libre en apprenant seul.
C’est clair que j’ai eu une progression atypique. Matthieu sort de ce corp. :mrgreen:
J’avais fait un jour un vol dans l’huile à 8:00h du soir avec un autre paramotoriste.
Je l’avais pris en photo avec la pleine lune derrière lui.
À l’atterro il me demande “As-tu senti les turbulences, ho que c’était thermique”. 
Lui il fait clairement parti des 95%.
Alors ma foi… :rando:
Aye Wowo, depuis le temps que je te lis, je croyais que tu étais un homme à cause de ton speudo. Est bonne celle la. Je viens juste de réaliser qu’à côté de ton rang, il est écrit que tu est une femme.
Avoir su, j’aurais fait attention!
Il paraîtrait que ce soit un fantasme commun parmi les garçons que d’être “momentanément” une fille. Et que pour pas mal d’hommes, rencontrer une femme qui… n’en serait pas une, ferait partie des envies cachées. Alors qui sait… :mdr:
Mais là pour le coup, peut-être me faut-il te décevoir mais (au moins consciemment) je ne rentre dans aucun de ces cas de figure. Le qualificatif inscrit à côté de “rang” dans le profil fait reference au nombre de post publié depuis le debut d’année.
Continu à poster et toi aussi tu vivras le moment ou sur le fofo tu seras “crossman/woman” 