Iota (ou B+) Vs Artik4 Vs Sigma9

Dans les exemples d’ailes citées pour la catégorie Loisir 2 (de mémoire), avec la Ion 3, l’Epsilon 7, l’Atlas etc…

Et bien sur ce test en particulier il ressortait le fait que l’E7 était la plus cool du lot, suivie de la Mistral, de la Mentor et de la Blacklight. J’ai fais un SIV ou une Mentor était dans mon groupe et une Mistral dans un autre groupe en même temps que nous et les commentaires semblaient se vérifier. On a fait quelques uns des tests qu’ils ont fait et ça s’est plutôt vérifié… Entre autre la parachutale aux B, qui étaient très stables sur mon E7, ingérable sur la Mentor. Donc de par mon expérience, je trouve que c’est bien fait comme tests. Et puis c’est bien détaillé, ils commentent les résultats et ne se contentent pas de simples valeurs et en plus il y a des photos. Et enfin ils essayent de réaliser des trucs un peu plus réalistes qu’une homologation ce qui est un plus. Bref je n’en pense que du bien, c’est pour ça qu’il me tarde qu’ils se farcissent la Iota, la Mentor4 (la Rush4 vient d’y passer dans le dernier rapport).

[edit] pour ceux que cela intéresse c’est par là.

En effet j avais pas vu l atis
Après j imagine que c est aussi les limites de l exercice des catégories divisées en 4, une doit être en tout début et l autre en toute fin.

Sinon attention sur l’idée du comportement aux B et de l idée qu on peu s en faire au vu de se que tu dis de la mentor … Loic pourra t en parler sur la ion2 :wink:

Norbert

de quelle Mentor parle-t-on?

sur la 2, j’ai eu a realiser l’exercice en SIV, rien d’ingerable, meme si je suis pas fana des B…il y a peut-etre aussi une notion de ressenti personnel qui fausse les comparaisons possibles si les tests ne sont pas realises par le meme pilote

… Et aussi de débattement …

Norbert

Testée par le DHV et celle de mon groupe de SIV était une 3.

Le DHV déconseille les Bs et en SIV c’était instable, l’aile se débattait entre vouloir revoler et se déformer. Alors que sur mon E7 c’était très stable. Après j’étais pas sous la mentor3 donc je ne peux pas vous en dire plus sur le dosage ou le ressenti.

Cross country vient d’éditer une vidéo intéressante. Y’a pas l’artik ni la sigma mais un comparatif intéressant avec la iota et 3 voiles (UP Summit XC3, Mac Para Elan et Gradent Aspen 5) sur le thème “how hot is hot” entre B et C :
http://www.youtube.com/watch?v=43H9aX8m3JE

ça fait ch*** toute cette diversité de matos, faudrait tout tester… :tomate:

Pas encore goûté à une Mentor quelque soit le numéro… mais je peux parler du fonctionnement des “b” sur mon Artic 2 chargée à ~118 pour une fourchette ptv 105/130. Cela fonctionne très bien avec une descente stable à ~-8 m/s si et seulement si, ils sont tirés juste ce qu’il faut, 2 cm de plus ou en moins et le résultat est instable voire inquiétant. Dans l’absolu, en moins impressionnant de même, c’est la même problématique que pour trouver la marche arrière dans le cadre d’un décrochage. Il faut le travailler, apprivoiser son en apprenant à la comprendre. De préférence en aerologie calme et en millieu sécurisé.

Les C3 marchait bien aussi sous mon ancienne rush 4 !

Il me semble que l’on est pas sur la même fréquence.

Norby, Chamalot, Willow et moi dissertions sur la descente en décrochage aux elevateurs “b” et je pense que toi, tu fais référence aux “c3” en pensant à faire les oreilles, non ?

Et du coup si sur ton “ancienne” R4 tu utilisais les c3 pour faire les oreilles, quelles suspentes tires-tu pour les oreilles sur ta nouvelle… ? :stuck_out_tongue:

Le décrochage il a pas l’air easy à dompter sur la Iota on dirait…

Plus précisément, c’est la marche arrière qui n’a pas l’air évidente à maintenir ; à priori, le décro ça va, l’aile veut se remettre en vol de suite…

Exact ! Mais :floodstop: les B en parapente c’est fini ! Ils ( les moniteurs et éléves moniteur :stuck_out_tongue: ) en parlent même plus au eleve en technique de descente rapide je me trompe ? … et sinon tu voit encore beaucoup de monde le faire ? Bref on verra ca au new wagga au tour d’une :trinq:

Oui bien sûr, mais du coup, s’il n’y a pas moyen de la mettre en marche arrière ça promet pas des retours en vol un peu folklos avec risque d’enchaînements de tricks pourris dus à la précipitation et au surpilotage? Après tu me diras qu’en situation réelle, si tu fais un decro en entrée de thermique le long des falaises, c’est p’tet pas le premier truc que tu fais la marche arrière…

@ Ozona68 : oui j’ai vu des gens en faire en situation pas plus tard que cet été et oui c’est toujours enseigné en SIV puisque ça a fait parti de notre programme en octobre dernier et que c’était aussi au programme de l’autre groupe avec un autre moniteur d’une autre école.

Oui pareil pour nous en SIV
Pour la petite histoire sur la ion2, la première fois ça partait dans tous les sens avec les 2 stabs qui se percutent. La 2ème fois en tirant moins profondément ensuite, c était hyper stable avec un taux de chute plus que correct.

Norbert

Oui, c’est normal qu’une aile avec cette homologation cherche à se remettre au plus vite dans le domaine de vol sans passer par un maintien de la marche arrière, c’est fait pour !

Perso, je trouve que pour les ailes qui le permettent (bien sûr) La descente aux “b” est interressante à connaître et maîtriser… comme toutes autres manoeuvres de descente rapide. Plus on à d’outils dans sa boite, mieux on est armé. Plus d’outils on s’applique à savoir utiliser, meilleure est notre dextérité.

Descendre aux “b” peut être très confortable et facile à tenir sur un grand dénivelé tout en permettant un taux de chute appréciable et, chose à ne pas negliger, dans de bonnes conditions de surveillance visuelle de son environnement autour et en dessous de soi.

Bonne journée

Je trouve sympa, ce qu’ils essayent de faire pour déchiffrer l’homologation, mais normalement un pilote bien formé ce doit l’apprendre par lui-même.
Pour les pilotes de voiles accessibles y a les écoles pour les renseigner, pour les autres qui veulent trouver des marchés parallèles pour acheter leurs voiles moins chers, c’est en connaissance de cause.
Pour les occas c’est pareil les instructeurs sérieux donne leurs avis quand un débutant veut acheter sa voile.
Le parapente c’est sport qui demande un minimum de connaissance, et comprendre l’homologation en fait partie.

il me semble que l’idée ne soit pas de déchiffrer l’homologation, qui ne correspond pas à un niveau de vol au sens strict, mais bien de donner une échelle parallèle qui permette de donner visuellement le niveau d’exigence de pilotage d’une voile rapporté par l’essayeur.

déchiffrer l’homologation, c’est simple, tu lis le rapport.
déchiffrer le type de voile, tu l’essaye, ou tu lis l’article. leur truc c’est définir une échelle visuelle qui résume l’article.