Je comprends l’émotion, mais je ne vois pas pourquoi la situation “biplace” devrait empêcher ces erreurs.
Oui, bien sûr, le biplaceur sait qu’il risque la vie de son passager en plus de la sienne. Mais le pilote solo sait qu’il risque sa vie, ce qui devrait suffire comme motivation à la rigueur et la concentration, et cependant la faute reste possible.
A mon avis, insister sur le fait que le risque en biplace est “encore plus grave que le gravissime”, c’est inopérant par rapport à ces mécanismes humains d’erreurs.

