avec MAn’s : même conception du bi et mêmes objectifs, le partage plaisir en famille dans des conditions sans risque (apparent-évident)… après la surprise est au détour du virage… Mais si je souhaitais partir en cross en bi ce serait avec un autre pilote. Pour moi cette “performance” serait partagée avec la petite prise de risque en plus mais entre connaisseurs.
Pour en revenir au thermique en bi … à part si tu as au moins 800 m de déniv, t’as intérêt à aborder tôt le thermique en bi sous peine de finir ton plouf en 4 minutes, de frustrer le passager et de finir comme un félé qui fait un sport de ouf où il n’y a pas de plaisir…(encore qu’un plouf de 800 m c’est 8 mn…) alors que l’objectif était de partager un petit rêve un peu plus long…
Quant à mettre de la compète dans de la qualif… je crois que ce sont deux combats différents… et qui ne vont pas s’apporter grand’chose… perso, je n’ai pas encore réussi à me brancher compète (je suis peut-être pépére avant l’heure :lol: ) je m’amuse parfois à en suivre mais je lâche avant la fin… En compète on doit développer plus de stratégie, de finesse de pilotage certainement aussi, mais cette dernière peut se faire dans le bocal ou ses environs si on s’en donne la peine. C’est un peu comme se dire “à chaque fois que je vais poser (en solo ou en bi) je vais faire la cible”, s’auto challenger.
Très simple, c’est du local qui peut être à finesse 6 de l’atterro.
Et ça m’est déjà arrivé de me faire des sueurs froides pour rentrer : mauvaise estimation des conditions, ça forcit et le vent tourne plein Est alors que je pensais que ça resterait en brise ; là je suis dans un secteur qui est sous le vent d’un autre relief et c’est un passage imposé pour rentrer au terrain. Tu te retrouves confronté à un flux forcissant face/travers, jamais très haut par rapport au relief, dans des turbulences sévères (même si pas démentielles…), avec des déclenchements cisaillés et le choix est entre tenter de passer malgré ta vitesse-sol qui diminue en comptant sur ton exploitation de l’aérologie ou poser en fond de vallée secondaire complètement sous le vent là sous tes pieds, dans du champ pas très grand avec des obstacles (bâtiment et clôtures)… En solo, dans la situation tu te dis “Boarf, au pire je pose en vrac en roulé-boulé avec l’aile à moitié fermée…”.
Chuis rentré… Posé vivant, posé content… Oui mais à deux… Pas très fier.
bon … chuis peut être un crosseur impénitant …
mais pour moi, faire découvrir ce que je vis en bi … c’est justement élargir le champ du jeu dès que le passage peut apréhender les secousses (voire parfois un poil avant :canape: )
tu prend le “grand bocal” de st hil (qui maintenant va jusqu’au chateau nardant) … en fait t’as même pas besoin d’aller si loin : dès que tu quitte le sous ondulatoire de la combe de sintil, ben tu commence à prendre le risque de devoir improviser une vache dans un endroit pas possible (et crois moi que des endroits pas possible à un jet de pierre sous le vent de sintil, je peux t’en citer un paquet, ça commence au cimetière de lumbin jusqu’à la cours des casernement de gendarmerie de crolles)(ceci dit, pratiqué en solo ).
Sans même partir en cross …comme le disait surfair : l’évolution des conditions. me souviens du vol de trop à allevard … le sud avait fini par rentrer. du coup il a bien fallu que j’aille me poser en urgence, dans les rouleaux :?
j’en connais quelques uns aussi … en l’occurrence je suis déjà bien content qu’on me prête ce camion là, même si c’est vrai que je prends plus mon pied avec des bi bcp plus “sport” (et je pense que mes passagers apprècient mieux : moins l’effet citroën)…
c’est ce que je disais (sauf qu’il n’y a pas un seul nom qui soit réputé pour le drift :mdr: )
d’un autre coté, je ne suis pas non plus complétement fermé … l’autre jour ça m’a fait du mal de voir un chauffeur de taxi se faire une rue en marche arrière suite à un tête à queue à cause de la neige. Le mec il en menait pas large (et il savait plus se remettre dans le bon sens) … et j’aurais pas aimé du tout être son client :evil:
la sécurité routière est-ce que c’est avoir tous ses points sur son permis ? (ne pas se faire flasher) ou bien est-ce savoir évaluer où on en est du potentiel (de la machine, de l’aérologie) et pouvoir décider si on peut encore mettre le pied dedans, si on est déjà dans le rouge (et si oui pourquoi).
malheureusement, la réponse “”“fédérale”"" c’est que la compet est l’apprentissage de ce potentiel. Je n’en suis pas convaincu (même s’il est un facteur facilitant), d’autant plus qu’il existe des tas d’autres pièges à éviter.
D’ailleurs … pendant qu’on en parle … un des trucs qui me gène (dans ce sondage, mais dans bon nombre de discussions aussi) c’est la scission “amateur” vs “pro”.
Je trouve beaucoup plus “crainteux” des pros qui ne se posent plus la moindre question (notamment en terme de gestion des passagers) parce qu’ils en tournent des milliers. tu vois les pro (je schématise un peu quand même) qui finissent pas ne plus faire le moindre briefing passager, pasce qu’ils savent qu’ils arriveront à décoller que le pax soit récalcitrant ou coopératif. tu vois des pros qui continuent à tourner des bi (avec les hollandais ) paske c’est leur gagne pain, malgré le CB. C’est vrai qu’ils savent parfaitement enquiller un -20 et le tenir sur 6584 tours …
houlala vaste sujet !
perso j’ai pas repondu car je sais pas quoi repondre,
par contre pour l’histoire des dhv42 voir 72, c’est le truc qui me gonfle, je connais des mecs qui sont en 2et qui ferais mieux d’être avec une voile en dessous, après, il faut peut considérer que chacun ça pratique, perso j’ai pas envi de me prendre la tête et j’ai pas envi d’être obligé de toujours tenir mon aile, je vole en 1/2 et j’ai pas envi de passer au dessus car je n’en vois pas l’utilité, ça me suffirt pour faire mes cross, et en rando, je ne vois pas l’intérêt!!!
Pour la compète, c’est un truc que je n’aime pas, et je ne voit pas l’intérêt pour moi la aussi, après comme déjà dit chacun son truc et ça pratique. je connais la aussi de mec qui font de la compète et qui son incapable de me suivre, donc oui la compète est formateur mais pourquoi cela devrait être une des conditions. je voulais passe le BE, je ne l’ai pas fait car je n’avais pas envi de faire de la compète !
après, oui il faut avoir un minimum de bagage pour la qbi, mais franchement quand je voit la formation que j’ai eu…
le truc, c’est d’essayer de constamment ce remettre en cause. j’ai fait un bi avec cleer ou j’ai jamais reuçit a decolé alors que les conditions était corect (mise a part un max de neige ), ben je suis retourné a la pente école pour essayer de comprendre ou était le problème !
je pense que la formation devrait effectivement etre obligatoire (remarque ce l’ai déjà pour avoir une assurance) pour que l’on voit les grosse différence entre bi et solo, car a mon sens la différence n’ai pas en l’air, mais a l’atterrissage et au deco.
Franchement, j’ai passé le pilote confirmé et la qbi en répondant tout l’opposé de ce que je pensais car je ne suis pas d’accord avec beaucoup de point du référentiel de la fede , mais ça c’est encore un autre sujet !!!
pour conclure, le bi c’est pas a prendre a la légère, on a quand même la vie de quelqu’un d’autre entre nos commandes !!!
a+
bin si, le dernier nommé , faut voir la gueule de ses virages, et pas que sur neige :affraid:
[quote]d’un autre coté, je ne suis pas non plus complétement fermé … l’autre jour ça m’a fait du mal de voir un chauffeur de taxi se faire une rue en marche arrière suite à un tête à queue à cause de la neige. Le mec il en menait pas large (et il savait plus se remettre dans le bon sens) … et j’aurais pas aimé du tout être son client :evil:
la sécurité routière est-ce que c’est avoir tous ses points sur son permis ? (ne pas se faire flasher) ou bien est-ce savoir évaluer où on en est du potentiel (de la machine, de l’aérologie) et pouvoir décider si on peut encore mettre le pied dedans, si on est déjà dans le rouge (et si oui pourquoi).
malheureusement, la réponse “”“fédérale”"" c’est que la compet est l’apprentissage de ce potentiel. Je n’en suis pas convaincu (même s’il est un facteur facilitant), d’autant plus qu’il existe des tas d’autres pièges à éviter.
[/quote]
la sécurité routière, c’est justement respecter ces règles nationales, même si les circonstances pourraient nous permettre de rouler plus vite (route dégagée, grande visibilité, route sèche, personne à proximité, ou bien de changer de voie sans clignotant (personne ni derrière, ni devant à 3km).
en parapente, ce serait "faire une bonne prévol vérifier le rétroviseur bon étalage de l’aile, mettre sa ceinture ses cuissardes ventrales, regarder dans l’angle mort avant de déboiter les conditions avant de décoller, respecter les distances de sécurité, se garer atterir en toute sécurité.
le fait de se faire flasher n’a rien à voir avec la sécurité (tu peux faire 1000 km par an à 150km/h de moyenne, tu auras moins de chance de te faire flasher qu’en en faisant 150 000 km à 130 +/-7km/h, pourtant tu prends certainement de plus gros risques!)
je crois que si on respecter ce “code de la route du vol” en toute condition quand on est en biplace (voire quand les conditions se dégradent: en respectant un 110km/hune marge par rapport au relief) on diminue drastiquement les chances de se faire flasher crasher, soi et son passager.
mais bon, ce n’est qu’un avis personnel…
ensuite, que des pros (ou d’autres) envoient comme des porcs quelle que soit les conditions, c’est un autre problème et j’y connais rien.
Pour moi la scission amateur/pro est justifiée.
La démarche n’est pas la même à la base. La formation non plus. Et je ne suis pas en train de dire qu’un biplaceur pro est plus sûr qu’un biplaceur amateur…
Simplement la Qualif Biplace tente beaucoup de monde pour le partage du vol. C’est intéressant de voir quelles sont les représentations qui nous y conduisent, quelles compétences nous pensons avoir et comment nous nous figurons notre pratique du biplace.
D’ailleurs, à ce sujet je m’étonne qu’il ne se fasse pas plus de cross en bi. Avec quelques machines récentes on a la perf des DHV2+ et la tranquillité des DHV1-2- ainsi que la mania d’une solo et le passager pour faire la navigation ou les tartines de pâté…
Rien coché : pas d’option qui me convient …
Me concernant, la Qbi me tente pour voler avec Mme (qui vole également en solo). Par contre, je me sens encore un peu juste techniquement pour la passer.
Je vous avoue que je me serai bien laissé tenter par des ploufs St hilesque du matin sans Qbi (uniquement avec Mme) puis passer la Qbi dans qques années. On m’a dit que c’était pas bien et que je ne peux pas me faire assurer : c’est tout ce qui m’a retenu ! :canape:
BP depuis l’an dernier, je vais tenter de passer le BPC cette année et QBi l’an prochain …
Ben, dans l’esprit du truc tu aurais peut-être du choisir entre
“ça sert à rien parce que c’est comme en solo” et “Pour emmener les gens, ce qui compte c’est l’expérience”, non ? Ou voter pour les deux, ce qui me semble résumer ta position.
c’est là qu’il ne faut pas confondre l’émanation d’un symbole de pensée unique ( :canape: non sandrol je n’ai pas parlé de la pensée unique :mdr: c’est juste une expression) laquelle s’appelle “sécurité routière” avec un truc presque pareil qui n’a pas de meilleur nom que “la sécurié sur la route”.
les routes sont limitées à 90km/h … donc à la lecture des dogmes nationaux, tu peux te croire en sécurité en roulant à 90km/h sur ta petite route … pourtant faut être sévèrement burné du caribou pour maintenir le fameux 90 sur une route de montagne ! et des contre exemples j’en ai des tonnes …
La limite absolue du 50 en ville a-t-il un sens quand tu te tapes le périphérique de Rennes à 4H du mat’ ?
puisqu’on cause de voiture (c’est plus facile que le parapente car les évolutions météo n’ont aucune influences, y a pas de prédiction en voiture, il n’y a que de l’anticipation)… un voiture ça a un potentiel (d’adhérence) … après c’est au chauffeur de décider ce qu’il fait de ce potentiel…et là j’ose appeler ça un pilote. il peut utiliser son potentiel pour faire un chrono (course) ou bien pour rouler en sécurité.
ben voilà … tu peux parfaitement respecter les règle de la sécurité routière, les règles de bon sens (pas le 90 sur une route de montagne) et te mettre en danger (toi, tes passagers et les autres usagers de la route) sur des broutilles dont personne ne t’a jamais parlé mais qui concourent à l’adhérence (par exemple les gonzes qui secouent leur caisse en donnant des coups de volant dans les virages pask’ils sont en train de se gratter la tête … rigolez pas, j’en vois tous les jours - autre exemple : tous ceux qui ne savent pas se bloquer dans un siège pour freiner … et j’en ai encore un tas d’autres comme ça)
ben oui … mais voilà, pour savoir ces règles là, je suis d’accord avec surfair (enfin avec la 5e réponse du sondage), il faut avoir pratiqué aux limites pour justement connaitre ces limites et non pas les règles qui n’ont aucune sens (à la limite connaitre les lois de la physique qui dictent l’adhérence d’une voiture si )
maintenant …
vu comment est fait la compet … on peut très bien y aller sans rien comprendre au vol et aux limites du vol.
(exactement comme Thierry) l’examen il suffit de bachoter répondre ce que la fédé et l’examinateur veulent lire pour l’avoir .
A contrario, il faut aussi savoir fermer sa grande gueule et ne pas poser de question (sinon tu sort du lot et tu fini par emmerder le formateur-examinateur)(je suis passé à 2 doigts de ne pas avoir ma QBi à cause de ma grande gueule pendant la formation … désolé d’être curieux de vouloir comprendre et de n’avoir aucun scrupule à remettre tout en cause pour vouloir comprendre)
(pour thierry) j’ai pas (pas encore ?) trouvé d’autre formulation que le DHV … et je suis tout à fait d’accord avec toi : il y a des gus qui volent sous des (presque) gun sans rien comprendre, tout comme il y en a d’autres qui veulent vole en photographiant, en se roulant une cloppe etc … et donc volent par choix en DHV0-1 alors qu’ils auraient le niveau pour du DHV256 … ce que je voulais dire c’est que pour gérer un déco (surtout en bi) il faut savoir gérer le balancier … apprentissage que ne permet pas une aile trop amortie qui aura fait le boulot à la place du pilote pendant ces 395 années de vols.
piwi, je savais bien que sur la question de la fede entre autre, on avais le meme avis, et pour ma qbi et mes bp, c’est claire que j’ai vraiment fermé ma gueule :mrgreen:
avec les bi que j’ai testé, j’ai toujours trouvé impressionnant la facilité de gerer la voile au deco par raport a ne aile solo, au sol je fait des truc avec mon bi que je n’arrive pas a faire avec mon aile solo, aprers, reste la gestion du passagé !!!
ben l’aile en elle même pardonne énormément, recentre très facilement et sa surface prend l’air avec un rien de zef
la prise en charge est véritablement travaillée …
mais ben oui mais
si tu décolle avec l’aile derrière paske t’as mis les watts comme une brute et que l’aile a pas eu le temps de prendre la même vitesse que le bipède ou quadripède qui est en dessous … ben là, le problème (balancier) est multiplié par deux …
enfin c’est ma sensation.
en plus, en solo il m’arrive de mettre un +/- gros coup de hanche et l’aile monte trop vite ou trop lentement … et je compense en mettant plus ou moins les watt dans ma course.
La technique est proprement inutilisable en bi … tu es collé à ton pax qui va t’empêcher de mettre plus de vitesse ou qui au contraire va en mettre trop… du coup faut vraiment savoir travailler le gonflage et savoir gérer le pendule pendant toute la course d’élan.
oui tu peux pousser ou freiner le pax … mais ça ne te permet pas de moduler à 100% ta vitesse (sans même parler du grand classique du pax qui se jette dans la sellette quand il sent les tous premiers prémisses d’une prise en charge qui n’est qu’un début de gonflage
http://schoepp.free.fr/gallerie/galleries/expressions/thumbnail/thumb_Biplaces%20MJC%20041.jpg
Bon, t’as pas d’excuse ! Toi t’es du gabarit “mâle”. Moi je fais 60 kg. En plus j’ai horreur de me répéter.
Donc mes briefings passagers ça se résume à une simulation sur le déco plus une mise en condition verbale :
“Bon, va falloir faire exactement ce que je te dis.
Quand je te le dirai faudra courir, accélérer à fond et ne pas s’asseoir. Si tu t’assieds avant que je te le dise ou si tu cours pas quand je te le dis, on se met une grosse gaufre et ce sera ta faute !”
Voilà, comme ça on tergiverse pas des heures avant d’y aller et j’ai jamais eu de scandale tel celui de ta photo…
J’adore ta photo PY !!! Le stress, la peur de l’inconnu à suivre (?) et déjà assise dans la sellette alors que la voile lève à peine !!! Mais on peut aussi imaginer le moment de bonheur, voire le sourire quelques minutes plus tard (enfin, j’espère !).
C’est vrai que le briefing a un côté “school” un peu désuet, mais alors tellement important et rassurant, même si tu préviens qu’on va se gauffrer si tu bouges pas !!!
Pas épais, mais avec 185 cm j’utilise en plus de la voix qui stimule, le contact pour motiver le passager… ça a marché jusqu’à un gabari de 125 kg…
mais bon, on s’égare du sujet…
Pour en revenir à une remarque un peu plus haut, je ne crois pas qu’il faille ici, comparer bi pro et bi amateur. 2 objectifs différents et 2 manières de voler (malheureusement)… Mais c’est un gagne pain pour certains, alors aujourd’hui quand il faut survivre… tant qu’on ne nuit pas… je reste indulgent !
:mdr: Tordante la photo Piwaille : la mamie se voit déjà assise comme dans l’Airbus. Elle attend sans doute qu’une hôtesse arrive pour lui proposer une boisson ! Warf. :bu:
Oui, pourquoi est-ce que l’activité biplace n’est pas régie par le transport aérien mais considérée comme une activité sportive ?
Parcequ’elle requiert la participation active du passager pour le décollage et l’atterrissage…
Comme démontré par la photo !
salut les biplaceurs ; après 5 années de vol je vais passer ma qualif bi en septembre dans les pyrénées.J’ai encore cependant des doutes quant à ma capacité de gérer les divers incidents de vol possibles ! Jusqu’à maintenant j’ai juste subi quelques jolies fermetures et une belle frontale cette année lors de conditions généreuses en plaine…(Personnellement c’est pour emmener ma petite famille , et avec des décollages treuils plaine oblige!).
Pour en revenir au sujet un côté pas assez soulevé de votre part est la capacité du pilote à faire sa météo sur place en fonction des différentes source d’infos; c’est pourquoi je pense que le biplaceur amateur doit garder une grosse marge de sécurité durant ses débuts et au fils du temps se rapprocher des décisions de vol “solo”. Par exemple l’absence de brise ou vent pour le décollage peut rendre le décollage difficile pour un amateur alors qu’un pro réussi 99% de ces déco.Le risque pour moi sera en premier le décollage, phase déterminante quand on est deux sous ce bout de chiffon et je pense retrouver l’adrénaline de mes débuts lors de ces vols bi!
Arf, on voit le plaineux qui parle !
Perso, c’est quand il y a trop de vent que je m’abstiens ! Par vent nul, c’est nickel (même si c’est mieux avec une légère brise, on est d’accord) !
tu as surement raison mais j’ai tellement vu de décollage raté par des bi"amateurs" sans vent…L’inconvénient sans vent je crois…c’est la course d’élan; à deux c’est pas toujours le top ; sinon j’ai vu un bon biplaceur attendre de longues minutes au déco la bouffée salvatrice…Voili voilà …à bientôt Man’s