C’est pour ça que je dis que c’est plus facile chez moi. J’ai une connaissance suffisamment approfondie des différents acteurs pour aller au contact. Et je l’ai déjà fait. La situation peut être compliquée et je comprends que certains locaux puissent être exaspérés. Néanmoins si personne ne fait rien elle ne peut que se dégrader. La première des choses est quand même de signifier aux intéressés que eux aussi peuvent avoir à répondre de leurs actes devant un tribunal. Je ne sais pas si c’est toute la vallée qui risque mais je ne doute pas qu’il y ait des ‘alliés’ aux parapentistes dans le secteur. Le reste c’est discussion, négociation et communication auprès des pratiquants.
Ben je ne sais pas. Faut attendre qu’il y ait un mort pour faire quelque chose ?
Je l’ai lu. Bravo à lui. Ce dossier est excellent et sa démarche est a applaudir. Néanmoins il me semble que la situation décrite ici concerne un terrain enneigé et damé pour une pratique touristique. On est bien loin de la saison des foins.
C’est exactement ce qu’il faut signifier à cet individu car il me semble que pour le moment c’est plutôt lui qui distribue.

En dehors du droit car si il était appliqué à la lettre il ne resterait plus grand chose à notre activité, il est peut-être bon de rappeler que nous évoluons dans une situation le plus souvent illégale faisant appel au civisme, au respect des propriétés et à l’intelligence et la maturité des pilotes. Mais je suis persuadé que la majorité des pilotes le savent (ceux qui lisent régulièrement le forum ne peuvent vraiment pas l’ignorer
)et respectent cette ‘charte de bonne conduite’. Malheureusement il suffit de peu pour que tout le monde soit pointé du doigt.
Je peu comprendre son exaspération mais pas la méthode. Je la trouve intolérable.
Je me soucie peu du point de vue qu’ont les gens de moi. Je ne m’autorise pas à leur faire partager celui que je me fais de eux. Le principe étant de vivre ensemble dans le respect mutuel du droit. La tolérance c’est un autre sujet dépassant largement le cadre de la pratique. Mais sans un minimum d’efforts des différents partis c’est bien le droit qui pose les limites.
bien d’accord mais je ne suis pas sûr que Matteo pour ce cas précis soit réellement la bête noire.
). Ce n’est pas une tache facile car nos points de vue sont très éloignés et certains protagonistes (des deux bords) renforcent les aprioris négatifs. Entre le local qui roule volontairement sur une voile et le parapentiste qui plie tranquillement au milieu du foin haut et envoi chier l’agriculteur en le traitant de bouseux qui râle juste pour de l’herbe, nous sommes à égalité de bêtise de mon point de vue.
