J’veux dire que des mecs comme Alexander Bard, sous couvert de culture et de réflexion fabriquent la soupe anesthésiante qui leur convient pour la servir à ceux dont ils tirent leurs revenus :
L’auteur en quelques mots… Alexander Bard est sociologue et philosophe.
Il est l’un des pionniers d’Internet, à l’origine de nombreuses entreprises d’e-commerce à succès, et dirige neuf réseaux internationaux.
C’te bonne blague…
Alexander Bard et Jan Sôderqvist développent une vision matérialiste de l’ère informationnelle, fondée sur les neurosciences et la remise en cause des concepts, selon eux dépassés, d’âme, d’ego ou d’inconscient.
En rupture avec la pensée humaniste qui s’est imposée au monde moderne par l’entremise des Lumières, de l’idéalisme hégélien et de la psychanalyse freudienne, ils montrent qu’à l’heure de la révolution technologique de l’information, le renouveau culturel, social et politique repose sur la pensée et la pratique du Réseau : l’homme n’est plus réduit à une entité isolée et homogène, il est un “dividu”, morcelé et contradictoire, en relation constante avec son environnement, dont l’activité est moins déterminée par le libre arbitre que par la génétique.
Après avoir posé la question du pouvoir à l’heure d’Internet, les auteurs des “Netocrates” en proposent ici une anthropologie et une éthique. Pour cela, ils procèdent à une relecture de Darwin - qui aurait pu prophétiser l’avènement du Net comme moyen de survie de l’homme -, de la généalogie de la morale propre à Nietzsche, et de la schizo-analyse conceptualisée par Deleuze et Guattari.
Grandiose ! Le délicieux gloubi-boulga puant du pseudo-intellectuel moderne qui tient avant tout à justifier un monde qui l’arrange et lui procure son confort au détriment des autres.
Je ne mets même pas le lien vers le site où j’ai trouvé ça, je m’en voudrais de faire de la pub à ce genre de pensée putride.
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