Concernant l’incidence, les anglo-saxons parlent d’angle d’attaque. Il s’agit donc bien de l’angle formé par l’aile et le vent relatif, sans considérer l’arrière, le bord de fuite. Sur nos aéronefs mous, il est souvent déformé. André Rose, ex Aéro-tests, excluait le bord de fuite dans la définition de la corde, du moins, ne la faisant pas varier dès que le volet était formé.
Bon, je vois que ton propos est moins agressif que les précédents. C’est fou comme les humains n’aiment pas qu’on les chatouille.



