2/3 et 1/3, ça me va. Je n’ai pas vérifié mais bon. Je n’en ai pas les moyens. Je vais demander à mon futur beau fils de me fabriquer une soufflerie grandeur nature pour éviter les erreurs liées au nombre de Reynolds et refaire les essais de la NACA. J’ai construit quand j’étais plus jeune une soufflerie dans le cadre d’un enseignement optionnel. J’en ai déduit qu’on ne pouvait rien conclure à cause des incertitudes des mesures et j’ai eu une bonne note. J’écris ça pour les crétins qui ne comprennent rien de ces échanges. Il y a vraiment des buses. Chez nous, en bord de mer, on parle de QI d’huitres. En plus de la balistique, il y avait en chimie un exercice d’oxydo-réduction … et donc en plus il fallait parler de l’oxydant le plus classique.
Ce qui me dérange, au delà de la définition de la corde et donc de la variation de l’angle d’attaque (pour une fois, j’aime les anglais) lorsque le bord de fuite (qui n’est pas l’attaque) se déforme, c’est l’explication du décrochage qui est donnée dans le manuel. Pour un manuel qui est voulu comme étant une référence, ça me parait un peu du bla bla, pas de la physique, et encore moins du vécu. C’est comme pour la page 27, du bla bla, pas de physique, pas de vécu.
Si tu veux me donner ton adresse mail, je te ferai parvenir mon digest. Je rédige un cours théorique sur les inepties qui sont propagées par la FFVL et les parapentistes à l’intention des pilotes de mon club. On va voir ça au tableau noir en septembre je pense. La fois passée, en mars, j’ai commencé par les accidents de chez nous pour parler de méca-vol.
Là, je suis sur la RFA (pardon, la FA) du secours vu par PPM. Il s’est un peu trompé. C’est sur les plaquettes péda et son livret, estampillés FFVL. Personne n’a broché à la FFVL, sauf Jacky qui m’a renvoyé un mail vengeur car c’est comme ça qu’il faut faire sans doute quand on est DTN adjoint.
Je voulais débroussailler mon jardin, mais la machine refuse de tenir le régime. J’ai rangé mes parapentes car la semaine prochaine, j’ai un stage delta. Pendant que je pliais, je cogitais, alors maintenant, j’écris. Avec ça, même les buses vont finir par savoir qui je suis.
Over.


