Pour sortir de 3-6, rien de plus simple : faut tirer une SAT à l’opposé ! Et hop, d’une pierre 2 coups : plus d’instabilité et un joli tumbling au passage :canape:
Euh … pas sur d’avoir le courage. De même que garder les mains aux maillons avec la voile bien derrière pendant la ressource; je suis pas sur de vivre ça très serein
Bah c’est sur que si tu ne le sens pas…
J’ai vu ton avatar alors je me suis dis que tu envoyais un peu.
Bref, tant que tu ne freines pas la ressource, y a quasi aucun risque avec les voiles modernes.
Oui, désolé, je voulais dire “aux poulies” pour être certain de n’avoir aucune actions aux commandes.
Et en ce qui concerne l’abattée elle vraiment modérée et n’a nécessité, sur les répétitions que j’ai faites, aucune action. Les mouvements les plus sensibles sont en roulis. C’est surprenant au départ de laisser la voile faire, mais franchement, une fois le geste de contre acquis, c’est très confortable.
Mais ça nous prive des sensations et de la glisse biens agréables de la sortie chandelle :ppte:
Ceux qui ne nous connaisse pas semblent comprendre parfois plus vite que nous
Extrait d’un rapport du SHK suédois qui avait enquêté sur la rupture complète du suspentage d’une Boom III (Valle de Bravo - 22 janvier 2004 - Moniteur 37 ans dcd)
C’est un calcul grossier, mais ça a le mérite de fixer les idées
Maintenant considérons que les 2/3 du BA sont fermés
S’il y a autorot’ , à cette fermeture se rajoute une excentration de la portance vers le lobe resté ouvert
Et c’est ainsi que l’on enregistre des facteurs de surcharge égaux ou supérieur à 3 dans le suspentage, ce qui localement nous donne à 75° d’inclinaison 3 X 4 G = 12 G
On comprend ici que les ailes de compé étaient notoirement sous-dimensionnées avant la révision de la norme… et que ça reste un point critique pour les 2 lignes pour lesquelles il arrive que des suspentes hautes neuves cassent en SIV
Ce peut être un facteur aggravant dans une configuration déjà instable, même avec un pilote entrainé dessous