Possible. En tout cas ça me donne des arguments pour retourner voir le maire. Merci à Martin pour ça aussi !
Nouveau record de France à + de 400km ?
Salut,
On écrit “0 faute” !
Pour ce qui est de la confusion entre le participe passé “é” et l’infinitif “er” des verbes du 1er groupe, j’en ai longuement parlé sur le fil dédié à l’orthographe.
On peut s’y reporter…
Mais cette faute revient très régulièrement sur le forum ; on a beau expliquer comment y remédier (en imaginant par exemple un verbe autre que du 1er groupe), cela ne fonctionne pas. :grat:
Exemple : “Cette voile acheter en…” ; écrirait-on : “Cette voile vendre en…” ? Bien sûr que non, on écrirait “vendue en…”, donc “achetée en…” !
Ces jours-ci il y a une accumulation particulièrement importante de fautes grossières d’orthographe dans plein de messages envoyés sur le forum ; je me demande un peu pourquoi ?
C’est sans doute la saison…
Je rappelle (une nouvelle fois) qu’il est facile :
- de faire “Visualiser” avant de faire “Envoyer”, histoire de vérifier rapidement son message avant de l’envoyer ;
- d’activer la fonction qui affiche automatiquement le message que l’on envoie et qu’il est possible de le modifier/corriger, si nécessaire, pendant un bon moment (20’ je crois).
J’arrête d’alimenter le fil que j’ai ouvert sur l’orthographe : ce que j’écris dedans ne sert apparemment à rien, alors…

:sors:
A+ Marc
[quote]Cela dépend de la définition de vent fort. Sur la trace CFD, on voit qu’au début du vol sa vitesse max est de 55 km, sur la fin du vol il est à 70 km/h.
Je dirai que le vent devait être entre 20 et 30 km/h sur la deuxième partie de son vol à l’altitude où il volait.
Sur la première partie le vent était faible (entre 10 et 20).
Pure supposition …
[/quote]
Supposition exacte
C’était très ventilé effectivement, et la distribution du vent assez rare (pj) dans la mesure ou sa composante nord restait longtemps dans la journée et loin vers le sud (*). En général ça oblique nord ouest en dordogne, quand c’est du plein nord à la latitude de Poitiers ou en condition de nord-nord-est (départ jeufosse) ça oblique nord-est le plus souvent vers Angers: record de France de Luc Armant. Enfin ça dépend de la forme de la dorsale mais c’est souvent ce qui se passe. On peut aller chercher les archives des prévi ici http://www.meteociel.fr/modeles/wrfnmm.php?archive=1&ech=3&mode=1&map=0
i c’est pour cela que nous autres de Poitiers on avait prévu éventuellement une trajectoire assez rare Poitiers Angoulême Chalais Marmande Condom Auch St Gaudens (testée une seule fois par Franck Arnaud posé à Marmande KM 260). Bon franck n’était pas dispo et nous autres on s’est raté grave.[/i]. De plus il aurait peut-être choisi les deux Amants. En tout cas sur l’axe poitevin la vitesse aurait été encore plus importante avec risque de rafales au sol à partir de la Garonne aux alentours de 45km/h voire un peu plus ce qui devenait un peu scabreux.
La vitesse moyenne de l’ancien record était de 41km/h (L. Armant), celle de Martin est de 42 km/h mais une des vitesses de vent les plus fortes jamais volé a donnée une moyenne de vol de 44km/h pour Franck c’était le 5 avril l’an dernier où Franck avait notamment parcouru 113 km/h en 2 heures !!! avant un point bas d’une quarantaine de minutes qui lui avait ralenti sa vitesse moyenne. Guido et lui à 310+ ce jour-là. Bref j’ai quand même du mal à croire qu’on puisse tenir en parapente en France une vitesse moyenne au-delà des 45km/h et avec 10h max de convection les 500 j’y crois pas trop contrairement au précédent propriétaire de l’Enzo de Martin, François Cormier qui s’est fait une joie de voir voler son ancienne aile aussi longtemps, aussi loin…et qui lui y croit.
A suivre.
Salut à tous,
Merci beaucoup pour vos messages !!
Je tiens à remercier notamment la LPO pour son appui sympathique, m’envoyant divers oiseaux au bon moment. Nul doute que Norby avait prévu le coup. Sinon LereseauDepp a bien vu au niveau du vent, 15kmh au départ, forcissant peu à peu pour terminer sur du 25-30 après la Loire au plaf.
Pour faire référence au propos de MasterPitrou, c’était effectivement plus fort au départ de Rigny. Pour mémoire cela dit, on a déjà vu beaucoup des moyennes beaucoup plus élevées avec les vols de Greg Blondeau et Stéphane Poulain au départ de Chamery: environ 50kmh de moyenne, pour des résultat autour de 300km, ce qui est vraiment probant.
Bref, la journée était excellente, plusieurs pilotes présents ont fait de super scores, bravo à eux aussi !! Notamment Guido, Nicolas, Sophie, Marc, j’en passe… La météo était atypique, c’est clair, c’est une configuration originale à laquelle il a fallu s’adapter rapidement. Pour ce qui est d’améliorer mon score, tout est possible, toujours !! :mrgreen:
Au plaisir de vous rencontrer, à bientôt 
Voici la carte isobarique du jour et les prévi de vent WRF à 950 hpa
Je n’ai pas mentionné les vols de Poulain et Blondeau en 2014 à 50 km/h de moyenne car je crois savoir qu’à partir de la longitude d’Orléans ils ont passé le plus clair de leur temps à tenir leur voile pour ne pas les prendre trop souvent sur la gueule. Mais tout est possible en vitesse, en condition, en axe miraculeuseument libre, et en prise de risque. Ce que j’ai constaté globalement c’est qu’on a en france en vitesse de vent globalement au plafond ce que l’on retrouve en rafale au sol. Donc sur les points bas et au posé en fin de vol il faut savoir ce qui nous (plutôt vous les cadors) attend.
Avec des vitesses supérieures à 100km/h je doute que ce soit un parapente !
Puisqu’on a l’auteur de ce vol exceptionnel sur le forum, est-ce qu’on peut en profiter pour poser quelques questions ? Bon, il risque d’y en avoir des rafales…
Sur le plan technique, entre les thermiques est-ce que tu laisse juste filer ou bien avec ta voile est-ce que tu vole accéléré ?
Est-ce que tu cherches en permanence à gagner du temps et à voler plus vite en n’utilisant que la tranche d’atmosphère la plus active ou bien est-ce que assurer et prospecter sont plus importants ? (d’ailleurs, étais-tu seul ou accompagné sur la plus grande partie du vol ?)
Sur le plan mental, est-ce que tu passe par des phases différentes au long du vol et est-ce que tu as eu des moments difficiles ? Avec ce genre de conditions, est-ce que tu vis des moments éprouvants ou bien tu es en permanence dans ta zone de confort ?
dernière vitesse (atterro) 136km/h ???

Et
avec Vincent !! Que de bonnes questions !
Je rajouterais qu’utilises tu comme instruments, et comment les gères tu pour naviguer et prévoir les zones (hors LPO
) a ne pas pénétrer voir a contourner ?
Qu’espérais tu faire avant le vol au vu des conditions du jour que tu estimais ? D’ailleurs comment avais tu préparer la journée (point de vu météo et logistique), t’etais tu mis d’accord avec d’autres pilotes pour justement voler en groupe ou au contraire tout seul (qui rejoint un peu celle de Vincent)?
Merci!
Norbert
C’ets pas l’atterro, mais en vol… et pour un planeur c’est plutot classique 
Je viens de comprendre un truc de fou, à la grande question sur la vie, l’univers et le reste, la réponse est “42” et personne n’a jamais compris pourquoi… maintenant vous comprenez…?
Non, toujours pas…?
c’est la vitesse moyenne de Martin sur son parcours! Ça ne peut pas être une coïncidence!!!
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/La_grande_question_sur_la_vie,_l'univers_et_le_reste
c’est plutot 43 que 42 ! :grat:
En tout bon scientifique… qui sait faire un arrondi ! 
Norbert
Le super ordi qui a mis 7.5 millions d’années à calculer le nombre 42 a dû arrondir par défaut… je ne vois pas d’autre explication…
Un arrondi c’est fastoche, faut juste tirer sur les ficelles au bon moment.
Il vole avec un bluflyvario bien sur !!!
Bonjour,
Je ne connaissais pas cette histoire du nombre 42 !
Et 42 correspond aussi au nombre de km d’un marathon (la distance exacte est 42,195 km) !
:sors:
Marc
B42 :canape: + :sors:
Pour répondre à Triple Seven France, je dirais qu’il n’y a de réponse simple à aucune de tes questions.
Entre les thermiques, ça dépend, pour la tranche d’activité ça dépend aussi… Je sais ça n’aide pas beaucoup, mais ça mériterait davantage une dissertation que quelques lignes forcément trop réductrices.
Par contre, je peux te dire que j’étais seul la plus grande partie du vol, et qu’effectivement, il y a eu des moments plus difficiles mentalement. Mais niveau mental, comme au sujet des moments éprouvants, il faudrait définir ce que tu appelles “zone de confort”. En plaine, on n’est que rarement “harcelé” par des conditions très turbulentes, ou en zone de risque pour soi même.
Par contre, on est constamment harcelé par le risque de poser, par des choix permanents, une route qui n’est jamais acquise et pour laquelle on n’a souvent aucune “pompe à couillon”, aucune “recette” toute faite selon l’endroit où l’on se trouve. Pour ma part, je trouve ça beaucoup plus éprouvant que l’inverse, mais aussi beaucoup plus intéressant. C’est une question de goût, je n’émets aucun jugement. Tout ça pour dire que le fil sur lequel on marche en cross de plaine est des plus ténus, la moindre erreur ne se rattrape pas. De ce point de vue, à part au plafond, tu n’es jamais dans ta zone de confort.
Le vol sera détaillé dans des articles à venir dans la presse spécialisée. J’espère que vous y trouverez des réponses à certaines de vos questions.
Merci encore pour vos messages en tous cas !