Va dire ca à JBC alors ! 
Clin d’œil a la dernière vidéo de Mister S 
Norbert
Va dire ca à JBC alors ! 
Clin d’œil a la dernière vidéo de Mister S 
Norbert
Certain(e)s d’entre vous sont bizarres…je n’ai jamais prétendu que la quantité pouvait remplacer la qualité (dans quelque domaine que ce soit quoique les femmes aiment bien la quantité aussi… :sors: ). Ce n’est pas en faisant 20 sorties de “qualité” (d’ailleurs j’aimerais bien que certain(e)s définissent ce qu’est un vole de qualité…ce serait gentil pour un piou piou comme moi.
Le vol est devenu une drogue. Quand je redescends je suis triste, une fois les pieds sur terre, je suis ailleurs dans les nuages. J’aime voler et en ce qui concerne une progression normale il me semble - vu que le parapente est un sport de maturation - que plus on vole, plus on gonfle (j’essaie en atterrissant maintenant), plus la mémoire corporelle et sensorielle se développent. J’ai la chance d’avoir du temps et de voler assez souvent. Maintenant que ce soit plouf ou plus fortes conditions (en essayant d’être plus clairvoyant sur le niveau des conditions), je prends, pour le plaisir et apprendre de chaque vol mais bien malin(e) celui ou celle qui dira que son prochain vol sera de qualité
on ne le sait qu’après et encore…
Dans les ploufs vers Doussard, j’aime le bleu du ciel et le bleu du lac, les montagnes aux alentours, le soleil, j’apprends à aimer, à regarder, à observer les évolutions d’autres pilotes, les bateaux en bas. C’est grandiose. j’apprends aussi à construire mon approche, à être de plus en plus précis à l’atterrissage en fixant un point, je regarde les autres voiles en approche et la biroute. Hier, je vois un pote et ai réussi à me poser à 5m de lui alors qu’il y avait encore un peu de monde. Donc ça commence à rentrer.
Dans des conditions plus fortes, rentrer dans un thermique, en sortir, resserrer les thermiques, sentir le noyau (aidé par le vario), sentir le thermique, repérer où ils sont, voir les voiles autour, faire attention aux priorités, ne pas trop serrer les arbres tout en profitant du dynamique, jouer avec les nuages, gérer les dégueulantes, s’accrocher, se battre, ne pas rendre la main quand on descend plus bas que les autres ou plus bas, apprendre la patience, remonter mètre après mètre, gérer les tangages, les cisaillements. Tout ce qu’on a emmagasiné en mémoire revient et parfois le réflexe devient plus précis. J’ai été étonné mais je commence à parfois sentir le thermique avant le bip bip du vario dans la pression aux commandes. Et j’arrive à anticiper le virage. Donc il me semble avec humilité que plus on peut voler, mieux c’est. Et statistiquement plus il y a de vols, plus il y a de qualité 
La prochaine fois qu’un prof me dit qu’il travaille trop et qu’il est mal payé, je l’envoie lire les posts de M@tthieu 
prof 180 vols en 9 mois…
travailleur lambda 80 vols en 5 ans
:grat:
Mdr Stepson, mais je n’ai pas de vie de famille, pas de copine attitrée depuis que je fais du parapente et pas d’enfants. Ca aide je crois…j’en profite !
Pas de cuisine à faire (plats cuisinés ça fait un demi-vol par jour !) et puis je suis à la fac donc un peu plus de temps libre… ce serait indélicat pour les travailleurs lambdas de dire combien j’ai de semaines de vacances…je n’ai jamais fait grève car je me sens en effet privilégié…
[quote]Et statistiquement plus il y a de vols, plus il y a de qualité Tire la langue
[/quote]
et statistiquement plus tu voles et plus tu peux t’en prendre une :roll:
En ne volant pas c’est sûr de ne pas s’en prendre une ! 
Kortel étant présent à l’APX ils m’ont affiné les réglages de la Kamasutra 2 faits par Paratroc. Mes appuis sellette (sur portique) sont parfaits. Je me sens bien
et même pas besoin de changer de sellette ! Là je vis !