Merci beaucoup pour ces precieusrs informations. L’etude d’impact m’interesse grave, je vais de ce pas contacter Dame Parapente Vieux Sac :clown:
Planfait (suite)
Gougueule est mon nami (Vivi aussi, c’est mon n-amie, mais elle répond pas assez vite) :
http://bit.ly/15Xc22s
Je dirais que pour ce qui est du vent, ça vole plus souvent à Planfait car c’est mieux protégé de la bise et surtout du sud.
Saint-Hilaire doit moins avoir de brouillards en automne-hivers.
Au niveau des jours volables, ça doit être un peu près pareil.
L’étude en question : http://www.paraglidingforum.com/viewtopic.php?t=23681
La précédente discussion sur le forum http://www.parapentiste.info/forum/sites-de-vols/danger-du-cote-dannecy-t25131.0.html
130 000 décollages d’après la source… j’étais loin du compte
Pourtant, quand ils parlent de 1000 déco/jours en été, ça me parait quand même énorme.
Les statistiques qui ont été publiées dans le Daubé ou dans le bulletin de Talloires sont outrageusement frelatées, l’objectif étant de faire avaler aux populations désinformées l’idée de construire un téléphérique, à leurs frais de contribuables taillables et “citronnables”.
(comme San-A, j’aime bien inventer des mots).
Une statistique partielle qui ne vaut pas grand choise :
Je suis installée à l’atterro de Planfait depuis le 22 mars, ce qui fait 50 jours, et j’ai volé 30 jours, pas volé 10 jours alors que c’était volable mais très moisi.
Cela fait 80% de jours volables, dans cette période très pourrie qui ne veut pas laisser la place à un vrai printemps.
Il n’y a eu que quelques jours permettant aux “guerriers” de faire des bornes.
Voilà. Mme POB a trouvé un WiFi pour continuer à vous bassiner avec sa prose mais vous survivrez.
à Hub
Je finis de flooder ce fil en vous disant que la réunion de samedi matin à la mairie de Borso del Grappa s’est bien passée. Il y avait 200 personnes représentant le vol libre et le message semble être passé. Merci bien à vous pour la réactivité, vos infos ont servi!

Quand vous viendrez dans le coin il faudra qu’on 
:grat: ça pourrait être sympa d’ouvrir un autre fil pour être plus explicatif 
Effectivement, avec le lien le message est plus compréhensible http://www.parapentiste.info/forum/legislation/bassano-en-danger-t29575.0.html
Bon, là c’est promis j’arrête, ceux qui sont intéressés à en savoir plus pourrons commenter sur le fil en question
:forum:
Mais pourquoi volez vous tous au même endroit :affraid: avec un attero pas forcement simple ? c’est grand la montagne … :dent: …instinct grégaire surement.
…et puisque perroix/planfait est devenu une autoroute du" vol libre" , ben faut gérer comme Vinci avec ses autoroutes ,c’est a dire se donner les moyens , en gros et entre autres problèmes du lieux, pour éviter les aterro dans tous les sens , faut en plus de la biroute ( invisible pour diverses raisons pour de nombreux “pilotes” ) mettre un système au sol visible de la haut facilement ( un gros truc graphique) pour tout le monde y compris des allemands , des “gugusses” et des débutants (ce sont souvent les mêmes , nan pas les allemands…) qui impose le sens du posé ( modifié en temps réel si nécessaire par un “DT” du jour en fonction des conditions), ca se pratique sur certains terrains de para et ca marche pas mal.
Une autoroute impose par de la signalisation claire le sens de circulation , or Perroix c’est une autoroute.
Ensuite faut pas donner le choix et sortir les récalcitrants après un avertissement.
un jour à Planfait le deco sera réglementé , c’est inévitable à mon humble avis. 
Merci Brunodu91 pour ton avis pertinent … Faudrait juste que tu nous expliques où nous pourrions trouver les moyens financiers nécessaires …
Plus prosaïquement après la période d’observation dont nous avions décidé, nous avons apporté quelques modifications au terrain de Perroix.
Voir la photo jointe.
En effet le problème majeur depuis l’élargissement du terrain était le nombre impressionnant de hors terrain (posés trop court dans l’herbe non fauchée sous le vent du terrain).
Le nombre de pilotes, biplaces compris, incapables de bâtir une approche et un final propres pour poser dans un terrain de 150 m X 70 m est hallucinant.
Ces pilotes semblent prendre comme point d’aboutissement l’entrée du terrain et non pas le centre marqué par une cible, elle même indiquée par une flèche …
Alors pour protéger l’herbe destinée à la fauche (ce qui en reste !) nous avons déplacé la limite d’entrée du terrain.
S’il vous plait, faites un effort pour poser DANS le terrain et non pas AVANT le terrain.
Pour ce faire il pourrait suffir d’essayer de poser sur la cible et donc de ne pas faire son approche 150 m sous le vent du terrain ! Nous ne disposons pas encore de parapentes à 25 de finesse …
Je ne parlerai pas bien sûr de l’anticipation de la brise et du gradient.
Je ne reviens pas sur l’interdiction de survoler la maison “du plombier”.
Salut. Il suffit peut être pour que les chose soit clair pour tout le mondes ( étrangers ) de supprimer les pointillés et mettre au centre du terrain une cible ( enfin une vrais cible avec plusieurs cercles ) ?
MG
JP a raison de mettre les choses au point, avec un vocabulaire moins agressif que le mien, mais lui comme moi n’avons aucune chance d’être lus par les gugusses qui ne lisent pas les panneaux, qui ne savent pas construire une approche, qui ne connaissent rien au gradient etc, bref les incompétents de tout poil.
Il n’y a pas de gradient comme ça en bord de mer ou en plaine, je suppose, et on commence aussi à voir pas mal de gens qui décollent aussi mal qu’ils se posent, complètement inconscients qu’un décollage en montagne n’a rien à voir avec un décollage au treuil en plaine.
C’était impressionnant cet après-midi, beaucoup posaient dans le foin à plus de 20m en amont du terrain, et ce à cause du gradient important.
Le “meilleur” a été un biplaceur allemand (région de Hanovre) qui s’est mis en vrille à 50m/sol en air calme, déjà trop loin pour atteindre le terrain, qui a surpiloté comme un débutant en pleine panique, avec des fermetures à la limite du décrochage puis a décroché et jeté le secours - qui est tombé sous lui et ne s’est pas ouvert. La passagère hurlait, ils ont eu la chance invraisemblable de s’écraser sur un toit haut et en pente forte dans le hameau des Granges, retenus par la voile qui avait accroché une lucarne sur l’autre pente du toit. Sans ce toit providentiel, il y avait deux morts.
Ils ont cassé des dizaines de tuiles, toute la sous-toiture et même un chevron !
Ils s’en tirent avec une grosse frayeur et quelques ecchymoses, et le plus révoltant fut que le pilote craignait surtout d’avoir quelque chose à payer ! En voilà un qui ne doit pas voler souvent en Allemagne, où il faut être breveté.
Un gugusse !
Les pointillés sont destinés à baliser le terrain pour qu’il soit bien visible depuis le haut et je n’ai jamais été convaincue de leur efficacité, mais cela n’est qu’un avis. Par contre la cible minuscule est très difficile à faire, glissante quand elle est humide, il faut être précis et avoir de la chance à cause des déclenchements thermiques. Une vraie cible, comme à Lumbin, aurait des avantages, idem un tracé du contour comme sur un stade de foot. “Nous” (le club des Chamois Volants, gestionnaire du site) réfléchissons à tout ça depuis pas mal de temps.
Il ne fait pas de doute que le terrain évoluera encore, tant il y a de problèmes liés à la fréquentation importante et à l’incompétence de trop de pilotes.
Bons vols à tous*
Bon courage aux gestionnaires !
Cela fait plus de 15 ans que je lutte pour que les pilotes posent dans le terrain officiel de Samoens et arrêtent de piétiner l’herbe trop accueillante des champs environnant. Notre terrain balisé est aussi grand que le votre, mais cela n’empêche pas un quart des pilotes de le louper en conditions calmes et quand le vent rentre un peu, c’est une bonne moitié à coté ! 
Ayant aussi travaillé à Morzine j’ai vu une immense différence. A Morzine quasi jamais de hors terrain, même en condition fortes. Evidement si on loupe le terrain on est soit sur un toit soit dans les câbles !
Cela oblige à se concentrer.
Quand les terrains environnants ne présentent pas de danger, les pilotes les intègre dans leur plan et acceptent trop facilement de poser à coté. Négligence ? je m’en foutisme ? manque de concentration ? manque de focalisation visuelle ? :grat:
La solution idéale serait de remplacer l’herbe des terrains environnants par des vignes ou des pommiers, mais c’est une solution un peu trop radicale à mon goût. Il reste donc l’éducation des pilotes, mais c’est une tache infinie qui ressemble au tonneau des Danaïdes.
C’est bien connu les pilotes de plaine ont des terrains immenses pour s’poser, pas d’gradient à l’atterro et le déco au treuil est une formalité …
Jeter l’anathème sur une catégorie de pilotes c’est vraiment glauque …
Franchement POB t’écris beaucoup de conn’ries, au point même de gonfler les membres de ton club … :evil:

Il y a trés longtemps,dans mon club,avant les compètes de précision d’atterissage,je partais emprunter une brouette de traçage à la chaux au club de foot du coin.
Un piquet,une corde fixée à la brouette pour le rayon et c’était parti.
Je pense que l’on devrait intégrer d’avantage la précision du poser dans le cursus de formation des pilotes.Beaucoup sont déjà contents de se poser dans les limites du terrain sans s’imposer un point d’aboutissement.
Il faut mettre de l’eau a crocodiles en bordure de chaque terrain et adieu les soucis ! :sors:
Quelque soit la taille du terrain, il y a des posés hors-terrain.
pourquoi ne pas garder une marge de secu sur les bords ? Par exemple en ne tondant pas a la meme hauteur l’herbe, voir en ne tondant pas l’herbe du tout sur 4-5m de marge ?
La diference de couleur/texture devrait marcher sur la perception de la surface, non ? Et ça coute moins cher que les crocos…
mouai décoller au treuil en plaine avec un vent travers on verra comment tu t’en sort POB (peut être très bien … ou pas )
guy