il faut imaginer l’écoulement de l’air(vent , brise) comme de l’eau d’une rivière qui contourne les obstacles , tourbillonne.Ainsi tu pourras mieux imaginer ces mouvements de l’air et tu devras toujours garder une bonne marge de sécurité vis à vis du relief ;Une règle commune que les moniteurs enseignent est la distance selon laquelle le vent est dévié par un obstacle , en gros 7 fois leur hauteur;Par exemple un mamelon de 100m de hauteur pourra influencé le vent jusqu’à 700m ! Il va de soi que cette règle s’applique pour des vents modérés n’excédant pas notre vitesse de vol ; mais si le vent est très fort mieux vaut laisser sa voile dans son sac…
karma+ beau dust sans dérive , belle musique.Je remarque qu’il tourne dans le sens anti-horaire. Ce dust alimente directement le nuage et pourrait être exploité à une hauteur de 150 m sans danger pour un pilote réveillé ! En plaine à cette hauteur(150m) je n’hésite pas à les survoler tout en sachant que la voile fermera à un moment et qu’il sera conseillé de bien visser son virage et d’être plutôt assis dans sa sellette…Méfiance tout de même les jours ou il y a du vent météo(+10km/h)…ça change les données du problème ; gardez une marge de sécurité.
Je citerais bien aussi le site d’Algodonales, en Andalousie, où le sommet plat près des décos est et sud forme très régulièrement et systématiquement des dusts en début d’après-midi.
Est-ce que les dusts se formeraient principalement sous le vent d’une source surchauffée ?
Donc au vent d’une ligne de dusts en plaine, on aurait une puissante source thermique ?
Théorie intéressante, ça correspond à mes observations, dust qui passe puis thermique, ce qui voudrait dire qu’une fois le thermique sur nous la probabilité de dust est faible.
C’est une grande teuf’ pour te décalquer les neurones et changer d’univers pendant quelques jours au milieu d’un désert US dans une ambiance bon enfant.
Si tu fais une recherche “Burning Man”, tu vas certainement trouver des choses bien plus précises et intéressantes que ce que je te dis.
Il faut suivre les cycles, mais rien n’oblige à se mettre en l’air, ce printemps par chez moi une grande majorité des conditions thermiques étaient accompagnées de dust.
Les quelques incidents ont été subit par ceux qui étaient au sol avec les caissons à l’air.