Ma remarque concernant GIN (la maison mère) - dont j’ai bien précisé que je ne connaissait pas l’histoire et la structure financière - était liée au fait qu’il me semblait que cela soit la plus grosse structure au monde dans notre activité, et avec probablememnt un patron et quelques dirigeant un peu mieux rémunérés que la moyenne dans cette activité.
Et je ne penses pas que les dirigeants des autres constructeurs - et probablement aussi ceux de GIN si j’ai bien compris - se mettent dans les poches des niveaux de revenus équivallent à ceux qu’on trouve chez pas mal de dirigeants dans l’industrie ou les services à taille équivallente.
Donc même si notre activité nous coutera toujours trop cher en regard des passionnés que nous sommes qui voullons toujours en faire plus et de nos modestes revenus… malgrés tous, je ne pense pas qu’il y en ait beaucoup qui fassent fortune sur notre dos.
Le marché du parapente ne permet pas de production ni de distribution en trés grande quantité (au sens industriel du terme : chaine, économie d’échelles, etc…), et à l’inverse il y a une multitude de contructeurs, de produits, et une vitesse de renouvellement importante. Il suffit de comparer le nombre d’exemplaire de parapente commercialisés pour le modèle qui à été la plus grande réussite populaire… avec des ventes trés moyenne de l’industrie automobile, du téléphone portable, des jeux vidéo,… et de réaliser qu’on ne parle pas de la même chose.
Il suffit de comparer dans l’industrie du nautisme ou les produits là aussi sont “cher” parce que réalisés quasi-artisanallement, même chez les plus gros… et pourtant il y a un marcher bien plus important que le notre.
Il serait sans doute possible de diviser par 3 ou 4 les prix (techniquement un téléviseur grand écran LCD moderne est sans doute plus pointu à réaliser), mais à condition d’en produire quelque millions par modèle, en une seule taille et couleur et qu’ils soit vendu en grande surface et que le marché potentiel soit 1 famille sur 2 avec un tx moyen de renouvellement tous les 3 ans.
Par de panique Surfair, je pense qu’ici personne ne fait de procés aux professionnels en général. Simplement certains, par méconnaissance, dont probablement moi, ont parfois une vision altérée des réalités économique quotidienne du milieu et posent des questions… ils peuvent aussi avoir été échaudés par un indélicat comme il en existe parfois.
Aux pros de faire preuve de pédagogie et de transparence : on soutient et on aime mieux ceux que l’on connait bien. 
donc :censure: )