Ah voui!!!
Thierry!!!
j avais pas pensé à celui là!!!
:bisous:
Question sérieuse - cette fois ci- et besoin d'avis sur la chose
j’ai lu mais j’sais pu trop où au dessus que tu attendrait le printemps prochain pour voler, je te le déconseil, la neige est un excelent amortisseur (pour un peu qu’elle soit pas tassée 
) et ça pourrait te servir au niveau du posé (quelque soit celuiu que tu ai décidé de faire)
Dans la pratique du hockey sur glace, ont rencontre pas mal de patineuses artistiques ( :mrgreen: ) qui font des sauts assez impressionant et finissent par retomber sur leur pattes, ce qui solicite énormément les chevilles (bon je sais qu’t’en fera pas du patinage antartique mais … ) il existe une corrélation toutefois, le secret se situe au niveau des jambes… il faut amortir en pliant les genoux pour soulager les chevilles…
vala mon avis / conseils …
Tu peux aussi trouver un simulateur de vol pour développer la perception de ton positionnement dans l’espace.
Si tu poses à Saint Martin d’Uriage à chaque fois, je pense que ce n’est pas le plus simple pour faire de grande et belles approches vu les interdictions de survol et l’étroitesse du terrain. En plus, le terrain n’est pas très plat, ce qui ne facilite pas la manoeuvre.
Tu pourrais essayer de t’entrainer à poser sur un terrain bien plat et suffisament grand (ex: Allevard) pour bien prendre tes repères.
Y’a pas de miracle, il faut pratiquer. Voir amortir sur la bonne jambe en levant la patte fragile et te laisser rouler au besoin. :banane:
Oui, l’aigle ou la pente école de St Hil. Sur cette dernière il y a la petite cassure qui te permet de décoller d’ 1 mètre et de freiner/poser dans la foulée. En restant debout dans la sellette.
Speedy, reviens peut-être au B.A. BA en sortant de la sellette assez tôt, une dizaine de secondes avant de te poser, tu seras prête a dissiper l’énergie horizontal avec 1 ou 2 pas en avant ou à te fléchir pour absorber l’énergie verticale. Ton mono a dû te le dire en init donc je n’insiste pas.
Si ça tape fort c’est que tu tombes de trop haut.
1ère partie du freinage progressive pour casser la vitesse sans avoir une ressource trop importante. Je ne sais pas pour les autres mais je n’ai pas la sensation d’un effet pendulaire à ce moment là, il doit être léger.
Il faut que tu arrives à te coordonner pour avoir les mains sous les fesses au moment ou tu poses le pied. Je ne sais pas si c’est la bonne méthode, en tout les cas ça marche pour moi.
Je sais que je laisse filer le plus longtemps possible, je casse un peu ma vitesse (à 1/3 du débattement du freinage complet) en descendant les mains doucement et je baisse les 2/3 restant plus vite, mais pas sèchement, à moins d’un mètre du sol, je dirais même autour de 30 cm, en coordonnant le mouvement pour avoir les mains sous les fesses au moment ou je pose le pied ou un petit chouilla avant.
Au pire je tombe de 30 cm…même ta cheville convalescente devrait pouvoir résister à une chute de cette hauteur, c’est encore mieux si tu poses l’autre pied en premier, en te tenant prête à faire 1 ou 2 pas en avant.
Je me suis toujours posé dans des conditions avec peu ou pas de vent, sans problème, c’est pourquoi je n’appréhende vraiment pas l’atterro. Le jour ou je me prendrais un gradient dans la face je ferais peut-être moins le fier, mais je sais qu’en tirant tout sous le cul, j’arrive à dissiper l’énergie totalement = No Stress.
Je te souhaite la même chose, allez courage :bisous: