Quid sur la concurrence déloyale entre une association et des professionnels

Le club de mon CE. On a décidé de ne plus faire payer les journées découvertes pour bien marquer notre statut bénévole (notamment en cas de poursuites si cela devait arriver un jour).
Pour le reste de ta prose wowo, désolé, je n’ai pas lu… merci d’avance d’être un peu plus synthétique.

Tout à fait d’accord avec toi Michel !

Comme je l’ai dit les biplaces associatifs réalisés par les pilotes de notre club sont gratuits et annoncés comme tels !
Mais ils ne sont accessibles qu’à un public extrêmement limité (personnes appartenant à des structures “officielles” avec qui le club est en relation, membres directs des familles, “vols découverte” lors de la journée festive organisée chaque année par le CDVL sur notre site).
Sinon ils ne concernent jamais des personnes n’ayant pas de lien avec le club.
Et il est tout à fait exclu que des biplaceurs du club touchent quelque argent que ce soit de leur passager lorsqu’ils volent avec les biplaces du club.

Exemple : mon fils voulait permettre à sa compagne de faire un biplace découverte.
2 amis biplaceurs du club leur ont permis de faire un magnifique vol de plus d’1 heure au même moment au-dessus de Sainte-Victoire (avec les biplaces du club).
Mon fils a offert une bouteille de vin à chacun des 2 biplaceurs et un peu d’argent au club.

En ce qui concerne les frais d’entretien (en fait principalement de révision) des biplaces, notre club obtient chaque année une (ou des) subvention(s) de “fonctionnement”.
Avec une partie de cet argent, et avec celui des cotisations des 169 membres du club, il n’est pas difficile d’assurer financièrement l’entretien de ces 2 biplaces.

D’autre part certains pilotes du club possèdent leur propre biplace et ils sont bien sûr seuls responsables de leur activité de biplaceur avec leur matériel personnel.

A+ Marc Lassalle

Dès qu’il y a foule à l’entrée tu n’es plus dans le cadre du bi associatif. Tu as donc deux solutions :

  • renvoyer tout le monde à la maison et choisir un mode de difusion différente de l’information avec un mode de sélection différente des passagers et rester dans le cadre du bi associatif.
  • Ou faire du bi pro avec un autre brevet.

On fait souvent l’amalgamme entre les biplaceurs de tout poils sous prétexte que c’est des mecs qui volent à deux, mais bon faut jamais confondre un enculé avec un sodomite, y’en a un qu’est toujours devant et l’autre qui pue pas que du cul.

Hello Wowo!!!

Si vous connaissez vraiment des clubs qui font du biplace totalement gratuit n’en parler pas trop parce que je pense qu’il y aura foule à l’entrée. sautillant

Presque autant pour ceux qui annoncent des tarif de biplaces associatifs à 30 € et moins, pour ma part et dans les clubs que je connais ou dont je connais les tarifs, cela se situe plutôt entre 40 € (~20’) et 60 € (~1h).

Viens faire un tour à Nancy Vol Libre. C’est pas trop loin pour toi qui est dans les Vosges. Nos tarifs sont de 25E pour un vol “en local” et 30E pour un vol dans les Vosges. Quelle que soit la durée du vol (au delà de 15 min évidemment, sauf pour du treuillé).

J’ai aussi entendu parler de ce fameux gars qui fait du bi payant sans BE en poche. Je trouve ça navrant. Et j’espère pour lui qu’il ne se prendra jamais un carton parce que ce jour-là les assurances vont se faire un plaisir de le mettre dans la merde grave…

Quand défraiement des biplaceurs du club qui utilisent leur matériel lors des sorties biplace organisées par le club, il se fait en prenant en charge par le club la révision annuelle de leur bi, le pliage annuel du secours, et cette année l’IA passager (au total 10 bi en révision, et les pliages de 10 secours).

Et au cas où certains seraient tentés de se faire du blé en faisant des bi au black, nous faisons signer aux biplaceurs du club une convention qui dit clairement que tout argent versé pour un bi doit être reversé au club sous peine de se voir interdit le prêt du matériel club. Et nous sommes en réflexion pour intégrer à la sanction le fait de ne plus recevoir d’aides du club pour une durée à déterminer…

:coucou: michel … ça ne m’étonne même pas (le ratio x2) …

euh qu’est-ce que tu entends pas “plus cher” ?

  • Le coût pour le client ? là entièrement d’accord
  • la rentabilité pour la structure qui encaisse ? là c’est entièrement le contraire : le club paie à peu près 0% d’impots, taxes etc … et si le club subventionnait la licence biplace, elle n’est pas tout à fait au même tarif non plus

bref tout ça pour rappeler que le prix payé n’est pas l’argent gagné par un pro.

sans être comptable, tu peux calculer le prix de revient ce que tu veux … il suffit que la régle soit simple, claire et bien formulée.

tu peux par exemple estimer que la durée de vie d’un parapente c’est 300h de vol … à 3000€ le parapente ça fait un cout de revient de 10€/h soit
2€50 le plouf d’un quart d’heure (est-ce que ça vaut le coup de s’emm… pour 2€50 ?)

Après on peut partir sur une durée de vie de 3 ans … mais là on “risque” la collision avec les plans d’amortissement des divers (qui généralement durent 5 ans et par exception durent 3 ans justement) du coup il faudra certainement plus “prouver” ces 3 ans … bref plus de peine que pour les 300H/vols … pour un résultat équivalent :?

pour (mieux) répondre à acro du 25 : un pro ne peux pas non plus imposer à un autre pro de faire le même tarif que lui … ça s’appelle de l’entente illégale sur le prix … voir le fil où free a gagné des millions parce que orange sfr et bouygue pratiquent les mêmes tarifs :roll:

Pour Acro du 25
Pour des raisons de mobilité géographique, j’ai fréquenté plusieurs clubs dans des régions différentes (Pyrénées, Alsace, Alpes) et je retrouve grosso modo le même type de fonctionnement par rapport au biplace et aux relations avec les professionnels :

  • une ou à la limite deux journées par an d’animation et de promotion avec des vols biplace à prix associatif, c’est-à-dire bien moins cher que ceux des pros, pour partager notre passion. Jamais plus de deux, tout simplement aussi parce que ce n’est pas rien à organiser et que le bénévolat n’est pas du sacerdoce…
  • de très bonnes relations avec les professionnels que l’on fait travailler en leur envoyant du monde pour des stages et en demandant pour le club lui-même des journées de formation à thème, type “journée thermique”, “journée d’initiation au speed-riding” (dans les Alpes), “accompagnement au cross”, “ouverture de secours sous tyrolienne”, qui sont bien évidemment payées à l’école - avec prix négocié - et à l’issue desquelles bien souvent les membres du club se tournent vers cette école de leur propre initiative pour des stages entiers.

De ce fait, l’école ne ressent pas le club comme une structure concurrente - et vice-versa - mais comme complémentaire. N’oublions pas que les écoles sont de manière générale redevables aux clubs pour ce qui concerne les sites : ceux-ci sont gérés par les clubs, conventionnés, parfois subventionnés, par la fédé - sauf quelques exceptions, je pense à la région parisienne.

En bref, sur un site, si il y a club et école, personne n’a rien à gagner à ce que ce soit la guerre. Le club bénéficie de l’apport de nouveaux membres qui auront fait leur stage avec l’école, l’école bénéficie de la dynamique de club pour l’entretien du site et la promotion “gratuite” de l’activité, tout le monde a intérêt à ce que tout fonctionne au mieux.

Mais dans ce que tu racontes, quelque chose m’interpelle : vous êtes 2 clubs ? Au même endroit ? Bizarre, non ? :grat:

karma+ C’est exactement ma façon de penser sur le sujet même si je ne suis pas capable de la synthétiser (clin d’œil à Mann’s)

@Michel M. : Dommage que tu ne t’ai pas donné la peine d’expliquer ou tu voyais la mauvaise foi dans mes propos, ça me permettrais éventuellement de mieux expliquer mes pensées. Pour ce qui est de l’humour “wowo”, ma femme trouve aussi que je n’en ai pas … ça ne l’empêche pas d’en rire … parfois !

@Hub : Non, le quidam non-BE auquel je faisais allusion ne fait pas ses Bi au black pour un club, ceci dit il fait bien partie d’un club. Mais être copain fait sans doute que l’on préfère voir la paille dans l’œil du voisin que la poutre dans le sien ?
C’est aussi pourquoi je parlais d’angélisme dans mon post précédent.

@Mann’s : Bravo à ton club, maintenant je constate qu’il s’agit d’un club de CE donc avec un financement matériel sans doute “assez” facile comparé à un club lambda. A plus forte raison s’il s’agit du CE d’Air-France ou de EDF.
Pour ce qui est de synthétiser ma prose c’est comme avec l’humour, on ne se refait pas mais promis je prends acte et vais tenter de m’améliorer.

@lassalle : Idem que pour Mann’s, Bravo à ton club. Maintenant je constate, en te lisant, que les vols Bi en question ne sont accessible qu’à un public extrêmement restreint. Du coup, je ne vois pas le coté promotion de notre passion et plutôt une action cadeau envers des structures “officielles”. Ok, j’ai aussi lu, “familles des membres” et “journées découvertes du CDVL” Maintenant, Lassalle je pense que tu conviendras qu’avec 169 membres votre club possède une autre capacité financière que les clubs d’environ trente membres tel que j’en connais beaucoup et qui justement, pour devenir un jour un club de 169 licenciés, ont besoin eux de faire une promotion plus large de leur activité.
Mais comment faut-il comprendre ta dernière phrase : "D’autre part certains pilotes du club possèdent leur propre biplace et ils sont bien sûr seuls responsables de leur activité de biplaceur avec leur matériel personnel. Est-ce une façon de dire que dans le fond on ne peut pas les obliger à se plier à une certaine règle ?
Ça peut, peut-être expliquer à Hub comment d’autres peuvent le faire bien qu’en étant membre d’un club honnête avec plein d’autres membres honnêtes qui n’ont d’autres torts que de ne pas vouloir voir et savoir.

@FlyingBen, d’accord avec toi sur ton 1er paragraphe mais désolé je n’ai pas vraiment compris le 2èm, du moins je ne suis pas sur de qui tu visais. Mais bon comme à la lecture de tes différents post, je suis forcé de te reconnaitre un humour que je ne possède pas forcement (dixit ma douce moitié) Je conclurais que si tu étais un antibiotique, tu le serais visiblement à spectre large. Tu arrive à toucher tous le monde …

@La Brune ; Merci déjà de me crédibiliser dans mes dires en faisant mention de ta connaissance, même si ce n’est que par ouï-dire, du triste sire non-BE. Alors je confirme que des cratères avec passager pas-gratuit, il lui en ai déjà arrivé. Apparemment avec du bagout, on trouve des passagers et … des explications après !
Puis aussi chapeau à ton club, je ne manquerais pas les beaux jours revenus d’essayer d’avoir l’occasion de venir voler sur un de vos sites et d’en apprendre plus.
Effectivement, il est bon de clairement définir que ce soit par une convention entre le club et ses biplaceur ou par un article du règlement intérieur les règles de prêt du matériel Bi du club.
Je pense que ta dernière phrase : "Et nous sommes en réflexion pour intégrer à la sanction le fait de ne plus recevoir d’aides du club pour une durée à déterminer… " concerne les biplaceurs du club qui possèdent leur matériel perso et ma foi la aussi c’est une bonne façon d’agir et de calmer les ardeurs de certains. Encore faut-il que le club ait la capacité de donner des aides et que les dits biplaceurs soient en attente de les recevoir. Ce qui, je pense que tous le monde s’accorde la-dessus, n’est pas de la capacité de tous les club et non plus pas de la demande de tout biplaceur qui possède son matériel perso.

C’est un fil de discussion vraiment intéressant et je vais m’employer dans mon prochain post de décliner mon approche personnel en tant que membre d’un club, qualifié biplaceur et propriétaire de son propre matériel. Tans-pis si je ne serais pas compris …

à+ Battements de plume de 41 m²

Ma vision personnelle des relations entres pro, clubs et particulier quant au bon usage du biplace nécessite que d’abord je m’explique un peu sur ma pratique perso.

Mon club (celui ou je suis licencié FFVL) possède 2 biplaces qu’ils prête gracieusement aux membres du club qui sont candidats à la Qbi, je crois mais n’en suis pas certain qu’il est question d’un engagement moral de servir éventuellement de pilote lors de la journée fenêtre ouvertes du club ou d’une autre manifestation ou le club proposerait des baptêmes.

Personnellement, pour participer à ma QBi j’ai préféré prendre l’option “+50€” à l’école organisatrice plutôt que de faire appel à la générosité du club, pourquoi ? Plusieurs raisons, dans le désordre et sans que de toute façon une hiérarchie puisse s’y voir :

  • Habitant à presque 200 Km de mon club et surtout étant absent 6 mois de l’année de mon domicile, je n’étais pas convaincu de pouvoir répondre “présent” le jour venu.
  • C’est dans ma nature, dans notre culture familiale, de ne pas souhaiter être redevable. Attention, ceci ne doit pas s’interpréter comme : ne pas souhaiter être solidaire.
  • Enfin cela me permettais de passer ma Qbi ailleurs que dans une école de ma ligue et ainsi concilier villégiature et formation.

Mon club prête aussi ses é biplaces aux membres de l’association qui n’en possédant pas souhaite néanmoins faire voler gracieusement quelqu’un de leur entourage.
J’y ai eu recours une fois pour mes trois premiers vols en tant que biplaceur autonome autonome et ainsi faire voler mon fils cadet (2x) et sa compagne (1x)
Mais le fait de ne pouvoir l’avoir que pour une journée et la logistique nécessaire pour aller le récupérer la veille et le rendre le lendemain matin au plus tard avec à chaque fois ~100 Km A/R de voyage pour pouvoir sur le site que je considérais comme le plus approprié à ma qualité d’apprenti-biplaceur, nous ont vite décidé ma femme et moi à nous choisir comme cadeau de Noël commun un équipement biplace. Deux semaine on avait notre biplace à nous, neuf, pour un chouïa moins de 5000 € tout compris (aile, secours, deux sellettes, deux casques, deux paires de gants, de lunettes, etc. …)
Faut-il le préciser que ma motivation première de passer la Qbi est de la faire voler Elle (ma chère et tendre) puis nos enfants, un jour peut-être les petits-enfants, la famille et aussi les amis proches et ceci bien évidemment totalement gratuitement en les emmenant et en les invitant à déjeuner et/ou à diner.

Alors maintenant que je suis biplaceur et que nous (ma femme et moi) possédons notre matériel comment vois-je la chose :

Cas N°1) Mon club (celui qui a des Bi) me demande de jouer le pilote pour des biplace-club, je suis disponible, je réponds “présent” et avec plaisir car je pense que c’est une marque de confiance que de me demander. Ce que le club perçoit ne m’intéresse que pour ce que ça peut intéresser n’importe quel membre de n’importe quelle association et ceci au plus tard lors de l’AG. Si je suis dans les Vosges, je n’espère et ne souhaite aucune indemnisation pour les Km que je suis amené à faire pour les rejoindre, je les ferais de toute façon pour aller voler.
Maintenant si je dois utiliser ma voiture, en demandant à ma femme de conduire, pour faire la navette pour faire voler ce qui pour nous ne sont à priori ni famille ni amis pas même des copain. Ben je suis désolé, je pense que nous méritons une compensation, le covoiturage non plus ne suppose pas que c’est un qui paye pour quatre qui roule gratis.

Cas N°2) Un des clubs ou j’adhére, me demande de jouer le pilote pour le club mais en utilisant notre matériel perso. Alors nous n’y sommes pas opposé mais je ne suis pas langue de bois ; Nous n’avons choisi de nous faire un cadeau de Noël à 5000 € pour en faire profiter des inconnus et d’Adam et d’Eve. Nous ne nous sentons pas des âmes d’Abée Pierre ou de Mère Emmanuelle du Vol-Libre.
Alors oui, nous sommes d’accord à ce qu’avec notre matos perso et moi au commande, le club puisse faire la promotion de notre passion mais dans l’idée d’une compensation étendue non seulement à l’amortissement de l’usage de la voiture mais aussi à celui de notre matériel biplace. Je ne parles pas forcement de toucher de l’argent mais cela peut passer par la révision du Bi, pliage du secours, vidange de la voiture, bons repas, licences et assurances, etc. … Il y a autant de solutions que de cas possibles.
Par pitié, ne lisez pas ce que je n’ai pas écrit !

Cas N°3) Des amis de nos amis proches, on appele ça généralement des connaissances lointaines, ont eu connaissance de ma pratique et souhaite voler avec moi. Si je ne les apprécie pas vraiment je leur expliquerais qu’il y a des pros qui pour 60, 80 voire 120 € se feront un plaisir de les emmener et que moi je ne peux pas, point à la ligne.
Si nous les apprécions, pas de problème, je leur offrirais le plus beau vol pour eux dont je serais capable … seulement je leur expliquerait que c’est à eux de prendre les dispositions pour la navette et qu’à midi ou le soir je ne manque pas d’appétit voire nous si ma moitié se charge d’être la navette-woman.

Alors suis-je un monstre d’égoïsme et un profiteur du vol-libre ? Celui qui le pense (sincèrement) me lance la première pierre !

Faut que j’arrête là, on est de sortie, bonne soirée à tous,

1/ J’ai tout à fait conscience que le fait de gérer l’un des plus renommés et des plus fréquentés sites de Provence explique en partie le succès important de notre club en nombre d’adhérents.
Il faut dire aussi qu’il y a une ambiance vraiment chaleureuse et sympa avec pas mal de projets divers (vols rando ou montagne, sorties club, voyages, sessions de formation…) et les nouveaux se sentent bien accueillis.
Du coup la trésorerie du club est confortable, ce qui est bien sûr un avantage !

2/ Ma phrase concernant les biplaceurs volant avec leur matériel personnel indiquait seulement que le club n’a pas de contrôle sur la façon dont ils pratiquent leur activité de biplaceur.
Mais les connaissant, je ne doute pas qu’ils font juste des biplaces associatifs (famille et amis) non rémunérés sans faire concurrence avec les pros, mais je ne suis pas derrière eux lorsqu’ils volent !
Je décrivais seulement les règles d’usage des biplaces appartenant au club.

A+ Marc Lassalle

Ha ?
Pourtant ça ne l’a jamais autant été qu’actuellement, et comme c’est parti ça le deviendra de plus en plus.

Ha ? (bis)
Il y a des endroits où plus de deux clubs existent sans pour autant que les gens sur place trouvent çat bizarre.

Wowo :
comme d’autres ont déja essayé de te le faire comprendre essaies de faire plus bref stp, tu t’étales encore et encore et sur un forum internet ce n’est pas le top pour faire passer un message, le reste du schmilblic de la vie des clubs-cdvl-ligues se passe bien en dehors de tout ça.

Ben oui, mais je pense comme Marc (Lassalle): ce que font les gens en privé, avec leur matos à eux, ne regarde qu’eux-même, la loi, et les gens qu’ils lèsent éventuellement (en l’occurence les pro). Qu’ils soient par ailleurs membres de l’amicale bouliste ou de l’association de macramé locale n’a aucun rapport.
Donc le non-BE faisant des bi quasi-pro au black, c’est hors-sujet dans un fil sur les bi-associatifs et leur influence sur les relations entre les clubs et les pros.

Tout à fait d’accord avec toi Hub :+1:

Marc Lassalle

Encore une piste pour ton club: les subventions ne tombent pas comme ça par hasard, il faut aller les chercher. Si actuellement NVL tourne fort côté subventions c’est le fruit de plusieurs années de travail de tout le bureau et d’une partie (comme toujours les plus motivés…) des adhérents.

Au départ on a l’impression de bosser pour pas grand-chose, mais en persévérant, le club se fait connaitre et les choses s’arrangent souvent d’elles même ensuite (on a raté dernièrement la date-butoir de demande de subvention de la Ville de Nancy, car ils n’envoient plus de courrier. Notre prèz’ a rencontré le Responsable des Sport lors de l’AG du CVL 54 qui lui a dit de lui envoyer perso et qu’il irait en personne faire passer notre dossier en commission… Heureusement que ça fait un bail qu’on le croise régulièrement sur des actions ou sur de demandes de subvention et qu’il nous connait…).

C’est aussi le fruit d’une politique du club axée sur la sécurité et la formation des pilotes, et avec de formations brevetantes. Ca fait 4-5 ans qu’on a chaque année une demi-douzaine de Brevet de Pilotes, 2-3 BPC et une ou deux QBi… C’est lourd à organiser, à aider, d’accompagner les pilotes vers ces qualifications. Ca a coûté cher au club. Maintenant, on récolte nos investissements.

Et pour terminer, tu dis que les biplaceurs qui possèdent leur matériel perso ne sont plus intéressés par les aides proposée par le club? Excuse-moi d’être un peu dur et direct: c’est que vos aides ne sont pas intéressantes… Proposez-leur de faire prendre en charge par le club la révision de leur bi, le pliage de leur secours, l’IA passager, et organisez une formation à l’emport de passagers handicapés et vous verrez si ça ne les intéressera pas! Vous pouvez aussi aider des stages de formation en mini-voile ou en speed-riding, et/ou des SIV. Etc la liste n’est pas limitative. Mais si tu veux intéresser les gens, il faut proposer quelque chose qui LES intéressent, pas quelque chose qui t’intéresse toi. Et si ça vous intéresse tout les deux c’est encore mieux!

Maintenant, je ne sais pas si tu es impliqué dans la vie de ton club, mais tu sais ce qu’il te reste à faire pour faire avancer le Schmilblick…

Bons vols, et plein de réussite et de persévérance!

Et bien tu vois moi on me donnais gentiment une fois 50 euros pour le brevet en contre parti d un engagement moral écrit de faire des bi lors des manifestations du club , rien d autre , j ai décliné , c est un petit club de 60 membres soit mais faut pas abuser non plus , nous proposer de prendre en charge la rcp passager et une révision tous les deux ans aurai été sympa ! Mais pour cela il faut se bouger pour amener de l argent autrement que par les cotisations et j avoue ne pas être très actif en ce sens , c est aussi pour cela que l on retrouve peu de biplaceurs dans les petits clubs

Je comprends mais j’ai du mal ça. En m’étalant comme tu dis j’ai l’impression d’étre plus explicite sur ma pensée, visiblement le résultat n’est pas le même pour tous le monde.

Personnellement, je pense que justement ce genre de personnage font du tort et aux pro et aux club et surtout risque de créer l’ire des premiers envers les seconds dont il sont membre.

Mes propos sur les éventuel aides du club et la demande vis-à-vis de celles-ci ne me concernaient que moi-même, désolé si j’ai pu laisser penser que c’étais le cas des biplaceurs associatifs en général. Après je me dis que je ne doit tous de même pas être le seul à penser comme ça ?

Sincèrement, ton club parait vraiment dynamique et ceci dans un esprit de partage qu’il est agréable de lire dans tes propos.

Mon investissement perso est insuffisant à mes yeux et je n’ai pas d’autre excuses à ce propos que d’être abscent la (belle) moitié de l’année de notre douce Lorraine et que dans l’autre moitié de l’année je réside à 180 Km des sites et lieux de rencontres des membres de mon association par laquelle je suis licencié FFVL et qui est une association dans la veine de la tienne. C’est d’ailleurs pourquoi j’essaie de participer un peu plus activement à un second club à proximité de mon domicile, mais qui à du mal à rouler faute de membres.

Bon dimanche à tous,

En gros je rejoint et m’identifie (sur ce sujet) au dernier post de Téquila,

Lol, OK Wowo. Je te comprend un peu mieux. C’est une position assez délicate que la tienne, et ça ne doit pas être facile à gérer…

Ca se comprend. Mais ce n’est pas parce que vous êtes un “petit” club de 60 membres qu’il faut baisser les bras. Je préfère un club de 60 membres dont 30 actifs qu’un de 300 dont 20 actifs et 200 râleurs… Pour te donner un ordre d’idée nous sommes 40 licenciés FFVL (les membres actifs…) au club à ce jour, pour environ 65 vers la fin de l’année. Au regard d’autres clubs nous sommes un petit club. Mais en nous bougeant le c… on est en train de réussir à faire beaucoup.