Evidemment qu’il y a un risque : le risque que le parapente contribue à la disparition ou empêche la réintroduction d’espèces. Et le point important dans la définition duprincipe de précaution d’est qu’on cherche à empécher un dommage irréversible. S’il s’avère que les parapentes ne posent pas de problème, il sera possible de lever les interdictions de survol, alors que si les parapentes posent effectivement un problème, le dommage sera déjà fait quand on en aura la certitude
.
C’est un raisonnement valide quand on a ni les observations sur la trajectoire du soleil dans le ciel en fonction de la latitude ni la théorie de la gravitation ni les satellites qui prennent des photos. Et ça justifie amplement le fait que les explorateurs du passé refusaient de partir explorer le bord du monde.


