mmmh… non, toujours pas, voila la liste qui s’affiche…
[Edit] note que ça serai logique, que BGD soit entre Air design et Independance…
réflexions sur les essais d'ailes: comment les rendre pertinents?
ce qui me perturbe, c’est que y a pas que moi pour pas le voir, Google non plus…
Je finis par croire que je ne cherche pas sur le bon site…
bon, ok, je ne sais pas pourquoi le F5 ne suffisait pas, mais Ctrl+F5 a permis de charger autre chose que la page dans le cache de google du 14 juillet, et c’est bon. merci…
Ce sujet très intéressant mériterait que l’on s’y attarde un peu plus
Et pour relancer ce fil en évitant le “french mag blashing” (qu’il soit justifié ou pas), je vous propose un Flash Back sur un magazine étranger
La question du soir sera : “Et vous, vous en auriez (ou avez pour les plus tout jeune) pensé quoi de ce compte rendu d’essai ?”
Et de considérer pour cela les articles consacrés par un même journaliste espagnol à deux ailes performantes qui ont enthousiasmé les essayeurs français contemporains (et aussi pas mal de leurs pilotes/propriétaires)
Le fait que ces deux ailes conçues à près de 20 années d’intervalles l’aient été par un concepteur réputé de la fin des années 80’s et du début des années 90’s et par son meilleur apprenti dans ce job est un hasard… ou pas, c’est comme vous le sentirez
Pour ceux qui vont se plaindre que ces articles soient écrits en castillan, je leur répondrai que de mon point de vue l’Espagne est plus près des Pyrénées que les Alpes… et que Google est leur ami…
PS : pour les modos, je précise que l’éditeur de cette revue que je lis depuis longtemps… interruptions comprises
m’a aimablement autorisé à les reproduire dans les colonnes du CDV
Rien que pour vous 8)
Et peut être aussi un peu pour vous dire qu’il y a à voir… et aussi à lire de l’autre coté de la frontière prétendument “sauvage” (c’est pourtant la seule sur laquelle on ne soit pas tué par milliers au cours des deux dernières guerres avec nos voisins - au bénéfice de la population d’ours autochtones pour lesquels ce furent les derniers intermèdes heureux)
Ces ailes ?
L’OMEGA 3 de Robert Graham (fondateur de la marque ADVANCE)
L’ARTIK IV de l’équipe design et développement de Niviuk, avec son brillant concepteur Olivier NEF, qui fut un excellent metteur au point et un très bon compétiteur d’ADVANCE, ainsi qu’un assistant doué de son patron Robert Graham dans les dernières années d’ADVANCE (avant que le réalisme économique ne s’y impose)
NOTICE :
A ceux qui nous ferons l’amitié de s’exprimer sur ces articles, je demanderai seulement :
- tout d’abord de vous situer en tant que :
Cas 1- ancien propriétaire expérimenté sur l’une de ces ailes (ou les deux… veinard!)
Cas 2- étranger à l’une ou l’autre des ailes dont vous souhaitez avec nous commenter le compte rendu d’essai
-
Puis de distinguer si possible vos avis sur
a) d’une part le FOND (si vous êtes dans le cas 1/ détailler les correspondances et les écarts avec votre propre ressenti, sinon cas 2/ exprimez ce que vous inspire la lecture (envie ou pas d’achat en rapport avec votre expérience d’autres voiles contemporaines ou de votre niveau s’il conditionne votre réaction)
b) d’autre part la FORME (l’écriture, la maquette, les photos, les tableaux, etc.)
Entiende ?
b) complément sur la FORME (l’écriture, la maquette, les photos, les tableaux, etc.
Précisez s’il vous plait :
-
La revue est-elle pour vous attractive ?
-
Quelles suggestions (à part d’être en français… coquins!) vous feriez à l’éditeur ?)
-
Envisageriez vous de vous y abonner si l’on vous proposait un tarif séduisant pour recevoir sa version numérique ?
-
L’envoi gracieux d’un numéro au format numérique pourrait-il à votre avis emporter votre décision de vous abonner ?
C’est bientôt à vous 
Des remarques sur cet exercice avant que je ne mette en ligne les deux articles ?
Vous avez 10 minutes - je vais :bu: une bière
J’ai pas le niveau pour vraiment apprécier les 2 articles de Paul, clairement à la lecture, je me dis : ces 2 ailes sont au dessus de mes pompes.
Maintenant, ça, c’est pour le fond, pour la forme j’arrive toujours pas à comprendre qu’on puisse avoir une vision d’une voile sur plusieurs vol sans mettre en face d’autre voiles. Il y a eu des article de Thermik Magazin traduit sur Voler.info (Testival B1, par exemple, il y en a d’autre) avec des test comparatif de plusieurs voile, mettant en avant telle ou telle voile sur une caracteristiques de vol ou une autre, qui me paraissent bien plus pertinents. Le test d’une voile n’étant pas sur une grille absolu, faire un test permettant de mettre des voile en relation il est plus facile d’affiner ce qu’on recherche par rapport à son propre ressenti en vol. Ca me parait donc beaucoup plus pertinent quand on choisi une voile, et ça evite les resumés disant que en point negatif, il n’y a que le délai d’appro…
J’ai essayé la YAOG 3. Quand on la déplie sur le sol, on admire à quel point les détails sont importants pour le constructeur et la satisfaction du client de se sentir apprécié, valorisé. Toutes les dernières trouvailles technologiques y sont : shark nose, 3 D shaping, joncs pas trop longs mais bien présents laissant augurer d’une solidité dans les turbulences à toute épreuve. j’aime déjà la couleur des suspentes fines non gainées qui vont me faire gagner 0.5 de finesse. Structure RSD, bord d’attaque en technologie titane, pression interne optimisée, tout cela pour un prégonflage et un gonflage parfaits. Jamais elle ne vous dépassera, même à Saint André les Alpes par un sulfureux après-midi de juillet. A vous les grands espaces, à vous les distances dont vous n’auriez jamais osé rêver. Cette voile est faite pour vous, douce et docile elle sait se bagarrer dans les thermiques en vous indiquant lequel prendre et lequel laisser grâce à un nouveau brevet TOL (Take or Leave) qui a permis à nos essayeurs de pulvériser des records. Vous allez vous dire que cette voile haute performance n’est pas faite pour Monsieur tout le monde… que nenni ! cette voile saura s’adapter à vos envies, à vous ambitions, à vos limites grâce à une technologie mondiale, la ATP (Adaptation to Pilot). Un tour du bocal, un cross, une aérologie compliquée, rien ne fait peur à notre nouvelle voile, car elle n’ira pas au-delà de ce que vous ne pouvez supporter grâce à la découverte de la RTAT (Real Time Air Turbulence). Vous êtes la voile, la voile est vous. Vous faites corps avec elle, vous résistez à la turbulence, mieux vous vous servez d’elle pour vous frayer un passage à travers le dédale des cisaillements. cette voile vous comprend mais comprend aussi l’aérologie et ne vous laissera jamais choir. Oubliez les SIV, les normes EN, juste prenez possession de ce bijou à plaisir. Le plaisir unique de glisser dans l’air hostile et les thermiques agressifs. Cette voile aux caractéristiques uniques s’adaptera à votre humeur matinale (MMA pour Morning Mood Adaptation) et à votre niveau (PLA pour Pilot Level Adaptation). Du pilote débutant au pilote démangé par les records. Essayez là, et vous serez conquis. De plus, le constructeur propose une garantie en exclusivité mondiale pour les 1000 premiers acquéreurs : la PRG (Personal Record Guarantee). En d’autres termes à l’achat, vous apportez une preuve de votre ancien record de distance et le constructeur s’engage à vous rembourser la décôte de la voile si au bout d’un an vous n’avez pas battu votre record personnel; en petits caractères, il est indiqué d’ailleurs “à conditions météos identiques”, pour vous dire à quel point personne ne sera déçu. Je rappelle le slogan de ce constructeur de parapente révolutionnaire : “Your ambition, our Glider” c’est le nouveau concept de la YAOG 3.
P.S : ça ne vole toujours pas à Passy ROTFL ROTFL et là la YAOG est encore dépliée au déco
M@tthieu, il ne s’agit clairement pas de ton texte, mais d’une citation et tu écris ton message comme si c’était toi qui l’avais écrit !
Pense à indiquer qu’il s’agit d’une citation et à donner sa source.
D’où vient ce texte ?
Mais je me trompe peut-être ?

Marc
Marc c’est MON texte
d’ailleurs je le copyright et gare à celui qui s’en inspire ! :bang:
Ok j’ai lu beaucoup trop vite et j’ai cru qu’il s’agissait de l’essai publié d’une nouvelle voile !
Je n’ai pas compris tout de suite l’humour et le second degré.
Toutes mes excuses ! 

Marc
Pas grave…
dis ppmag je peux être journaliste non essayeur ? :sors:
Ton article me fait plus penser à un essai de LSD qu’à un essai de YAOG.
Il y a 5 occurrences de “record” en 475 mots. Est-ce que ce ne serait pas une obsession? 
Oh non mais performance, record c’est bien ce qui intéresse les nouveaux acheteurs non ? :grat: LSD je touche pas trop, coke par contre… :sors:
Questions d’Advance :
- le virage de la S10 par rapport à celui de la S9 :
Ce dernier était exceptionnel… mais finalement, il vissait un peu trop tôt dans débattement (PMag No172) - là je comprends : c’est comme l’Epsilon 8 et nul doute que la prochaine E9 aura “virage plus doux et homogène”… comme sa grande soeur :lol:
- dans ce même numéro : “Advance a rendu imaginé et rendu réalisable une structure interne jamais élaboré à ce point”
Rendu réalisable : sans doute
Car Advance c’est l’ “excellence au féminin”, ne l’oublions pas - celle tutoyée par ses couturières d’Ho Chi Minh Ville (ex-Saigon) qui satisfont un niveau d’exigence sans équivalent surement
“Imaginé, élaboré” : ben là, c’est… non
Advance brille ici dans l’interprétation parfaite de partitions écrites par un autre
Faut-il voir un trait d’humour dans la conclusion de cet essai, dans Cédric écrit
“Cette S10 est résolument novatrice” ?
Il aurait pu écrire NOVA-trice
Car elle a des demi-soeurs autrichiennes, et aussi française
Elles se nomment Triton, Phantom et Kross
En 2014, Hannes Papesh sortait déjà le měme concentré d’innovations :
- 3D shapping
- Air-scoop (ram air intake avec joncs courts)
- mini-ribs en bord de fuite
Et surtout les structures internes à tranversales libres traversantes, composées de bandelettes diagonales decrépartition traversant les nervures via les orifices de circulation de l’air : les “Needle Eyes Ribs” qui ne semblent pas avoir marqué les esprits à leur sortie ( pas plus que le fait que la Triton 2 était homologuée C en dépit ses 6.4 d’allongement"
Il faut rendre à César ce qui appartient à César
Pas mal ton essai fictif M@tthieu. Maintenant, exercice plus difficile mais qui répondrait au titre du topic: à quoi ça ressemblerait un essai objectif de la Yaog 3?
Un essai objectif pour moi, c’est un essai qui tienne compte des objectifs du pilote en conditions réelles, pas une suite d’adjectifs laudatifs comme j’ai voulu essayer de le montrer dans le petit paragraphe fictif. Mais du concret. Exemple : le décollage : le lieu et l’heure et l’aérolgie réelle avec la vitesse de la balise, comme nous quand on va voler. Car entre un décollage à 10h du matin et un décollage à 13h en pleine tabasse, ou dans els Alpes ou bord de mer, il y a une sacrée marge.
Ensuite, dans un essai objectif, je donnerai plus l parole (je ne sais pas si ça se fait déjà) à 3 pilotes lambda de niveau / expérience différent et possesseurs ou ayant possédé sa devancière. Un pilote avec 50h par an, un avec 200 h et un compétiteur. 3 avis. Et puis les “plus”, les “moins” de chaque pilote.
Enfin, je ne sais si c’est possible mais une fois par an un comparatif géant, sorte de hors série spécial, avec les voiles de l’année et tous les testeurs (inconnus) sur trois jours, au même endroit pour essayer, affiner les sensations et connaître les vraies différences entre les voiles. Bien sûr chaque avis va être subjectif, mais entre ce que chaque pilote souhaite d’une voile et ce qu’il a ressenti au cours des 3 jours, on peut y voir plus clair qu’une bouillie de charabia marketing et médiatique.
Les pistes proposées ne sont pas innocentes, c’est ce qu’on voit pour certains sports comme le golf ou la moto 
Tout à fait pertinent
D’autant que ceci a d’ailleurs été réalisé par la revue AERIAL (époque Michel FERRER) dont la parution a cessé depuis - de mémoire :
-
A Val Louron pour les voiles de plaisance
-
A Gourdon à l’occasion d’un rassemblement de l’Equipe de France pour les voiles compé
Les commentaires étaient recueillis sur le terrain pendant une semaine pour arriver à une synthèse plutôt représentative des produits testés
Dans une moindre mesure, il est de la responsabilité de la rédaction et/ou du responsable des essais d’un magazine de décider ou pas de confronter l’avis d’1 essayeur à celui d’autres pilotes
Noel Bertrand (mensuel Vol Libre) s’organisait pour certains produits de façon à çe que lui et Gaby effectuent chacun un essai de son côté sans connaître l’avis de l’autre
Plus récemment, Mario Arque m’a confirmé qu’il essaie personnellement toutes les voiles dont les essais sont publiés dans Parapente y Vuelo Libre, pour recouper ses sensations avec celles des autres pilotes qui essaient les voiles (moniteurs ou compétiteurs espagnols) et effectuer lui-même les mesures de performances, vérifier les caractéristiques constructeur et mesurer les caractéristiques qui ne sont pas données par les constructeurs
Cela prend du temps et Mario ne travaille pas dans l’urgence… mais ses lecteurs savent être patients 