Où tu vois que c’est légal ? La règle de base du VFR en espace aérien non contrôlé c’est voir et éviter. Sans feux de nuit tu ne respectes pas cette règle.
Même les ULM sont interdits de nuit.
Où tu vois que c’est légal ? La règle de base du VFR en espace aérien non contrôlé c’est voir et éviter. Sans feux de nuit tu ne respectes pas cette règle.
Même les ULM sont interdits de nuit.
Après 2min de recherche, je tombe sur ce texte qui stipule qu’il faut un transpondeur + radio aéro pour faire du vol de nuit :
http://www.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/arrete24_07_91.pdf
Je n’ai pas vérifié si c’était toujours d’actualité, mais vu que ça date de 2001 je présume que oui.
Que c’est bon parfois une toute petite transgression…
http://www.youtube.com/watch?v=ichtUaF6I0Y&feature=feedu
Petit vol au retour d’une journée à commes (normandie) sur un bout de plage juste à côté de la maison !! Un si petit site (alt: 8 mètres) y’a pas de réglementation pour ça !
Comme disent certains amis, si la brigade du kif passe, tu prends perpette 
karma+
Oui mais ça c’est la règlementation pyrénéenne, bien différente de celle de la DGAC… Si on les écoute la nuit faudrait des sondes de vitesse qui fonctionnent sinon faut taper un décro jusqu’en bas pour poser très vite!
Bon, d’accord, nos PUL sont soumis aux règles VFR et en principe nous n’avons pas le droit de voler la nuit.
Pas vu, pas pris.
C’est un délire que certains se font de temps en temps et cet été j’ai prêté mon Awak à “mon pilote” qui allait décoller de nuit au col des Frêtes, avec sa belle-soeur. Nous les avions en radio et nous avions mis deux voitures sur l’atterro, phares allumés. Ni lui ni elle n’ont eu la moindre difficulté pour atterrir. Le plus délicat, c’est de ne pas faire de clés dans les suspentes et de ne pas les accrocher sur des fleurs sèches ou des cailloux.
L’année d’avant, ils étaient 6 planfaitards à décoller par léger vent de cul à la pleine Lune à 2h du matin, sans le moindre éclairage pour vraiment jouer le jeu, et en bas il n’y avait que l’éclairage public. J’avais redescendu une voiture.
VFR signifie “règles du vol à vue”. Quand on y voit et qu’on voit où on va, c’est du vol à vue, non ?
Salut et fraternité*
non non et re non … CF tout 1er message
issu de http://federation.ffvl.fr/system/files/RDA-complet.pdf
(RDA = règles de l’air)
[/quote]
SI !!! on prend une lampe casque pour éclairer la voile !!
La dgac a répondu déjà… la règle en vigueur DEPUIS 2007 n’interdit plus le vol VFR de nuit mais le texte n’est pas clair et une juriceprudence devra en décider (et tu cite pas un texte de 2001…)
bonjour Marc, bonjour vautour,
je lis attentivement votre “échange”, et souhaite donner un point de vue,
l’espace aérien et son utilisation sont gérer par la DGAC
la déréglementation qui nous permet de voler sans brevet obligatoire, sans CDN, sans immat, est accordée
par la DGAC, mais peu être rapportée … j’espère que non !!!
donc dans un premier temps : tout ce qui vole est soumis à la réglementation aérienne même les PUL
et la première règle est : régime : VFR , conditions : VMC
pour le vol de nuit : le seul “petit” problème est que le vol en VFR précise qu’il faut voir et être vu !
or pour être vu, il faut équiper nos PUL d’un système lumineux rouge et vert (tribord et babord) et
d’un strobe-light (feu à éclats) , c’est un minimum …
pour le reste, dans le flou d’une réglementation imprécise nous concernant, évitons de tailler des bâtons pour nous faire rosser par une réglementation trop contraignantes …
par contre assurons nous que notre assurance couvre le risque d’un vol de nuit en cas de …
Pour ce qui est, trés précisément de la couleur et du positionnement des lumières je n’ait rien vu d’aussi précis sur la signalisation des PUL… voir et être vu cela est interprété par moi même et par qques “voleurs de nuit” de la façon suivante : une lampe frontale dirigée vers le voile et une lampe a une cheville vers l’avant. La DGAC s’est montrée incapable de dire si c’était ok… toujours pareil “faudra une juriceprudence” …
De plus afin que la question ne soit pas posée (collision), ont ne décolle pas tant que le pécédent n’est pas au sol (repose au sommet pas question !). De plus puisqu’il s’agit de petits sites de plaine on est toujours à moins de 150m de l’attérro qui est éclairé en plein phares par un véhicule et on se limite à du vol de pente sur une zone de soaring trés limitée et sur un site que l’on pratique depuis des années… et le tout bien entendu l’été durant les 6 nuit ou la lune éclaire au max la pente en question…
Je pense, en toute honnêteté que cette pratique qui donne une impression extraordinaire (et qu’il faut au moins avoir testé une fois tant c’est exceptionnel comme impression) reste à éviter sur de grands sites avec beaucoup de dénivellé et ou il peut y avoir des erreurs de jugement sur l’altitude… bref… en montagne…
Effectivement un accident dans ces conditions risquerais de donner lieu à des problèmes administratifs complexes… mais n’oublions pas que si la réglementation était suivie à la lettre le vol rando est interdit (pas d’autorisation de décollage du proprio) alosr que le vol de nuit est “apparemnt” légal… lui…
les feux rouge et vert et à éclats font partie de l’équipement d’un aéronef (avion) et je ne dis pas que c’est l’équipement d’un PUL, par contre je comprends l’embarras du fonctionnaire de la DGAC quand on lui pose la question,
éclairer sa voile, pourquoi pas, beaucoup d’avion de ligne, à l’att, allument leurs phares d’att plus un éclairage d’empennage
(pour la pub surement) quand à l’éclairage sur la cheville, oui mais de préférence à éclats, car ce qui “bouge” attire l’attention.
pour le reste, j’ai une longue pratique du vol de nuit en Montagne et effectivement les règles de sécurité que tu préconise sont toutes bonnes à observer, j’ajoute que les vols de pleine lune sont magiques et qu’il vaut mieux pratiquer le “VFR de nuit”
sur un site bien connu …
Les ULM sont interdits de vol de nuit, c’est une question à l’examen théorique (sans pour autant avoir trouvé la justification exacte dans les textes). Alors les PUL…
1 - ceci (si c’était prouvé et confirmé par un texte légal pour les ULM) ne prouve pas cela
2 - les question des examens de la FFVL disent aussi cela et ils n’ont rien modifié en 2007 lorsque les textes LEGAUX ont changé… mais c’est pas eux qui décident… c’est la DGAC…
bref…
la dernière mise à jour de la FFVL (juin 2011) rappelle cette interdiction sauf accord du district aéronautique… qui impliquerait certainement la diffusion d’un Notam pour chaque vol organisé…
http://federation.ffvl.fr/sites/ffvl.fr/files/La_reglementation_aerienne_Vol_Libre_au_010107-2.pdf
salut
et vu que tu a l’air de connaitre un peu la machine administrative , tu pourrais nous donner les contacts en charge de donner les autorisations pour pouvoir faire des vols de nuit en toute légalité
je n’ai pas encore réussit a trouver le bon bureau …
j’ai l’impression que si un cadre technique ffvl ne nous aide pas a établir un protocole de déclaration de vol de nuit avec une fiche acceptable par la dgac nous n’auront que des fin de non recevoir …
il y a qu’a voir comment ils sont peu attentifs a nous pour le bornage de leurs ctr et tma …
la fédé ??? quelle fédé ? celle qui protège le vol libre en faisant un maximum d’amalgamme pour éviter que des pilotes puisse faire auter chose que regarder télé foot le dimanche ?
je suis volontiers provoc
mais regarde le fil depuis le début… la FFVL a toujours pris des positions trèèèèèèèèèèèèèès protectrices (pour le vol libre, à l’encontre des libertées données par le législateur de la DGAC).
ceci dit, ce document nous donne enfin une version sur les anciennes régles de l’air (celles qui était applicable en 2002, lorsque le bureau directeur a fait son communiqué) à savoir que déjà le vol libre était autorisé (contrairement à tout ce que disait la fédé, qui prétendait que c’était absolument interdit et que quand on gratait c’est paske ces parapentistes sont incapables de comprendre qu’il existe une procédure, donc si on leur dit que c’est permis ils vont le faire n’importe comment) - sous réserve de communication auprès du préfet (qui lui, après, -éventuellement- émet un NOTAM)
Bref, si je résume la position de la fédé :
malheureusement je ne suis que le “méchant” pilote militaire qui intercepte les contrevenants. Je n’ai aucun contact à la DGAC.
Une ZRT a été créée à St Hilaire pour la coupe Icare, il faudrait demander aux organisateurs quels ont été leurs contacts à la DGAC.
Pour répondre à Piwaille, je pense que la Fédé est si protectrice car l’ambiance est sérieusement tendue entre les instances aéronautiques. La communication est compliquée et le parapente n’est que trop vu comme un sport extrême pratiqué par des fous volants.
C’est trés juste et explique que le VRAI problème du vol de nuit depuis le changement de réglementation de 2007 n’ait pas fait l’objet d’un vrai dialogue avec la DGAC… il est plus simple de faire croire que c’est interdit plutot que de courrir le risque d’utiliser le viel adage “tout ce qui n’est pas (plus) interdit est autorisé” 
des news récentes sur le sujet ?
ou on joue encore au “pas vu, pas pris” 
Bah c clair la fédé dis ce qu’elle veut mais c la DGAC qui décide… La légalité du vol de nuit les jours clairs auteur des dates de pleine lune et en locale est totalement légale…