rien ne vous choque...

Hs on
Leshes/moucherote puis retour par le veymont mais comme je ne voulais pas bouffer la reserve j’ai tenté une transition vers rousset au bénéfice d’une rue un peu avant le veymont …qui c’est désagrégée en cours. Bref pas passé, je suis allé à pieds au rousset et redecollé pour rentrer chez moi par un maginfique vol de restite devant glandasse et 30 bornes de ligne droite (un truc de dingue chez nous). C’est sûrement moi que tu as vu le matin sur toussieres, j’ai aussi essayé un appel radio mais ma baofeng est vraiment mune grosse merde on me comprends 1 fois sur 10, je vais changer.
Hs off

fin du hs pour moi: oui!!! joli plumocum

Sinon, pour ceux qui ont lu ce PM, ditent nous ou faut aller pour faire 100 bornes faciles.
Car, quand meme, pour faire 100, il faut se sortir les doigts du nez…

Moi, ce qui me gène dans ce numéro c’est l’édito!
Les propos de Félix Rodriguez:“Les Alpes…Pour les hommes ou les pilotes qui ont des c…”
Il faut donc être viril pour faire du cross dans les Alpes!
Si tu ne cross pas dans des conditions"+5 heavy métal power",tu es une mauviette!
Mesdames,j’en conclus qu’il vous faut venir crosser dans les Pyrénées.
De plus vous y serez accueilli par des hommes pas machos pour deux sous!!! :bisous:

Re-HS on:
Bravo pour vos vols!!! Ca fait rêver (dans des journées pas données en plus!).
Pour la Baofeng (en tout cas l’UV5R), passer à une antenne souple Nagoya NA-771, c’est le jour et la nuit. Entre 5 et 10 roros sur la toile, et t’es même pas obligé de payer en Paypal! :wink:
HS-Off

Je suis d’accord que c’est un peu triste de vouloir pousser tout le monde à faire 100km (si t’as pas fait 100km avant 50 ans…), même de limiter la “progression” en parapente au cross… mais on n’est pas non plus des enfants. Vous savez lire: “voilà un exemple de ligne accessible pour un pilote qui a le niveau et l’ambition de voler 100km”? Non?

Tu ne dois pas voler souvent en bord de mer :wink: car faire plus de 100 kms en bord de mer c’est exceptionnel et engagé.

Oui moi. Et en plus ça se passe “chez moi”, au départ du Sire pour une distance libre vers le Nord en direction du Léman. C’est Joël Favre qui écrit l’article, il connaît particulièrement le sujet car c’est sa spécialité les stages cross et il fait de temps en temps faire ses premiers cross de 100km à des pilotes.
Mais il faut comprendre qu’en plus du site et de l’itinéraire choisi, c’est surtout les conditions du jour qui ouvrent la porte d’un tel vol à des crosseurs pas encore très aguerris et rendent ce vol, si bien préparé en étant accompagné de pilotes plus expérimentés, “facile”.

Je ne sais pas ce qui me choque le plus : le titre ou bien tous les liens CFD que je vois passer sur FB, comme si un vol ne pouvait s’apprécier que par la démonstration de performance et le nombre de like sur les réseaux sociaux.

Hihihi je me demandais qui serait le 1er a reagir ! :stuck_out_tongue:
En engagé veut pas forcement dire difficle :wink:

tout est lié
le parapente est une super activité, qui apporte beaucoup de joies, mais souvent beaucoup de frustrations aussi.
une météo capricieuse longtemps, le jour J., ça ne se passe pas comme prévu, on trouve des joies en lâchant du lest et en faisant une simple balade. On postera une vidéo avec de belles images
un jour moyen, une belle surprise, on fait un beau vol parce qu’on avait aucune pression et on poste une trace pour exprimer notre joie.
nos amis de déco nous attendent rarement lors de passages clés, on est toujours seuls au final. toute cette communication que l’on peut faire autour de notre propre activité est avant tout thérapeutique et permet de se persuader de vivre du positif à mon avis

concernant l’article de PPM, qu’ils écrivent… on peut généralement attendre des années avant de trouver le même créneau soit-disant facile. personne ne va sérieusement lire un article pareil et se jeter le lendemain sur le parcours

:+1:
sans compter les “autoportraits” qui accompagnent souvent ce genre de liens…

Bin… moi par exemple à mes débuts j’aurai pu*… D’ailleurs un peu plus tard j’étais allé à Piedrahita un peu dans ce même esprit (c’est là qu’il y a tous les jours des plafs gigantesques et c’est facile de faire des distances en ligne droite en plaine, vanté par les magazines aussi).
Et de nos jours j’en connais plein qui partent à Quixada dans la même optique… Comme ils partaient avant pour du treuil en Afrique du Sud… Ou encore avant à Owens Valley (mais là c’était plus dans un esprit “survivor”)
Sur le simple parcours d’un cross réputé “facile”, Vérel-Semnoz, j’ai un copain qui s’était amoché à ses débuts (par totale inexpérience/inconscience), au retour… Mais là aussi c’était “vendu” premier cross/kilomètres faciles…

  • D’ailleurs je crois que si j’avais commencé le parapente dans les Alpes**, après avoir lu cet article je serais sur le parcours en train d’essayer de le faire…
    ** Non en fait je crois que si j’avais commencé le parapente dans les Alpes, je n’aurais (peut-être) jamais continué.

J ai acheté par curiosité. Bah c est un cross quoi, pas spécialement facile je trouve, des points bas, des transitions ou il faut savoir raccrocher… bref j y vois pas trop d interet et a mon niveau j ai de grandes chances de me foirer quelque part sur le parcours.
Et effectivement l edito est assez pitoyable… “severement burné”

Je l’ai pris également comme cela, on peut prendre “facile” comme techniquement faisable mais aussi comme “sans danger” qui semble être l’interprétation de la majorité ce ceux qui ont répondu.

Vous croyez qu’un édito sur “ma première déclaration CFD de 15 km” ferait rêver ? :wink: le parapente est une activité dite “engagée” car on est dans un élément invisible et les néophytes s’extasient ou au contraire ont peur de se lancer dans le “vide”. Que 100 km soient un objectif, soit, mais c’est occulter tellement de choses avant. Qui peuvent être aussi belles voire davantage. Et le chiffre de 100 ou 200 ou 300 classent quelqu’un dans la catégorie des “pilotes”, des “super pilotes” ? Les fabricants de parapente l’ont bien compris dans notre monde fait de performance (y compris dans un loisir) avec des chiffres de finesse (invérifiables) sans arrêt à la hausse. Mais si pour une poignée d’entre nous, les distances plaine ou montagne sont un but (in)avoué de “reconnaissance”, l’essentiel du parapente réside dans cette magie de flotter et de se déplacer au gré des thermiques et des vents. Après ce qu’on en fait ne regarde que chacun. Mais il est vrai qu’au déco c’est souvent un concours de celui qui pisse le plus loin. C’est un peu dommage car on passe à côté de beaucoup d’aspects qui sont une bonne part de rêve.

heu m@tthieu, que veulent dire ces 6 lignes de texte? j ai pas compris.
Ne veux tu pas ré-expliquer tout ça en 30 lignes STP?

J’ai fait un petit raccourci de mes pensées actuelles concernant l’activité de parapente…mais ce n’est pas clair ?

va faire un tour en rando, tu verra que la y a vachement moins de monde sur le deco et ça change pas mal la vue de l’activité !
y a plein de façon de pratiquer, a chacun de trouvé ces préférences …

y a clairement un glissement dans ce que certains pratiquants veulent bien entendre/comprendre;
par ex. j’ai bien peur que la reputation de “site facile” de samoens – parce que le deco est grand, herbeux et facile d’acces, et que l’atterro est grand, herbeux et dégagé – soit entrain de le démontrer :frowning:
http://www.parapentiste.info/forum/incidents-accidents-de-parapente/encore-un-accident-mortel-au-criou-t48394.0.html
http://www.parapentiste.info/forum/incidents-accidents-de-parapente/accident-mortel-samoens-t47996.0.html

Oui certainement car les montagnards marcheurs sont plus humbles devant l’effort et pendant l’effort :wink:

Il y a le déco et l’atterro. Comme tout site, il y a des dangers à ne pas méconnaître comme le décollage sous le vent des arbres à gauche et la sortie du goulet qui peut être assez tendue. L’atterro peut être thermique à certaines heures chaudes. Sinon c’est vrai qu’en apparence il est “facile”. Après entre le chaudron de la sorcière, la pointe du Thuet, dans certaines conditions cela peut être plus que rock and roll. Mais c’est comme toute zone de vol, il y a des pièges aérologiques qui doivent être expliquées, comprises et évitées. Et c’est la difficulté des zones de montagne, même de moyenne montagne comme Samoëns qui reste un très beau terrain de jeu pour ses premières petites transitions et cross (Tête de Saix, Criou,Thuet, Angolon, Bourgeoise, bar de la piscine)