Je veux bien admettre que nous embellissons le passé, mais j’assume mon goût pour les manches où les cheminements étaient variés et la victoire revenait à celui qui faisait les meilleurs choix (je ne parle pas de choix de ‘ligne’ à cent mètres de la ligne du GPS ou un tour de moins dans le thermique
).
Ce n’est pas du passéisme que de constater que la manche d’hier ne permettait pas de choix déterminants, ni d’échappés. Je comprend parfaitement les choix du directeur d’épreuve, il est bien plus sécuritaire de faire jouer la grappe ‘dans le bocal’ et de les faire cheminer sur la ligne. C’est un choix, dans le contexte actuel on peut comprendre cette option ‘zéro risque’.
Les défenseurs de la formule actuelle devraient admettre cette situation et ne pas traiter les détracteurs de passéistes ou d’ignorants.



