Sites de vols accessibles "débutants"

:pouce: pour Melodieuse et KKdecanard. Vous pouvez covoiturer et on vous voit à Bar sur Aube (Est et Nord-Est), Eaux-Puiseaux (Ouest), Saint Martin sur Armançon (Sud-Est), Rigny Le Ferron (Nord Nord-Est) etc…, bref il y a de quoi faire.
Je te laisse un lien bien utile : volatile / parigot / free (je ne comprends pas, l’url habituelle ne marche pas mais Google est ton ami :wink:

  • gonflage, gonflage, gonflage (même sur terrain plat)
  • identification d’un club
  • si tu habites du bon côté de Paris la Normandie a quelques beaux sites dont une ou deux super pente écoles et quelques sites en bord de mer pour faire des ploufs (à moins de 2 h 30 de Paris).

Les deux amants n’est pas un bon site pour les débutants (mon humble avis) …

je plussois :wink:

J’ai lu des trucs étranges.

Je ne sais pas comment on pourrait poser un Airbus à Doussard, même avec 100km/h de “brise”. Même un A400M, qui décolle et pose très court sur toutes sortes de terrains, n’aurait pas assez de place pour se poser en catastrophe sans se mettre en vrac…
Cela fait tout juste pour l’ULM de Dom en bordure de terrain.

Quand je disais qu’on n’a jamais parlé breton à Nantes, je ne disais pas qu’il n’y avait personne parlant breton, les Bretons étant assez voyageurs. La duchesse Anne (épouse de Charles VIII puis de Louis XII) ne parlait pas breton et à l’époque de la plus grande extension du breton on ne parlait pas breton à Nantes (ni d’ailleurs à Rennes). On parlait surtout des patois dérivant plus ou moins d’un français agricole plus ou moins abâtardi.
Un lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Frontière_linguistique_bretonne#/media/File:Dialectes_Breton.png
Rappelons-nous Rabelais (tourangeau), qui ne peut plus être lu qu’avec une traduction, alors qu’à la même époque Du Bellay (angevin) et Montaigne (bordelais) écrivaient dans un français très lisible à notre époque.
Des patois, il y en a de moins en moins dans notre pays et c’est bien dommage parce qu’ils enrichissent la langue.

Mon vocabulaire emprunte un peu au breton du sud-Finistère (je ne comprends pas celui du nord) et au patois de Chamonix, ainsi qu’aux parlers québécois et vaudois. Les expressions nantaises de ma grand-mère, apprises dans mon enfance, n’ont pas été perdues mais je n’ai jamais compris le patois des paysans des années 50.

Retour à nos moutons.

Je ne suis pas convaincue que décoller au treuil soit très simple quand on sort d’init, vu la minceur squelettique du bagage technique. A mon sens - mais ce n’est qu’une opinion - il vaut mieux “bouffer du gonflage” et réserver un ou deux stages perfs auprès d’une école de montagne. En montagne, on fait des ploufs qui valent le coup, parfois de 800m voire plus, on s’aguerrit et on apprend à voler en thermique. de retour dans la plaine, on sera mieux armé pour décoller au treuil avec un club et prendre du gaz, ou décoller en bord de mer et voler en dynamique avec une sécurité convenable.

Les sites délicats comme la Côte des Deux-Amants seront accessibles plus tard.

http://soyeuse.free.fr/2007/709/08/4029.jpg
La Roque (en aval des Andelys). 8 septembre 2007.

40m, avec des maisons dessous puis une ligne téléphonique, la route, des barbelés, un pré et la Seine. Tenter un plouf n’aurait pas d’avenir, c’est un site de soaring vol de pente qui n’est plus guère utilisé. On m’y voit pour la photo, je n’aurais jamais tenté de décoller. Même avec du vent, ce doit être assez craignos de poser sur le plateau, derrière les arbres.

http://soyeuse.free.fr/2013/02/12/618.jpg
Déco de La Landelle - 12 février 2013.

On voit le pilote se poser sur le chemin et on mesure à quel point le plouf est frustrant. Au moins ce n’est pas dangereux et, pour les novices qui ont des mollets et la hargne de voler, il n’est pas absurde d’aller faire des ploufs de 20 secondes sur ce petit site de 45m, qui a un excellent rendement quand le vent est favorable et qu’on sait enrouler des ascendances. Le déco n’est pas complètement évident mais il y a presque toujours des pilotes expérimentés qui peuvent apporter un soutien appréciable.

Cela équivaut à peu près à une bonne pente-école comme on en trouve en montagne, pour apprendre à décoller et à poser mais les vols sont quand même trop courts pour faire du temps de vol et apprendre des manoeuvres de pilotage.
Gonflage + petits ploufs, c’est mieux que rien et cela permet d’acquérir des bases pour aller plus loin tant il est important de bien décoller et de bien poser. Cela permettra d’accéder au treuil plus efficacement si on n’a pas l’opportunité d’aller voler en montagne.
:trinq:

peut-etre juste en considérant l’aspect hyperbolique :speedy:
https://www.etudes-litteraires.com/figures-de-style/hyperbole.php biroute

certains pilotes pratiquant régulièrement le treuil pourraient t’expliquer comment ils forment des pilotes en stage initiation directement au treuil,

il ne faut pas considérer le treuil comme un élastique ou un catapultage, et un treuilleur expérimenté est capable de gérer le taux de montée du pilote voir même de le stabiliser en phase pallier en cas de besoin.

Puisque tu sembles être un adepte du treuil, tu dois savoir qu’on n’apprend pas de la même manière à décoller au treuil qu’en montagne.
Il y a de quoi dérouter un(e) débutant(e)
Il n’y a que l’atterrissage qui soit identique.
cdlt

moi j’ai fait mes premier vols en treuil, et j’ai trouve cela assez simple, une formation spécifique mais excellente et on vole tous les jours si il fait beau quelque soit la direction du vent. les premiers vols se resument a des vols hors activité thermique donc le matin tôt ou en fin d’après midi. je n’ai quasiment jamais vu un incident au treuil mise a part des chutes avec des vents forts de travers quand on veut absolument décoller :wink:
j’en suis a plus de 120 treuils et j’ai moi même un treuil avec lequel j’ai faut plus de 100 treuillages et jamais eu un seul soucis

Salut,

Si un de ces jours tu envisages de passer des vacances “progression parapente”, je ne saurais que te conseiller de venir par chez moi en haute savoie.
Notre région regorge de sites et pentes écoles diverses et variées, y’en a pour tout les goûts, tout les niveaux et toutes les orientation possibles.
Bien sur je ne connais pas la France par cœur non plus mais j’aurais tendance à te dire que les alpes restent le paradis du vol libre dans notre pays par leur quantité et diversité de sites et puis si tu es prudent et que tu te contente des bons créneaux (matin, soir) et de conditions calmes, tu trouveras énormément de ploufs sympa à faire pour travailler entre autres tes virages.
De plus, étant une région montagnarde, il y a énormément de ploufs cools (500/1000m de dénivelé) ou tu pourra enchainer car tu trouveras soit des remontées mécaniques (ouvertes toute l’année), soit des navettes ou funiculaires.
Si je prend l’exemple de ma ville, je pourrait te trouver une centaine de sites rien que dans un rayon de 40/50km. Et puis tu as le site de mieussy (la ou le parapente à été inventé) qui reste une référence pour les débutants (bien que j’ai beaucoup d’affection pour le Pyla ou j’ai appris mes gammes en soaring)
Bref, tu es le bienvenu dans la yaute et n’hésite pas à me contacter si tu veut découvrir cette belle région et ne pas voler seul (soit toujours accompagné tant que tu ne sera pas autonome totalement !!! )

L’avantage du treuil c’est que l’on n’a pas à monter au déco :wink: sinon je préfère les montagnes (de la Haute Savoie oui :wink: )

Les montagnes des Hautes Alpes sont plus sauvages et bien plus ensoleillées :soleil: mais les décos sont souvent alimentée et caillouteux…
L’avantage de la Haute Savoie est au niveau de l’épaisseur de l’herbe, ça amortit mieux certaines erreurs…

Ouaip et puis la concentration en particules de pollution rend l’air plus visqueux et donc moins sujet aux turbulences. En contrepartie le prix de la bière atteint des sommets!
:shock:

Les jeunes pilotes ayant appris à voler au treuil sont intimidés a l 'idée de décoller d 'un relief, en montagne disons. Et inversement bien sur.
Quand on sait gonfler la voile, charger sa ventrale et courrir ( ya meme des feignants qui comptent surtout sur la traction du treuil, mais c’est pas élégant…) , on peut décoller et voler au treuil aussi. Il faut garder le cap face au treuil, en guidage radio et pis voilà…

Bonsoir,

On écrit “s’il fait beau”, mais surtout “quelle que soit la direction du vent” !

La façon dont les intervenants sur ce forum écrivent “quelque”, “quelques”, “quelle que soit”, “quelles que soient”, “quel que soit”, “quels que soient” est quand même surprenante. :grat:

Cette faute revient en effet plusieurs fois par jour sur ce forum et je renonce à intervenir à ce sujet.
Pas de chance, ma remarque tombe sur toi, mais il y a des centaines de fois par an où on trouve cette faute…

:trinq:

:sors:

Marc

Si je devais développer un logiciel de correction syntaxique, je l 'appellerais LeLassalle®.
Tiens m 'en vais de ce pas déposer la marque. :coucou:

Sauf que, si le décollage d’un relief ne l’intimide pas il peut dérouter un(e) débutant(e) qui a fait tout son apprentissage au treuil car le fait de rester “bras hauts” avec la voile à plus ou moins 45° derrière pendant le treuillage lui fera faire de belles frontales (pour le moins) en gardant, par habitude, la même gestuelle sur un déco montagne.
En revanche, s’il ou elle apprend en pente école, ça lui sera plus facile à mon avis de poursuivre par le treuil car, au pire, le pilote entendra dans sa radio la voix du starter et/ou du treuilleur “bras hauts !..bras hauts !!!..” avec comme seule conséquence, au pire, de courir longtemps, très longtemps derrière le câble,
sans quitter les pieds du sol… :ppte:

Le décollage au treuil n’est ni plus ni moins difficile qu’un déco sur pente mais pourtant différent. L’un comme l’autre se doivent d’être correctement apris, compris, exécuté pour eviter tout problème. Exemple d’un déco au treuil foiré :

https://www.dhv.de/web/fileadmin/user_upload/monatsordner/2004-06/Ausbildung/VideosKarl/Unfallvideos/Sackflugwinde.wmv

Il est pas difficile de trouver une vidéo qui démontre comment un déco sur pente non maîtrisé peut tourner à la catastrophe.

Comme quoi, la seule solution est d’apprendre à décoller comme il faut sur pente ou au treuil.

J’sus d 'accord, peux pô mieux dire… :prof: