Thermique à l'attéro

moin sensible, aucuns doutes, mais ça peu arriver

moin sensible aux petites qui ne font rien de ma mais les groses tu les sents pas venir et tu prends tout sur la tonche comme a dis piwi!
en plus tu as moins de vitesse pour regonfler, si tu freines tu risque plus facilement un decro. enfin voila c’est pas le top.
et puis un bone grosses déguelante, tu freines pour réouvrir et en avant tout ou le cratere!

Tout à fait :pouce: J’avoue qu’une frontale en étant aux oreilles dans la finale j’ai déjà connu plus confortable comme situation :mrgreen:
Je réagissais surtout au rapport entre la quantité de tissu et incidence histoire de “piwailler” un peu :sors:

Les oreilles en approche… mouais… j’aime pas massacrer le profil d’un engin qui à été pensé et réalisé pour voler. Cela dit, que ce soit en approche ou pas, je trouve pas trés “sain” (notez quand même les ") de détruire son profil, détruire l’aile qui sait voler, elle !

Trop long sur un atterro, ben des tites courbes et le tour est joué. Trop court ??? comme le disait PP Ménégoz, c’est une faute de pilotage. Serrage de miche donc !

Quoiqu’il en soit, en approche, je pense et suis même convaincu que la voile doit etre au mieux de sa forme pour avoir toute la manoeuvrabilité possible. Au pilote de piloter…

:pouce: :+1:

Les oreilles en approche…

http://www.expandingknowledge.com/Jerome/PG/Skill/All/J_Tips/Video/1998_Europe_BigEars_FrontalCollapse.mp4

Je suppose qu’elle est connue cette vidéo, mais elle est toujours impressionnante. Si j’ai bien compris, c’était Zébulon Roche aux Championnats d’Europe 98, dans des conditions étaient pourries et sous un proto de la mort. M’enfin ça calme quand même des oreilles…

Je déterre un vieux post mais il faut rendre à César…

Ce n’était pas en 1998. C’était aux championnats de France à la Séranne en 1995.
Et c’était bien Zébulon, alias Bertrand Roche.
La vidéo avec les commentaires de Zéb…

http://www.youtube.com/watch?v=g9ZJ7-GsW-I

Le proto, je ne me souviens plus du nom, mais c’était une MacPara et à l’époque c’était un sacré monstre à contrôler. Sauf pour Zéb :lol:

Perso, quand je sais que sa va taper à l’attéro… je rentre très bas puis je fais des 8 à n’en plus finir si sa veut pas poser…

quelques expériences perso

il y a quelques temps quand je volais au col des limouches “Vercors” , sous une kl90, l’attéro étant en pente et sous le vent d’un mamelon, je mettais les oreilles dès que je sentais les turbulences, descendant sur l’entrée de l’attéro et je les ouvraient a environ 2 m sol, je n’ai jamais eu de posé scabreux.

dernièrement sur au roc “lot”, l’attéro est un couloir de 100 a 150 m de long et d’a peine 30 m de large entouré de noyers, lors de mon approche je passe a moins de 3 m au dessus des noyers, je me retrouve avec du vent de cul malgré le relief derrière moi, j’ai essayé de pomper mais ai traversé le terrain en longueur a 3 m sol sans pouvoir descendre, je n’ai touché le sol qu’au moment ou mon aile a couvert le noyer au bout du terrain.

autre site du lot, crayssac, l’attéro 150m * 40m coincé entre le lot un bois et deux vigne avec piquets en fer (hé non percuter la vigne n’est pas toujours anodin), ayant entre autre caractéristique d’avoir sa longueur perpendiculaire au vent dominant. malgré mon impression d’avoir perdu assez d’altitude, lors de la branche au dessus du lot je m’aperçois que sans manœuvre “extrème” je serais trop long avec soit amerrissage, branchage, ou empalage sur la vigne. Mon réflexe fut de faire des petites oreilles, puis dans la foulée virage a la sellette stabilisation et ouverture des oreilles simultanées avec le coup de frein final, posé sans mal au centre du terrain.

site de aubas “Dordogne” au dessus de l’attéro 10 m sol, je sent mon aile s’arrêter (a priori suite a un déclenchement thermique) ne voulant pas risquer de percuter en abatée je décide de me mettre en parachutale maintenue, je descend droit a une vitesse stabilisée d’à peu près 2m/s l’airbag touche le sol en même temps que mes talons, conséquence tours de reins et séance de kiné.

tout ça pour dire, que certes il faut toujours chercher a se poser dans le premier tiers d’un terrain, il faut chercher la plus grande longueur en fonction de l’orientation du terrain et de la météo, …
mais il y a parfois des cas ou on doit choisir entre 2 risques ou plus et parfois le fait de savoir perdre 3 m de hauteur avec des petites oreilles font la différence entre un posé pépère sur le terrain et un gros sketch dans un environnement pas toujours sain ni accueillant.
il n’y a pas de solution miracle, mais quand on connais un peu sa voile on sait ce que l’on peut lui demander et ce qu’elle accepte.
en tout cas pour moi je n’ai plus aucune appréhension a faire de petites oreilles en approche si ça doit m’éviter une galère.

moi je vote pour les petites zoreilles et hop on ouvre et on freine, je prefere ça plutot que de perdre l’altitude au dessus des arbres par exemple sur certains terrains et dans certaines conditions ou encore quand ça monte avant d’atterrir

steph 24 on a du se croiser sur les sites de dordogne (a la cote de jor)

Je ne pose que sur des terrains de foot (une fois pendant un match :oops: )

il y a des chances sylk en se moment je vole sous une tempest de windtech couleur noir et orange
a + sur les sites et bons vols