Vraiment, aucune influence de Grosminet sur Bad Titi?
Pourquoi toi l’initiateur de ce fil as-tu mis autant de temps pour apporter cet “éclairage” ?
On se fait des bisous maintenant ? On trinque tous ?
Ce fil est hallucinant.
C’est vraiment amusant ce discours qui est toujours le même quand il s’agit de biaiser la loi.
Tu parles d’aucun profit pour les biplaceurs, hum ?
Quand un club engrange 1500€, qu’il achète du matériel et paye des navettes qui va croire que les biplaceurs n’en tirent aucun profit ? Ce genre de situations bancales ne tiennent que jusqu’a ce que les autorités ne mettent leur nez dedans.
Qui va croire que le club du Lachens ne faisait que 10 à 30 biplaces par an en ayant l’exclusivité de l’activité de baptême sur le site ?
A titre de simple information j’apporte juste un témoignage sur la façon dont notre club « Parapentes de Sainte-Victoire » gère les vols biplace.
Contexte du club en matière de biplaces :
aucun DE n’est membre de notre club ;
le club possède 2 voiles biplace ;
il y a une bonne dizaine de pilotes (non BE) possédant la Qbi et pratiquant régulièrement le biplace ; certains possèdent leur propre voile biplace, d’autres non.
Il existe 4 contextes très différents concernant la problématique du biplace au sein de notre club :
1/ En nous voyant voler sur Sainte-Victoire il arrive que des personnes, que nous ne connaissons absolument pas, contactent le club et demandent un vol biplace découverte, soit pour eux-mêmes, soit pour un membre de leur famille.
La position du club est tout à fait claire par rapport à ce type de demandes.
Pour ne pas concurrencer les professionnels dont c’est le métier, nous refusons absolument et systématiquement d’assurer ce genre de prestation et nous demandons aux personnes qui nous contactent de s’adresser à une école professionnelle de la région de façon à contacter un professionnel qualifié pour assurer de tels vols et être rémunéré en conséquence.
Nous refusons de faire voler en biplace (dans un contexte associatif) des personnes que nous ne connaissons pas.
2/ Le club (ou le club de Marseille) propose des vols biplace (gratuits bien sûr) à un certain nombre de partenaires avec qui nous sommes en relation : maires ou personnel communal, Conseil général, Directeur du « Grand Site Sainte-Victoire » (organisme de gestion du massif), interlocuteurs du Parc national des Calanques…
C’est en fait de la communication et cela permet de montrer concrètement en quoi consiste notre activité, souvent méconnue par ces interlocuteurs « officiels ».
Ceux que nous avons emmenés ont à chaque fois été ravis d’effectuer un tel vol !
3/ Journées découverte (pour des jeunes issus de certains clubs sportifs ou de certains lycées) avec travail au sol en mini-voiles et vols en biplace (gratuits bien sûr !), avec l’accord des parents.
Des articles ont été publiés à ce sujet dans Vol Passion.
4/ Les pilotes biplaceurs ne possédant pas leur propre matériel peuvent emprunter les biplaces du club s’ils acceptent en échange de faire voler à l’occasion (à la demande du club) des interlocuteurs officiels du club ou d’effectuer des vols découverte auprès des jeunes.
Ils peuvent ainsi faire voler des membres de leur famille ou des amis proches.
On leur demande :
bien évidemment de refuser toute rémunération à titre personnel ;
de proposer à leurs passagers de fournir, uniquement si ceux-ci le souhaitent, une petite aide financière au club (pour l’entretien des biplaces et leur révision).
Exemple : mon fils (qui a déjà volé en parapente) voulait faire découvrir le vol sur Sainte-Victoire à sa compagne.
J’ai contacté 2 amis biplaceurs du club : l’un est venu avec son biplace personnel, l’autre (moniteur fédéral) avec un biplace du club.
Mon fils et sa compagne ont pu ainsi effectuer un vol de plus d’1 heure au-dessus de la crête sommitale de la montagne Sainte-Victoire dans de superbes conditions.
Mon fils et sa compagne ont décidé :
de faire un chèque de soutien de 20 € au club ;
d’offrir une bouteille de vin à chacun des 2 pilotes (corruption de biplaceurs associatifs !).
C’était juste un témoignage sur les pratiques de notre club en matière de biplace.
Quand un club de sport organise un repas payant, ses licenciés en tirent un “profit”, ils bénéficieront de nouveaux équipements ou d’une réduction de leur frais. Il en est, probablement, de même dans un club de parapentes.
(Une telle bouffe, c’est aussi de la concurrence aux restaurateurs! )
être FFVL ou ne pas être FFVL…
en France , une asso de parapentiste a le droit de ne pas être affilié a la fedé, elle peut être rattachée a la FFP, au club alpin etc…, je sais pas si c’est bien ou mal mais c’est un fait.
quels sont les accords qui existent entre ces fédérations concernant la gestion des sites et de leurs fréquentation: la ffvl accepte sur ces sites tous les pilotes, ffp, étrangers, etc…, quid des autres fédés, et donc de nos amis de St Auban ?
en suite il y a la question des biplaces contre rémunération, la concurrence avec les pros, etc… est un autre débat
La page sur les biplaces est réapparue…
avec l’ajout de la mention “Toutes les sommes perçues par les vols Biplace serviront à l’entretien du matériel, les déplacements et les frais du Club.” :grat:
Ça faisait un petit moment que je n’étais pas passé par la route donnant accès à la montée au Pensier. Hop petit crochet, j’y suis passé samedi dernier. Et maintenant une belle barrière verte ferme la piste depuis la route. Depuis combien de temps ? Je suis quasiment sûr qu’elle n’y était pas il y a 2 ou 3 ans. Pour protéger la nature…
Parce qu’une association utilisant des pilotes non brevetés d’état ne peut pas faire acte de commerce et de concurence potentielle à une struçture privée. La page incriminée est clairement une publicité ouverte à tous. Utiliser une ‘tolérance’ qui permet aux clubs de rentrer quelques sous pour déguiser une activité commerciale est illégal point final !