Et puis, qu’importe dans l’absolu le nombre de vols et d’heures de vol annuels, de même que l’expérience due aux nombre d’années de pratique, tous autant que nous sommes, chacun d’entre nous a son seuil maximum de capacité, sa limite maximale toute personnelle.
Si on a le don, avec beaucoup de travail on peut devenir champion. Même avec tous le travail du monde, sans le don on sera juste un pilote correct. Là où est le danger, c’est de penser avoir le don quand ce n’est pas le cas. Ou, tout aussi vicieux, c’est de penser qu’avec l’exercice (le travail) on doit y arriver MAIS s’exercer sans vraie pédagogie et progression. Exemple ; penser qu’en utilisant l’outil le plus pointu en améliorera forcément ses capacités.
Mais tous cela M@tthieu, tu le sais déjà à force de nous l’entendre te dire. Mais pourtant, visiblement, tu cherches à être rassuré sur ta philosophie de l’apprentissage et de la progression.
mais une réponse directe à la question.
à la Coupe Icare et la quatrième C sur un essai d’une heure en petites conditions.

