Un SIV vous a-t-il aidé en thermiques ?

:+1:

Je sais. Je provoque un peu, à cause des messages précédents qui disaient “j’ai moins peur parce que j’ai fait des fermetures en SIV, ça m’aide en thermique” (ce que je trouve aberrant, ou du moins très limité).
Je suis d’accord (j’avais failli l’écrire), que les seul exercices de SI(ncidents)V(ol) qui peuvent aider en thermique, c’est justement les exercices de non-incident: le tangage, les virages dynamiques, bref… les exercices de pilotage DANS le domaine de vol… qu’on peut très bien faire à la maison, sans lac, à chaque vol.

Et c’est clair que ça aide terriblement en pilotage.

Par contre, je ne crois pas que maîtriser le tangage provoqué t’aide à prévenir les fermetures dans tous les cas. Certes, ça développe le feeling, ça t’apprend à ne pas subir les mouvements de l’aile mais à les anticiper. Par contre en thermique, parfois tu te choppes une grosse assym sans abattée… pour l’empêcher il fallait mettre du frein quand la commande devenait molle et non “quand l’aile revient à la verticale après une belle ressource”. Ca, on ne l’apprend pas trop en SIV…

edit: pour rebondir sur l’explication d’Olivier, que je trouve bonne, beh je ne vois pas en quoi un SIV t’apprend à prédire ce que ton aile fera à l’instant t+1 quand tu es en vol droit. Enfin si, un peu, quand tu captes le tangage.

:coucou:
Par rapport à ta situation, kk, je ne pense pas que ce soit un siv qui t’apportera quelque chose (perso, j’ai rarement enroulé dans un siv, sauf en position d’attente), mais plutôt,comme le dit eul tubeux, un stage genre perf2 qui te décoincera sur la manière d’appréhender le thermique sans te faire dessus. Au pire (au mieux ?), tu te prendras une fermeture, et tu verras que ce n’est pas si méchant (surtout avec ton aile), et que tu n’as finalement pas grand chose à craindre tant que tu ne te mets pas dans des situations foireuses (trop près du relief, sous le vent, etc). Si tu as un moniteur qui te suit depuis deux ans, tu peux aussi lui parler de tes appréhensions et lui demander de te guider dans le thermique, sans avoir à faire un stage complet.
Le siv pourra venir en complément, mais pour moi, c’est un peu mettre la charrue avant les boeufs, même si tu as un problème de mental (bien classique) avant tout.

.

(spécial akira :mrgreen: ).

(PS: dis piwi, quand est-ce que tu nous laisse la possibilité d’effacer un message quand on répond HS :canape: )

:+1: … et en plus j’illustre : SIV au bout de ~ 700 vols

Ca dépend aussi de la formule du stage (ça va dépendre du pilote mais aussi du moniteur). Clair qu’il y a des stages où tu ressors sans avoir vraiment imprimé grand chose. Et (bizarrement?) même si en stage pilotage, je ne travaille plus le tangage & ce genre de chose, quand je suis en thermique, je retrouve plein de situations similaires à ce que j’apprends à gérer pendant le stage.
En particulier, le debrief video permet de souligner des petites erreurs (freinage d’abbaté trop tôt, trop long, virage dynamique envoyé trop tôt/tard, …).
D’ailleurs, les pilotes que je vois faire leur premier SIV passent la majorité de leur temps à faire du pilotage, pas à faire des autorot’ & cie.
Dire qu’un SIV c’est passer son temps à faire des fermetures provoquées et contrer, c’est soit très réducteur, soit le signe qu’il peut être intéressant d’aller voir une autre école…

Après, il y a des gens que ça fait grave chier de faire des exercices, de fleurter avec les limites du domaine de vols & cie. Moi j’aime bien, alors je signe chaque année…

Salut et fraternité,

Cette observation, que j’ai mise en gras, est pleine de bon sens.
Mon propos était surtout de replacer le pilote en face de son expérience, avec 140 vols au compteur :
1 - Il a largement le niveau technique pour bien profiter d’un stage SIV.
2 - Il vole en conditions thermiques et turbulentes, susceptibles de le limiter par effet de peur s’il ne sait pas bien les gérer.

J’ai pu comparer ma façon de voler avant et après mon premier SIV : j’étais passée de la lampe à huile à la bougie. Après mon 2ème SIV, j’étais passée de la bougie à l’électricité. J’en ferai d’autres, notamment chaque fois que je changerai de voile. Cela me semble essentiel pour me sentir bien en l’air mais je reconnais volontiers que c’est un sentiment très personnel et que d’autres peuvent avoir des avis très différents.

Juste un exemple : cet été, j’ai pris un gros pétard à +8 sur le Lanfonnet. Il était évident qu’en sortant du machin ou en arrivant en haut j’allais prendre la voile sur la gueule, pas de panique : une frontale mahousse ou une grosse abattée ne m’angoissent pas, j’ai appris à gérer ça en SIV. Quand j’ai pris la voile sur la gueule, en haut du thermique, elle s’est réouverte et j’ai contré la parachutale en poussant sur les élévateurs A, tout est rentré très vite dans l’ordre. Je n’aurais pas été à la fête si je n’avais pas appris ça en SIV.

Ugh !

Ah bon ? :grat:

Là je ne comprends même pas le discours et du coup je n’arrive pas à me faire une représentation de ta manière de voler.
Désolé, mais ce qui est implicite dans ce paragraphe m’est tellement étranger…

Bin ouais, t’sais toi et ta voile vous montez à + 8 mais d’un coup elle sort et commence à plomber à - 4, bin forcément un moment elle rencontre ta gueule qui elle a continué à monter à +8 … une gueule ça a pas mal d’inertie, t’as qu’à regarder celle du loup de Tex Avery quand la jolie pépée se pointe …

'tain c’est pas croyable quand même, ça a fait docteur en Chamallows, mais ça pige pas les trucs basiques, quoi.

[quote]J’ai pu comparer ma façon de voler avant et après mon premier SIV : j’étais passée de la lampe à huile à la bougie. Après mon 2ème SIV, j’étais passée de la bougie à l’électricité.
[/quote]
:grat:

c’est pas les SIV qui font ça, c’est le temps POB, ma grand-mère m’a dit la même chose hier!!!
bon, la différence, c’est qu’elle est Alzheimer, elle radote un peu la Vioc’!!! :bisous:

:coucou:
Bon, en lisant les 4 ou 5 derniers messages je m’aperçois aussi que je ne sais pas voler.
Une bonne âme charitable pourrait-elle me dire prosaïquement comment gérer la sortie d’un pétard à envir. +8 sans avoir à se prendre le vrac qui suit, comme ça m’est arrivé le 4 septembre ? Parce que je n’ai pas osé revoler depuis, et je me demande si je dois faire un stage perf, un stage S(M)IV ou revendre mon matos… :bang:

Je ne saurai te dire puisque je ne me fais pas vraquer en sortie de thermique à + 8 (je reste dedans :mrgreen: ).
Evidemment, le + 8 ce n’est pas le plus courant sur le site ici. Mais on a toujours une période au printemps où on prend du +9. Tout ça c’est des accélérations dans des thermiques virulents. En intégré, ça tourne à +4 ou + 4,5. La plus forte montée dont je me souvienne, en intégré c’était du + 6. Le paysage descend vite mais l’entrée était nickel et la sortie à l’inversion était anodine. C’était une belle journée pour voler.

Quand tu vraques, c’est rarement dépendant de la force du thermique. Ou plutôt, si tu vraque en thermique fort et pas en thermique affichant de faibles valeurs c’est qu’à la base simplement tu ne pilotes pas ton aile en thermique et qu’en conditions faibles elle a le temps de s’auto-démerder sans en arriver à la fermeture.
Mais très fort, fort ou faible, c’est le même pilotage.

Si tu te fais chiffonner, c’est souvent du à la présence d’une couche de vent assez marqué pour cisailler le thermique. Il est certain que si le plafond du jour est donné par des thermiques à + 8 qui se font hacher à une certaine altitude par 30 km/h de vent, il va y être difficile d’éviter la fermeture en parapente et le tumbling en delta…
Mais faut pas voler dans l’idée qu’on fait des vracs à tout bout de champ lorsque les thermiques sont forts.

Sinon, pour ton problème particulier, embauche un moniteur pour te faire une journée de biplaces pédagogiques en thermique pour te rendre compte de ce qu’il faut faire et de ce que ça implique. Une journée de bonnes conditions, avec plafonds/transitions, etc. Faudra peut-être attendre le printemps.
En attendant, personne n’est obligé d’aller en thermique, surtout avec peu d’expérience. Profite de la mauvaise saison qui vient pour engranger des heures (et de la précision) en pur dynamique les jours où il n’y a pas de thermiques qui viennent déstructurer la masse d’air.

[quote]ou revendre mon matos
[/quote]
:coucou: , donner tu veux dire :canape:

Très bonne déduction :pouce: , ce jour-là le nord commençait à rentrer assez fort, avec une petite tendance nord-est. Il y a probablement eu un cisaillement ou une méga dégueulante. Et, en effet, je ne pilotais pas véritablement mon aile puisque j’étais plutôt tendu, la tenant seulement aux freins. Aurait-il fallu la laisser voler en mettant aux poulies ? I don’t know. Mais j’ai également eu le mauvais réflexe, en sortie de ce gros thermique, et alors que j’étais face au vent mto, de virer sur ma droite et donc de me retrouver un peu sous le vent. La chiffonnade n’a pas tardé…
Nayant jamais été briefé en conditions thermiques, j’avais fait à peine 5 ou 6 vols comme ça en enroulant tout seul sans conseil à la radio.
Je retiens donc l’idée du biplace pédagogique avec mon mono dès le printemps.

Moi itou: SIV au bout de :grat: pas de SIV ROTFL

:mdr: Tonton ben t’es vraiment génial!

Oui bon alors j’vais faire un peu dans le naratif si t’aimes ça, c’est pas pire que quand vous jouez les James
Bérod sur le forum.

C’était en 2003 ou en 2004 … j’sais plus … c’est l’été ou il y a tant de vieux qu’ont canné par chez vous. J’volais encore avec la Cage à Darlet. On était en vacances famille avec le Tintin (Fabrice) en Tarentaise.

Pour nous changer du Bouc Blanc, Tougnette, Mont Jovet et autres décos des prés ou le préz du club local, un certain Jean-Claude Bénintende, nous trimbalait depuis une semaine, j’avais imaginer d’aller du coté de Montgirod, près du Lac d’Arcachat, le déco fétiche à Droindroin … 'tain tu parles d’un lac, on a cherché deux plombes pour trouver une vague marre à canard près d’une antenne.

Bon j’décolle vers les 12h00 avec la ferme intention d’aller jouer dans le thermique nucléaire du Rocher Jonathan qui nous avait déjà servi de tremplin les jours précédents pour aller crapahuter dans le Beaufortain. En chemin je choppe un p’tit +4 tout bonnard … tout bonnard mais qui prenait quand même deux ou trois barrettes à chaque tour. Vers les 2.400/2.500 là y ronflait déjà à +9 intégré avec la base du cum au moins 1.500 m plus haut. Bon même réaction que la pépette, le vieux sac là, j’me dis qu’en sortie ça va faire Verdun, le chemin de dames un soir de 18, si j’me traine les basques trop longtemps dans le bled, du coup j’décide de mettre les bouts. En cage c’était fastoche : tu tirais la poignée d’oreilles, tu piquais la ferraille et l’engin se prenait pour une pilpit.

5 minutes plus tard, je suis toujours vers les 2.500 mais cette fois dans un +4 tout calmos un poil plus loin, et là j’vois mon Tintin se pointer sous sa Nomad, la tête dans l’guidon pour faire comme les coureurs, rentrer dans le thermicos de la mort qui tue, et se l’enrouler comme il se doit … j’étais dans un +4 pas loin, mais je l’ai vu monter comme si je plombais à du -4. Ca n’a pas fait long qu’il a lui aussi eu des doutes sur l’immortalité et s’est alors appliqué à se barrer de là fissa. Oui mais le thermique voulait pas ! Je le voyais butter en marge du thermique, se faire rejeter vers le noyau, finalement à force d’essayer de se barrer de là il s’est retrouvé en 36 dans la pompe, il faisait vaguement du sur-place, puis a dissipé l’énergie thésaurisée, et y’en avait, tout en sortant de ce truc de fou, sans fermeture mais avec le bord d’attaque bien devant lui.

Donc la sortie d’un gros thermique ça peu être chaud, ouais, mais ça peu se gérer aussi. P’têt qu’un SIV peut être utile, mais j’crois que ce qui compte le plus c’est l’imagination que le pilote met à se tirer des coups durs et l’expérience qu’il en a déjà eu. Tout peut s’apprendre, c’est sur, mais parfois faut l’temps au temps et les stages peuvent pas toujours speeder les choses, parfois ça speede aussi la progression de tes gauffres : j’ai un autre pote comme ça, le Buzz, un afficionados de K2 aussi … mais j’vous raconterai ça un autre jour, mes petites louloutes, pasque là, c’est pas que j’me fait chier, mais j’m’en vais me pieuter. Demain le radio-réveil sonne à 5 plombes du mat.

Atchaooooooo

Tonton Ben

Ah ! Oui ! Le Vario de Tintin a enregistré du +14 ce jour là … c’était le jour ou ils ont posé sur le mont Blanc pour la première fois : vache d’été d’enfer que cet été là !

Précisions,

[quote]le chemin de dames un soir de 18
[/quote]
C’était tout peinard en 18 sur le Chemin des Dames, les Français s’étaient carapatés vers la Marne en prenant sur le râble les troupes allemandes, revenues de Russie après Brest-Litovsk, et Ludendorf n’était pas un traîneur de sabre comme Von Bülow en 14…
Le gros carnage sur le Chemin des Dames, c’est avril 17, la grande offensive débile commandée par Nivelle, qui fit pas loin de 30 000morts par jour au pire de la bataille, et qui engendra des mutineries bien compréhensibles.

La grosse canicule avec plein de vieux qui ont lâché la rampe et avec des gars qui ont posé sur le Mont Blanc pour la première fois, c’est août 2003.

Tonton Ben peut bien me couvrir de pipi “en veux-tu en voilà”, imité par les habituels charognards qui balancent force tomates bien mûres et trognons de choux bien durs, il ne mourra pas idiot ce soir.
Comme quoi on peut voler en parapente et améliorer sa culture historique.

Cela a bien glosé sur mon pétard à +8, un truc brutal qui m’avait catapultée vers le haut sans me laisser le temps de l’enrouler, mais c’est parti dans des délires à dauber sur des +x intégrés, des bons thermiques puissants et vastes… Hors sujet les mecs !
Même si ma prose (ou ma personne) vous fout des boutons, il faut LIRE pour éviter de répondre n’importe quoi.
Ce pétard-là, je n’avais pas eu le temps d’essayer de tourner dedans que je m’étais déjà fait éjecter dans du dégueulant, mais bon, c’était juste pour illustrer mon propos : quand on s’attend à une réaction forte de la voile et qu’on sait ce qui va se passer, on n’est pas surpris et on fait ce qu’il faut.

Ugh !

moi aussi, mon vario il marque +14 voire +25.
aujourd’hui, il m’a marqué +2, -43, mais bon, j’ai oublié de lui préciser que j’étais en mini, sinon, il m’aurai marqué -56 +0,0001.
tout ça depuis que je lui ai posé un accus de 24 volts avec les pinces de démarrage (marre de changer les piles tous les 2 ans).
sinon, dans les pompes à + 400, je me suis rarement fait (voire jamais) cisailler par un MTO inverse.
en général, je me fait couper en deux quand je force la rentrée de coté sur la pompe de saison à 14H.
le sachant, j’envoi d’avance mon secours du coté où ça va fermer, ça aide ma demi à ré-ouvrir plus vite, et je reprend le mou du secours une foit fait( bien entendu, je le repli immédiatement dans son pod pendant que je noyaute, pour le prochain coup)
en restant dans la pompe, si elle est forte, elle passe "par dessus " le mto. juste qu’elle change de direction avant de s’évanouir.
bien sur, je ne vole pas avec du mto force 9…jusqu’au grand frais ça va, mais après…j’ai peur !! (j’ai pas fait de SIV (ni d’init d’ailleurs, ça doit venir de là).
mais j’ai toujours du mal à capter les histoires de + 800/2000 comme quoi c’est costaud et en dessus de tout.
on doit pas avoir les mêmes pompes, ou alors il faut que j’arrête avec la kéta.
pour moi, la mauvaise pompe qui fait faire caca, c’est la moyenne pompe à + 4 alors que tu descendais juste avant à - 3 en rasant les cailloux parce que tu veux montrer au monde entier que toi, t’es pas la bite commune, mais bien la bite de l’année en cours, et, cette même pompe étant dé-vier par tous les vents et toutes les combes qui existent.
là, je sens souvent un air chaud et odorant que même le vent relatif n’arrive pas à diluer, vent qui me fait toujours croire qu’il s’agit d’une pompe ayant pris naissance sur un champs qui à fraichement subit un épandage.
que néni, une fois le roulé boulé accompli, je me rend compte à chaque fois que j’ai des raisins de corinthe collés aux poils…

EDIT (mode sérieux) POB, ne prend pas mal ce que je viens d’écrire (ch’uis encore bourré :bu: ), mais c’est vraiment ce que je constate sans arrêts.
la grosse pompe qui monte fort, c’est clair que ça vaut surement une introduction anale, ça met certe un gros coup de pied au cul, mais c’est bien souvent propre une fois dedans, et jusqu’en haut, vu que sa force passe au “dessus de tout”. il y a juste quelques “secouages” de temps en temps en bord de pompe mais ce n’est pas autant stressant qu’une pompe qui se fait lincher par tous les vents.
du moins, c’est sincèrement ce que je capte de longue.
j’ai passé toute la saison dans la combe sud du pic de bure et équivalent (en mini hein !!! pas en PP… ch’uis pas con non plus !! :clown: ), et j’ai subit à chaque fois, sans exception aucune, les petites pompes déviées.
ça devient “plus propre” une fois sortit par le haut, voire propre bien haut avec des +4/5 (en mini), alors qu’en dessous, ça frappe grave et t’arrive à monter avec des +2 de temps en temps. c’est tellement perturbé que tu ne sais même plus où c’est qu’il faut tirer la ficelle.
ça monte pas beaucoup, mais c’est là que c’est tendu. enfin…pour moi !

Certes, certes, l’offensive Nivelles du printemps 17 fut très meurtrière, mais plus parce que les hommes ont été lancés à l’assaut vers des tranchées allemandes quasi intactes. L’offensive était française ce coup là et ce sont surtout les canons français qui avaient parlé lors de la préparation d’artillerie.

Par contre en mai 18 c’est Lundendorff qui fait cracher ses 4.000 pièces sur les tranchées françaises … et c’est ça que j’évoquais : pas la mitraille d’armes légères, plutôt du feu du ciel.

Mais bon si tu préfères l’ambiance du chemin des Dames de 17 moi ça me va aussi.

Ouais, ouais, ouais, j’suis qu’un inculte qui relis pas ses mails, Google n’est pas mon ami et je me documente dans Pif Gadget. J’vais pas jouer à qui pisse le plus loin avec toi sur ce coup là, tu vas encore faire pareil qu’avec les thermiques et prétendre qu’on avait pas pigé les règles du jeu … en plus Verdun, j’suis mal placé pour en parler, j’étais pas né : ramasse tes billes t’as gagné.

Bien cordialement,

Tonton Ben