Virage à plat

Le virage à plat est maintenant élucidé grâce à LéoBag.
Il suffit de trouver un thermique qui tourne et de l’enrouler dans le bon sens. :forum:

Il pleut alors je relance ce topic, arrêtez moi si je me trompe mais au final pour vraiment optimiser un virage le mieux n’est-il pas de minimiser au maximum les mouvements de tangages en cadencent notre virage?

On ne peut parler de “virage optimisé” que si il est adapté aux conditions du moment. Et il y aura des moments où il sera préférable de laisser ta voile plonger un peu pour reprendre un peu de vitesse et de “mordant” lors d’un virage. D’ailleurs plutôt que de parler d’optimisation du virage, je préfèrerais parler d’optimisation du pilotage.

Salut

Je vais encore mettre les pieds dans le plat, mais je crois que tant qu’on se pose la question de savoir “comment optimiser un virage”, il y a un souvent un autre problème plus important à régler avant. Trouver le bon thermique, tourner au bon moment et faire le bon choix entre moyenner ou noyauter (le second est de plus en plus rare)
Entre une optimisation qui pourrait vous faire gagner 0,08 m/s et un virage enclanché trop tard où vous tournerez à -3 m/s pendant 6 ou 7 secondes, vous choisissez quoi ?
Et bizarrement, quand on commence à savoir quand il va falloir tourner, quel thermique exploiter, comment, … Eh bien vous optimiserez parfaitement votre virage au feeling.

Ce que je veux dire c’est que il n’y a pas UNE recette pour optimiser. Selon l’appuis sellette (voir même le réglage), la rapidité d’entrée dans le virage, le régime de vol, … tout est différent. C’est du feeling ça. Ca s’apprend en volant. Il n’y a pas de secret.

Par contre, étudier l’aérologie pour mieux l’exploiter ça, ça permet de gagner du temps en montée.

A+
L

Hello

Je vois que tout le monde parle de thermique …

Je commence à voler (5 volés au Pyla) et ne vole pas en thermique .’.

Le virage à plat m intéresse par petit temps pour ne pas trop s éloigner de la dune et donc perdre de l altitude.

Mais même en freinant ma voile (Nevada 2012) je tourne toujours en de axant l aile et me voilà dans les pâquerettes ?,

Y a t il des spécialistes de la dune et du virage à plat dans pas de vent ??

Un grand merci pour vos réponses …marre de remonter à pied

Il me semble que le virage à plat qui implique une faible inclinaison de l’aile a un rayon bien plus important que le virage normal… Donc en air calme virer à plat te permettrait peut être de moins perdre d’altitude au cours de ton virage qu’avec un virage normal, mais à la dune il te ferait t’éloigner bien plus loin… Donc très exactement à l’inverse de ce que tu recherches non?

Idem que chatmalo.
Pour le soaring et les petites conditions, tu dois privilégier de ne pas trop perdre pendant ton changement de direction tout en ne t’éloignant pas trop. La solution réside alors là aussi dans la réponse donner par Choucas : Il faut tourner au bon moment.

Par exemple, avec une petite surface qui dégrade en virage j’ai tendance à tourner dans l’ascendance lorsque cela monte le mieux. Ainsi je réduis le fait que mon aile dégrade en virage et je ressource en général encore dans l’ascendance (lorsque c’est bien fait).

Thomas.

Ok merci pour vos réponses :pouce: je vais essayer ce week end !!!
Mais je reste admiratif des gas qui tournent à 2 km/h l aile à plat sans perdre d altitude…
Un jour peut être :vol:

Prend une montgolfiere dans ce cas la :roll: :lol:

ah oui pas con la montgolfiere :wink:
:ppte:

Ou vol avec un biplace.

effectivement tournée quand ca ressource ca marche bien :ppte:

merci pour le tuyaux :vol:

J’ai parlé avec un pilote qui a longtemps voler avec une cage.

Il m’a affirmé qu’avec une cage il était possible de glisser sur l’aile (déraper).
Avec un appui sellette, on abaisse toute une moitié de voile égal.

Avec la cage, si l’on pousse la cage à gauche ou à droite comme un delta, c’est tout le parapente qui prend de l’angle.

Hello, dans le train du retour d’un vol seul en plaine, ben choper un thermique, et pas sa “périphérie” et ne pas en sortir, surtout avec des vents inversés suivants les altitudes, c’est pas facile ! Parfois c’est de la glisse pure, bien tendue dans le cocon et après c’est comme être un ? sur lequel on joue de la batterie, tu te fais taper et ça aide pas à comprendre. Et franchement confronté à l’aerologie, le sens de l’analyse est assez bas de plafond. Je vais me repasser le film mental du vol mais si qlq. a des trucs et astuces pour rester au chaud dans l’ascendance, j’essaierais de m’en souvenir là-haut.
Mais 3h. de plaine, quel pied !