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On se dégrafe en finale et on sort de la sellette dans l’arrondi final ou quand les pieds touchent l’eau. Il faut effectivement 20 à 30 m pour défaire les boucles (20 à 30 secondes), mais au-dessus de l’eau c’est rarement turbulent…
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Si on a la trouille de se dégrafer en l’air, il est préférable de poser vent de cul pour que la voile retombe sur son bord d’attaque, reste gonflée bord d’attaque fermée, soit en prise dans le vent et que les suspentes restent en tension.
À une époque où on jouait à des jeux à la c–*, j’ai pu tester les deux, très efficaces.
Quoi qu’il en soit, la règle principale est de d’abord sauver le bonhomme, et puis après, éventuellement, le matos. Et se méfier à mort de l’eau qui bouge (cours d’eau, vagues, courants).
- En bord de mer, le jeu consiste à aller le plus loin possible vers le large et évidemment de rentrer à la plage… Je vous avais prévenu que c’était un jeu à la c–.