Hé Leo tu oublies les vols groupés du col vert. Cela se passe tout à fait comme l’a decrit Blablair. Et je vois tous les ans des vieux parapentistes du club enchaîner les 3 massifs autour de Grenoble. Ils avaient le niveau mais n’osaient pas se lancer dans les grandes transitions, dès fois que en face ce soit l’enfer. Le niveau monte, ça pousse derrière…pourvu que cette ambiance dure mais attention, cette année plusieurs beaux vracs. A+
Comment crosser en équipe avec des ailes très différentes.
(
pour l’histoire du top 10 ROTFL )
Dire que je vais rater ça samedi soir…arghh!! :bu:

Merci !
j’étais pas la :canape: j’étais au col des faisses
c’était bien aussi!
Quand il arrive que l’on soit hors cycle sous un nuage s’effondrant et/ou bloqué sur un point bas, il ne faut pas tout de suite désespérer de pouvoir rejoindre la grappe.
Il est en effet des situations où il est encore possible de “tirer” encore un peu d’énergie d’ascendances faiblissantes ou apparemment évanouies en exploitant ce que l’on appelle le vol cinétique ou vol au gradient.
NB : ce qui suit est extrait d’un fil perdu - je le déterre - les anciens ne m’en voudrons pas
13-11-2016
Le nouveau record de distance libre en parapente est porté à 564.30 km au départ de Tacima (Brésil).
Ce que peu d’entre nous ont noté, c’est qu’il n’y a non pas un détenteur de ce record mais… trois co-détenteurs.
Mieux : sur les cinq derniers records, cela fut le cas… quatre fois !
2006 : les frères Aljaz & Urban Valic – 423.50 km depuis Vosburg (Afrique du Sud – Invalidé par la FAI car il ne dépassait pas de plus de 1% le record précédent si l’on comptait le point d’atterrissage et non le point de virage enregistré avant de revenir poser ensemble en sécurité– une aberration stupide d’une réglementation surannée…) ;
2007 R. Saladini / F. Brown / M. Prieto – 461.80 km depuis Quixada (Brésil) ;
2015 F. Brown / D. Lemos – 514.00 km;
2016 S. Nascimento / D/ Lemos / R. Saladini 564.30 km.
Cela ne doit rien au hasard
La fratrie est un lien dont on peut bénéficier en tombant dedans quand on est petit (Aljaz)
Ou que l’on se crée, comme la culture du « gang ».
Car il y a bien une école brésilienne du vol de distance et c’est peu de dire que celle-ci brille ces dernières années.
Encore moins connue est le fait qu’elle applique -avec solidarité, enthousiasme et camaraderie - une méthode fondé sur la connaissance et l’humilité.
Cette école est le fruit de pilotes renommés et respectés pour avoir toujours eu en tête de partager leur savoir-faire et leur compétence pour aider d’autres pilotes –moins dotés en temps libres, moyens financiers et/ou moins doués- à progresser et dépasser leurs propres limites sans pour autant se mettre dans le rouge.
Fait tout aussi remarquable, l’émulation qui a fait que des deltistes se sont impliqués parallèlement dans la même démarche, comme nous l’avait montré le film projeté à la Coupe Icare en 2010, et dont on devrait avoir un nouveau chapitre lors de la prochaine Coupe Icare, s’ils trouvent le budget pour le produire.
Ce même 13 octobre, Glauco Pinto et Andre Wolf ont en effet passé la barre des 610 km au départ de Araruna (toujours au Brésil), battant pour la première fois un record du monde delta au Brésil, et aussi par la même occasion le record de distance en delta à but fixé avec 603.5 km.
No comment…
Ou plutôt si, et plutôt deux fois qu’une.
1- Ce qui n’est pas partagé n’est qu’une dépense inutile d’énergie conduisant à une impasse aussi psychologique que sociale.
2- Pour un pilote autonome, il n’y a pas meilleur enseignement que le vol de distance en équipe !
3- Ce n’est le talent individuel d’un pilote qui prime mais la capacité de chacun des membres du groupe à appliquer une stratégie commune et à donner le meilleur de soi-même pour atteindre le but que c’est fixer le groupe : amener le maximum de pilotes le plus loin possible !
Revenons à la genèse de ce vol libre en équipe brésilien, car la foi en ce projet ne s’est pas construite de rien.
C’est en 2003 que André Fleury et Marcelo Prieto ont initié ce projet avec la ferme intention de développer le potentiel du territoire brésilien pour le vol de distance en parapente, un potentiel déjà révélé par le delta et notamment le regretté Pepe.
Quand ceux-ci ont annoncé leur intention de dorénavant décoller à 7h30 de Quixada, ils ont -à minima- fait rire, en particulier les européens de passage (aujourd’hui, on y décolle à partir de 6h00… ce qui implique de se lever à 4h30 !).
Mais aussi :
- de longues et coûteuses (beaucoup de km en voiture) reconnaissances et vols de défrichage (la partie la plus risquée de la préparation, tant en vol… qu’en voiture, souvent de nuit, sur des routes pas toujours bien pavées et encombrées d’animaux) ;
- une logistique rodée ;
- une planification rigoureuse et respectée par l’ensemble du groupe.
Difficile d’imaginer que l’exubérance et esprit festif symbolique du Brésil puisse s’allier avec une telle discipline.
C’est pourtant le cas : les équipes se décrivent elles-mêmes comme des commandos, soudés, volant comme un seul organisme composée d’organes spécialisés :
- des « impulseurs », généralement pilotes jeunes et/ou agressifs chassant devant, souvent bas et à fond en transition ;
- un stratège navigateur, calculateur et garant du respect des zones à éviter et des espaces aériens, « tour de contrôle » du dispositif ;
- un capitaine, fixant le programme initial mais capable aussi d’intimer un changement de rythme à l’ensemble de la formation quand les conditions deviennent plus faibles et nécessitent un dispositif plus conservatif, ou aussi bien de foncer chasser devant avec les « impulseurs » quand les conditions sont là mais que le thermique attendu n’est à l’endroit prévu ;
- etc.
S’il y a des rôles prédéfinis et des préférences, avec l’expérience, chacun des pilotes devient peu à peu à même de reprendre à son compte les autres fonctions « organiques » en cas de défaillance du titulaire.
Car il est admis par tous qu’il peut y avoir du déchet pendant les premières heures du vol (il ne faut oublier que l’on parle de pilotes près à rester près de 10 à 12 heures en vol – kit « pipi » sur le sexe, eau, barres énergétiques, etc.) et que les premiers posés suivront en voiture pour assurer la récupération et la sécurité de ceux qui poursuivent le vol.
Il n’en ensuite pas question ni de ralentir quand les conditions s’établissent, ni de laisser quelqu’un en route, encore moins de prolonger seul le plané final pour « griller » le record à son co-équipier : le pilote le plus bas choisit un atterrissage sûr pour les autres pilotes encore en vol, atterrissage qui devient le point final du cross.
C’est bien là qu’est le schisme avec ce que l’on retient généralement de ses premières années de compétition.
Ces pilotes brésiliens restent des individualités fortes, des pilotes qui cumulent un nombre conséquent d’heures de vol, mais témoignent d’une camaraderie, d’une solidarité et d’une rigueur dans la recherche de la performance qui n’est de fait pas coutumière sous nos latitudes et qui en font pour moi des exemples à suivre, à quelque niveau que l’on se trouve dans sa pratique et sa progression si l’on s’intéresse au vol de distance.
Ce ne sont pas plus que cela des nantis et/ou des passionnés ayant fait le choix radical de centrer leur existence sur le vol, coupé toutes les attaches et oublié les freins d’une existence « standard » avec famille, enfants et crédit maison, seulement pour voler tout les jours que le ciel fait volables.
Mis à part leur quête annuelle de records, ce sont des gens normaux, qui bossent dur durant l’année et se sont éduqués à la « frustration », habitués à devoir reconnecter leur esprit pour revenir à leur vie quotidienne et aux contraintes du monde « réel » une fois sortis de leurs « parenthèses planantes ».
Je cite Rafael Saladini (double traduction) : « Nous ne volons pas pour devenir célèbres (…) Voler est notre passion, c’est tout. Nous attendons (et nous préparons) une année entière pour être là (durant nos congés)… Nous nous efforçons (pendant le reste de l’année) de maintenir nos capacités de pilote, de maîtrise de notre voile et d’aptitude à voler le plus vite possible, pour ces jours où nous devrons les mettre au service de l’équipe pour voler ensemble le plus vitre et le plus loin possible ».
Il est extrêmement rassurant du point de vue éthique que de constater que de (très) bons pilotes aient pu ainsi renoncé aux formes de compétitions traditionnelles pour se concentrer sur le vol en équipe et se fixer ainsi un challenge d’un tout autre niveau !
Je comprends que l’on puisse ressentir une grande satisfaction dans ces joutes où les pilotes se concentrent sur comment « tuer les autres », pour monter un peu plus haut dans le thermique, le tromper sur leurs intentions ou leur situation, plonger vers le but avant tout le monde ou « régler son compte » à quelques centaines de mètres du but à un pilote plus léger dont on a « sucé le bord de fuite » grâce à quelques petits km/h de plus, etc.
Mais je ne m’y reconnais plus depuis longtemps.
Car je n’apprécie personnellement pas –pas plus que Rafael Saladini qui tient à peu près le même discours- l’atmosphère des compétitions et ait toujours préféré voler en équipe, sans devoir gérer trop souvent en moi un conflit entre une ligne imposée par un enchaînement de balises et celle que suggérerait ma propre analyse (plus sûre, plus belle parfois aussi), subir la charge d’un pilote qui veut me sortir d’un thermique étroit, être le témoin de prises de risques inconsidérée de la part d’autres pilotes aux instincts trop guerriers ou simplement par trop grégaires, etc.
Sans avoir été jamais un chasseur de record, j’ai passé mes plus belles années de vol à être à chaque fois un peu plus « juste », autant que ma compréhension me le permettait, dans mes vols de performance.
Ayant été amené par les circonstance à la tête d’un club, j’ai alors découvert et apprécié mon rôle d’accompagnateur, de « bourdon pollinisateur » des esprits de « jeunes » pilotes ayant envie de progresser (sans considération d’âge et d’expérience en heures de vol – car ce sont deux choses très différentes) parce que j’y trouvais mon compte :
- dans la meilleure compréhension des choses que l’on tire de reformulation de ses propres connaissances pour les faire comprendre et/ou les confronter avec d’autres « écoles », discuter de postulats que l’on peut avoir été amenés à faire sur ce que l’on n’appréhendait pas encore complément ;
- dans le bonheur esthétique de parcourir des paysages magnifiques de concert avec d’autres ailes, m’offrant la perspective physique et l’intensité émotionnelle nécessaires à bien en apprécier autant notre vulnérabilité que la beauté fugace de ces instants magiques ;
- dans la sérénité qu’offre entre camarades de vol le partage et la recristallisation du souvenir de ces moments dont la réalité peut parfois s’estomper.
A chacun son challenge.
Songez à celui-ci si vous pensez pouvoir constituer une équipe soudée et solidaire dans un engagement bien compris et mesuré.
Privilégiez les gens de caractères différents mais avec lesquels vous vous sentez bien au sol avant de considérer leur palmarès et/ou le niveau que suggère le référentiel d’homologation de leurs ailes.
Il y a de grandes chances que ce sentiment se renforce en l’air quand vous apprendrez ensemble à fonctionner en équipe.
C’est en tout cas ce que je vous souhaite de tout cœur pour l’année 2017. :ppte:

Superbe analyse Paul !

Proverbe (soi-disant) amérindien : “Ce qui n’est pas partagé est perdu.”
Citation Paul
“Car je n’apprécie personnellement pas –pas plus que Rafael Saladini qui tient à peu près le même discours- l’atmosphère des compétitions et ait toujours préféré voler en équipe, sans devoir gérer trop souvent en moi un conflit entre une ligne imposée par un enchaînement de balises et celle que suggérerait ma propre analyse (plus sûre, plus belle parfois aussi), subir la charge d’un pilote qui veut me sortir d’un thermique étroit, être le témoin de prises de risques inconsidérée de la part d’autres pilotes aux instincts trop guerriers ou simplement par trop grégaires, etc.”
Je ne suis pas contre la compétition, je pense même qu’elle peut être un bon vecteur de progression comme dans la plupart des sports.
Cependant dans le cas du parapente(comme dans certains autres sports de nature) ,le critère de temps et l’hyper concentration humaine dans un même espace, sont des contraintes presque contradictoires avec l’esprit de l’activité.
Pour cette raison , je trouve que la CFD est une super formule qui permet d’échapper à ces contraintes sauf pour les cadors qui doivent voler vite et longtemps et dans ce cas même, ils décident au moins du lieu et de l’heure .
L’ instant de grâce en para pour moi,c’est justement quand on a cette sensation de dilatation du temps et de l’espace.
Qu 'on éprouve presque à notre insu, un sentiment naturel de pure liberté en pleine conscience.Suspendu là et maintenant.
Si vous avez envie de voler en groupe et que vous vous demandez avec qui voler, lu cette belle phrase de Paul dans son article sur ce record dans le Parapente Mag n° 170 :
“Privilégiez les gens avec lesquels vous vous sentez bien au sol avant de considérer leur palmarès ou le niveau d’homologation de leurs ailes.”
C’est tellement vrai que je n’y avais jamais songé sous cet angle. Une phrase à graver sur nos frontispices personnels.
Ouais c’est bien beau cette affaire… Mais des fois certains de ces gens là tu passe ton temps à les croiser au sol ou en plouf et pas moyen d’arriver à faire un grand vol avec 
Mais même pour les cross pas longs, même tout seul, et même si pas d’envie de pipi. S’arrêter sur un sommet ou un col (en sécurité), se poser, et profiter du paysage et de la tranquillité d’un lieu où on est arrivé par les airs, avant d’en repartir, c’est une sensation géniale!
Bon ça plombe les points pour la CFD, mais comme on n’est pas dans le top 10 et qu’on cherche pas à faire le BPJEPS, on s’en fout!
[/quote]
Tien, un écho supplémentaire dans ce sens… p.29 du dernier PMag.
Pas mal ce petit encart, mais poser pour passer un verrou, ça veut presque forcement dire poser sous le vent de celui-ci… Sauf si on pose en bas dans la vallée et on remonte à pied…
Bon, j’ai pas de leçon à donner car je l’ai fait au moins une fois!
http://parapente.ffvl.fr/cfd/liste/2007/vol/20072350
En redécollant au vent, après une longue zone de plat, j’ai pu rentrer jusqu’à vizille…
Si je mets des traces gps, c’est surtout pas pour me la péter, c’est pour étayer mes propos. Et d’ailleurs, je n’ai pas de quoi faire mon malin avec cette trace.
Non pas forcément, tu peux aussi poser par ce que tu es coincé dans une couche qui monte pas bien (genre dans la stabilté en été), remonter un bout pour retrouver un peu de quoi monter plus haut en volant.
S’pas vrai!!! T’façon en tant que cramé de la CFD, c’est que tu kiffe de te la peter! Z’êtes de toute façon un club de crâneurs!! 
S’kon va encore vous mettre cette année! En plus la saison des transferts bas son plein… :canape:
Et voilà je passe encore pour un cramé au troisième degré :bang: alors :taupe:
Tien, un écho supplémentaire dans ce sens… p.29 du dernier PMag.
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Je rebondis sur la proposition de modification du règlement CFD qui permettrait de remonter à pieds et redecoller : perso je suis contre car ça aboutirait à conférer à la combinaison de 2 vols des points indus.
Par exemple ces 2 vols:
http://parapente.ffvl.fr/cfd/liste/2015/vol/20190008
http://parapente.ffvl.fr/cfd/liste/2015/vol/20190010
Le pilote en progréssion (moi
) n’est pas capable de trouver la sortie donc il pose et redecolle du col: rien à voir avec le bon pilote qui s’extrait et enchaine le parcours en vol sinon ca serait de la triche, amha.
En plus ça laisse des frustrations à éliminer pour les vols suivants 
[quote]Le pilote en progréssion (moi Sourire ) n’est pas capable de trouver la sortie donc il pose et redecolle du col: rien à voir avec le bon pilote qui s’extrait et enchaine le parcours en vol sinon ca serait de la triche, amha.
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T’as raison! C’est sûr que ça vaut “moins de points”. Mais est-ce vraiment moche? Si tu pars à vue dans ton premier 8a, que tu bloques au crux mais que tu le sors avec un seul plomb… ben ça compte pas. Tu passes pas du 8a. C’est l’enchainement qui compte.
Pire, t’arrives bas, tu poses au pied de la falaise. Tu fais le tour à pied et tu redécolles derrière voire en haut, 400m au-dessus. Sur le GPS, en plan, t’as juste fait un touch and go. Mais en fait t’as contourné une difficulté.
Par contre, ce que j’avais suggéré il y a quelques mois, c’est qu’on puisse suivre sur les résultats CFD 2 (ou plus) vols consécutifs. C’est à dire que quand tu déclares tes 2 vols, on puisse facilement les retrouver et reconstituer l’intégrale. Aujourd’hui si tu fais 100kils au premier, 50 au deuxième, un bon jour, ben y’aura 200 vols déclarés entre tes 2 vols, et personne ne verra l’enchainement de 2 beaux vols. Et peut-être le challenge de boucler le parcours.
Après, on peut même imaginer te donner tes 150km avec une pénalité (diviser la distance par 1.2 par exemple, si t’as redécollé à moins de 100m en moins de 20minutes, juste un exemple). Dans le but de diminuer la prise de risque; mais je ne suis pas sûr de l’intérêt d’une telle usine à gaz. Et on s’éloigne trop des classements internationaux.
Ca pourrait aussi faire l’office d’un classement alternatif “marche et vol”.
Je crois que Frigo avait dit qu’il en parlerait à la fédé et avec les autres validateurs. Des retours?
Quelle est la trace qui a le plus de valeur pour vous :
-
Celle du pilote qui passe taquet au ras du col parce que son ordinateur de bord et son gun lui ont commandé de tirer tout droit depuis 10 km ?
-
Celle du pilote d’une voile de progression qui a su se refaire à mi-chemin mais a buté sous le verrou faute de finesse et de taux de chute, qui achève son ascension à pied et redécolle ?
Pour moi, c’est tout vu
C’est un élitisme qui n’a plus de raison d’être depuis que l’XAlps s’est imposé comme la compétition parapente la plus dure au monde
C’est un archaisme a bannir si l’on veut attirer plus de pilotes vers la cfd et le vol de distance
C’est l’esprit du trial sous toutes ses formes, du trail avec déviations des plus grosses difficultés qui servent à la sélection des meilleurs, qui devrait prévaloir
Celui du marche et vole et du Cap
D’autant que ceux qui craignent de se faire challenger par des marcheurs ont une analyse un peu courte : marcher n’a pas encore permis à Coconea de battre Maurer 
rien a voir! c’est vous qui cherchez à mettre une valeur! La valeur du vol c’est le pilote qui s’en satisfait, NON? Puis après vient le regard de l’autre (forcement le regard de l’autre si on déclare à la CFD)…
Enfin c’est comme ça que je fonctionne.
@maricola: pour les deux vols du même pilote dans la même journée: Si il a envie de se faire remarquer, par son double vol dans la journée, il a ka faire un récit de vol…
Et puis il y a ceux ou celles qui partent en vol bivouac: Il le mettent dans le titre de leur décollage: (vol bivouac 1ier jour et ainsi de suite) Je trouve ça top et on peut les suivre…
[quote]c’est vous qui cherchez à mettre une valeur!
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Je ne cherche pas à mettre une valeur. D’ailleurs je ne l’ai jamais fait. Je cherchais à mettre plus facilement en évidence un parcours que ça ne l’est aujourd’hui. Ne pas laisser perdre l’info de ce parcours quand il existe sous prétexte d’un pied posé en route. Dans le but de partager les connaissances. Sans polluer les classements pour ceux pour qui ça compte.
[quote]Il le mettent dans le titre de leur décollage: (vol bivouac 1ier jour et ainsi de suite) Je trouve ça top et on peut les suivre…
[/quote]
Ah ben ça c’est pas con par exemple! Tant que les pilotes concernés y pensent. Et si on ne peut pas faire plus “évident”. Comme par exemple cocher une case dans la déclaration du style “vol lié avec un autre” et un lien pour y arriver direct. Voire afficher les 2. Mais c’est juste de la technique.