Tu mets le point ou cela fait mal ; la pertinence des avis des testeurs de nos revues spécialisées.
Même s’il est intéressant de prendre des infos partout ou tu peux en trouver. En vol, tu seras seul sous ta voile. Alors, autant que dans le choix tu prenne seul la décision sous quelle aile tu souhaite t’accrocher.
La première question qu’il faut se poser est, plutôt que de raisonner en exigences faites par l’aile au pilote (/!\ ATTENTION ! je ne dis pas qu’il ne faut pas se poser cette question, tout au contraire il faut mais… après avoir répondu d’abord à la première)
Quel est réellement et honnêtement mon vrai niveau de pilote. Et attention-bis, ce niveau ne se juge pas à ; savoir décoller parfaitement, ou atterrir, ou enrouler, ou envoyer des wings ou même des hélico, etc (bien que cela soit bien si c’est acquis)
Non, ce niveau auquel je fais allusion, se veut une synthèse (même si imparfaite sur tel ou tel item) de tous ce qui fait le pilotage ; la bonne gestuelle bien sûr mais aussi les connaissances théoriques, toutes ; mécavol, météo/aéro, réglementation (eh oui aussi), facteurs humains, etc.
Et parmi les facteurs humains, il y en a un qui me semble particulièrement important. C’est celui de la connaissance de toi même que tu as. L’expérience du vol et… de la vie y aide beaucoup.
Bref, je crois que tant que l’on essaye de trouver des réponse auprès des autres c’est que l’on ne la trouve pas chez soi. Et possiblement que ce n’est pas dû à un manque de réflexion mais plutôt une ou l’autre étape de sauté dans la réflexion menée jusqu’alors.
Perso, il y à six ans je suis passé sous “C” alors que probablement j’étais encore mauvais sous ma 1-2 (“B” d’aujourd’hui) C’est mon envie plus le conseil de mon DTE favori qui m’avait guider dans le choix de l’aile. Et depuis 6 ans je me suis fait énormément plaisir avec en acquérant au fur et à mesure de mes vols les réelles compétences pour voler avec. En choisissant pour cela aussi avec beaucoup de consciences des risques les conditions dans lesquels je volais, les plans de vol et mes placements en l’air, etc.
Est-ce que cela aurait été mieux en progression et plaisir si j’avais pris la bonne “B” du moment, je ne le saurai jamais. J’ai conscience aujourd’hui que là ou j’ai de façon certaine le plus progressé c’est dans cette connaissance de moi-même qui fait que ma prochaine aile je la choisirerai certes en demandant des infos à ceux qui connaissent les modèles de mon panel de choix. Mais en me décidant tout seul et sans arrières-pensées sur l’adéquation entre elle et moi. Car je sais que mon apprentissage avec ne fera que de débuter…
Idem pour le choix de ou tu veux te situer dans la fourchette de PTV. Cela dépend avant tout de toi, puis des conditions dans lesquels tu pense voler le plus souvent et enfin de l’aile (mon avis)
Je ne suis pas d’accord avec le comparatif entre Iota et Artik 4 de PPMag. Que ce soit en ou hors domaine de vol.
Tout d’abord on passe à priori plus de temps “en” domaine de vol que “hors” domaine de vol et la Iota est beaucoup plus amortie. Elle retransmet moins la masse d’air, son amplitude aux commande est plus important, son comportement est moins agressif et laisse plus de temps au pilote pour réagir. Toujours “en” domaine de vol, les performances en ligne droite le matin sans accélérateurs sont peut-être les mêmes. Mais on prend une EN C plutôt qu’une B parce qu’elle continue à avancer là ou d’autres ralentissent. Ou parce que leur accélérateur est plus efficace.
Et “hors” domaine de vol, la Iota n’est certes pas une Epsilon, mais c’est tout de même franchement plus accessible qu’une Sigma. Je pense que l’Artik 4 (que je n’ai pas testée hors domaine de vol, mais en vol thermique uniquement) est plus “tendue” qu’une sigma 9. Elle devrait donc en toutes logiques être plus rapide, atteindre des angles plus importants et nécessiter d’avantage de pilotage pour retrouver son domaine de vol rapidement.
En conclusion. Je ne mettrais certainement pas une Artik 4 et une Iota au même niveau.
@ Laurent, merci pour ta prise de position. Voilà un avis qui ne me fait pas douter sur ce qu’il signifie.
Alors que PPM et PP+ se décrédibilise eux même avec leurs appréciations dithyrambiques essai après essai.
Et ce n’est pas de lire dans le PP+ n° 439 page 25 en intro de l’essai de l’Artik 4 ; qu’il existe bien encore sur le marché de bonne “bouses” Mais qu’ils ne nous en parleront pas. Sous pretexte que la mission d’un journal serai de nous orienter vers de vrais parapentes.
Visiblement ils ont une approche très particulière du métier de journaliste. On a bien plus l’impression de lire la prose d’un jeune diplômé d’une (mauvaise) école de commerce.
Je ne dis pas que l’article 4 ne serait pas une bonne aile. Je dis que les essais des magazine valent queux de cerise.
Si on lit les essais des EN-A et B du DHV et dans une moindre mesure (la pub intervenant certainement déjà) de Thermik. Force est de constater qu’il y journal et journal.
Les deux voiles n’ont pas été testées par le même pilote (C. Nieddu pour la Iota, P. Lami pour l’Artik 4) et des quelques articles que j’ai pu lire de ces 2 pilotes d’essai, j’ai l’impression qu’ils n’ont pas tout à fait la même sensibilité quand à l’accessibilité d’une voile.
J’ai le sentiment que C. Nieddu a un discourt plus conservateur que P. Lami et qu’il est plus exigeant quand au niveau de pilotage nécessaire pour exploiter ces B+ en toute sécurité.
Cela explique peut-être l’impression d"exigence identique entre les 2 voiles.
Loïc
Erreur de quote, désolé Laurent pour la confusion je rectifie ici, en complétant ;
(@) Laurent, merci pour ta prise de position. Voilà un avis qui ne me fait pas douter sur ce qu’il signifie.
Alors que PPM et PP+ se décrédibilise eux même avec leurs appréciations dithyrambiques essai après essai.
Et ce n’est pas de lire dans le PP+ n° 439 page 25 en intro de l’essai de l’Artik 4 ; qu’il existe bien encore sur le marché de bonne “bouses” Mais qu’ils ne nous en parleront pas. Sous pretexte que la mission d’un journal serai de nous orienter vers de vrais parapentes.
Visiblement ils ont une approche très particulière du métier de journaliste. On a bien plus l’impression de lire la prose d’un jeune diplômé d’une (mauvaise) école de commerce.
Je ne dis pas que l’artik 4 ne serait pas une bonne aile. Je dis que les essais des magazine valent queux de cerise.
Si on lit les essais des EN-A et B du DHV et dans une moindre mesure (la pub intervenant certainement déjà) de Thermik. Force est de constater qu’il y journal et journal travail d’investigation et travail d’investigation. En considérant que tester du matériel est bien un travail d’investigation de la part d’un journaliste/testeur d’une revue spécialisé.
Tu veux beaucoup de sécurité passive et pourtant des perfs identiques quasi à des EN C?
L’Atlas est l’aile qu’il te faut
les moins:
En transition accélérée elle fait un peu moins bien qu’une EN C. Rien d’énorme non plus en bout de transition
Elle n’est pas une aile légère
Tu ne peux pas frimer genre: " moi j’ai une aile hyper pointue, allongée, blabla…"
Quand on voit le profil de l’aile et la taille des caissons, on ne peut tout simplement pas croire qu’elle vole si bien.
Des écoles l’utilisent pour l’apprentissage
les plus:
Tu peux tout lâcher quasi tout le temps y compris en thermique pour manger, filmer, pisser, etc…
Les fermetures sont trèèèèèès lentes tout en pouvant être très “sèches” et le changement de cap est quasi inexistant.
Non accélérée, elle vole aussi bien voir mieux qu’une Delta, Peak même face au vent
Elle tourne quasi sur place dans le thermique
Le débattement au frein est très grand tout en restant progressif et offrant un super ressenti de la glisse.
Le tangage est très amorti. Pourtant si tu le souhaites tu as la possibilité de la faire tanguer (contrairement à la Sprint qui était quasi impossible à faire tanguer).
Du coup malgré son profil trèèèèèès épais elle a vraiment un super comportement en l’air et elle peut-être très ludique.
Elle vole de façon hallucinante avec des Enzo, Omega, IP, etc… Le gap en fin de transition par rapport à ces ailes peut largement se compenser en faisant le haut de la pompe et en accélérant à fond ensuite, car souvent les ailes précédemment indiquées n’accélère que rarement à fond.
Son profil, lui donne REELLEMENT une fonction de guidage automatique vers le centre du thermique.
Les vols de 100km sont quasi le minimum avec.
Elle est faite pour être volée en milieu de fourchette, voir un peu en-dessous. Mais même chargée elle continue à offrir des perfs incroyables.
Conclusion:
Si tu veux une aile top-frime, oublie l’Atlas.
Si tu veux une aile, qui t’offre la distance tout en n’ayant que le paysage à regarder, la glisse à ressentir, la communion avec les rapaces et autres oiseaux alors c’est l’aile qu’il te faut.
C’est tellement difficile à croire, que la seule façon de pouvoir halluciner en live est de l’essayer
Sincèrement… Je n’en vois pas. Probablement que c’est un problème avant tout de culture. Peut-être que si les revues d’associations de consommateurs s’intéressait au parapente. Et encore, si on compare le même type de revues disponible en France et en Allemagne, on s’aperçoit aussi que le nôtres de Française sont bien plus consensuelles que nos cousins germains.
On pourrait espérer qu’un forum comme celui-ci pourrait être une source d’informations plus pertinentes.
Mais c’est de l’utopie car pour tester une aile et en tirer de vrais enseignement, il faut de vrais capacités de pilote et aussi beaucoup d’expérience. Ceux qui possèdent ces qualités sont être des Pro ne volent plus trop sous des EN-A voire même B. Et ceux qui parlent de leur aile ne sont sentimentalement ou sinon en pensant déjà à la revente à venir, impartial.
Les seuls qui ont vraiment ces qualités et qui sont prêts à voler sous autre chose que les ailes qui les intéresse directement, ce ne serait que les Pros de la niche économique que représente le parapente. Et là désolé si j’en vexe certains, ce n’est pas mon but. Peu d’entre eux pourraient se permettre d’être parfaitement impartial sans se pourrir leur existences commerciales. L’exemple d’il y déjà quelques temps de “Ligne bleue des Vosges” (je crois me rappeler que c’était le pseudo utilisé) qui faisait du basching contre une marque qui lui était concurrente dans son statut d’importateur et enjolivait le(s) modèle(s) qu’il représentait et tous ça en voulant se faire passer pour juste un pilote d’expérience passionné…
Il reste ZIAD, il me parait franc de collier.
Ce serait top, si un Français passionné et qualifié et disposant des moyens et disponibilités nécessaires s’attèlerait à la même tache. La mise en parallèle des deux avis serait un plus supplémentaire.
Non je pense plutôt qu’il faut prendre les infos qu’on reçoit et chercher à en faire un tri en laissant un peu de temps au temps. Histoire d’avoir quand même quelques retours sur les forums de déçus, de voir ce que tel ou tel voile donne à la CFD et autres serveurs XC, de regarder et d’écouter ce qui se passe et dit sur les déco et attérro, etc. Perso j’ai aussi confiance dans mon dealeur à qui je suis fidèle depuis (presque) mes débuts. Confiance qui ne se veut pas aveugle pour autant, j’ai conscience que lui aussi dans l’absolu et suivant les périodes, il aura un intérêt plus fort pour vendre tel ou tel modèle. Là, la connaissance que l’on a l’un de l’autre permet à tous de savoir faire la part des choses… La fidélité a du bon !
un amateur éclairé ayant une assise financière suffisante et faisant des essais bénévolement pour son seul plaisir (et tout repose sur la vertu de l’individu en question)
une revue fédérale toute dévolue au service de ses licenciés/clients qui pourrait se tenir loin des problématiques économiques.
Très majoritairement, c’est un problème de thune !
Bien sûr que c’est un problème de moyen financier. L’indépendance d’opinion si elle se veut pérenne est toujours conditionnée par l’indépendance financière ET par des vertus morales, sans oublier la passion qui permet de “travailler” par et pour le plaisir.
Je veux croire qu’elles existent, l’indépendance d’opinion, les vertus morales et la passion, le vrai problème étant de les retrouver dans la même personne ou le même groupe de personnes. Ziad semble le prouver…
L’idée de la revue fédérale n’est pas mauvaise, encore faudrait-il que notre FFVL possède les mêmes moyens financiers que le DHV.
Puis n’oublions le rôle important que jouent les Pros dans le fonctionnement de notre fédé (/!\ Attention ! ce n’est en aucune façon un reproche, juste un constat)
Si on accepte l’idée que dire haut et fort du mal d’un modèle voire d’une marque car cela relèverait de la vérité, on accepte l’idée qu’à un moment ou l’autre chacun des Pros Français puisse y laisser des plumes. Et là, on retombe dans une problématique de culture. En France on est pas prêt à cela et évidemment pas que en ce qui concerne le parapente.
Mais peut-être que d’autres, toi ? vous auriez des idées à propos comment avoir des informations fiables sur ce que valent individuellement et comparativement les jouets qui nous sont proposés.
Il est évident que complimenter a toujours et sera toujours plus facile (et rentable) que critiquer. Cela avait déjà inspiré Jean de La Fontaine.
Ne voyez pas d’attaques dans mes dires, je n’exprime que mes ressentis et… déceptions.
Euh je suis actuellement sur l’essais de la Iota pour PP+
J’écris pour ce journal depuis plusieurs années. J’ai lu les essais de pas mal de mes collègues pour PP+ et je pense que c’est une accusation un peu rapide.
Ou alors il faut donner des exemples. Et comme PP+ n’a pas encore fait paraître l’essais de la Iota. Je vois mal comment on peut les accuser.
Alors là, non. Moi des idées j’en cherche. J’adorerais avoir une presse spécialisée indépendante sur le fond et dans le ton. Même si ma marque devait parfois en souffrir, à partir du moment où tout le monde serait traité à la même enseigne.
Sur les essais de bénévoles/amateurs, faut pas trop gratter non plus. Si tu commences à avoir une certaine notoriété, on te fait passer des messages aussi. Et puis tu prends soin de ne pas être trop percutant dans le ton, tu évites l’ironie, les termes trop connotés, etc. Et même sans être professionnel toi-même, tu as aussi tes préférences et tes copains qui t’influencent, et ceux qui ont un business dans le parapente, et tout un environnement où les divers intérêts ne sont pas absents…
Non, désolé, pas d’idée. Il faudrait une revue sans pub, avec une équipe de fonctionnaires et un budget annuel. Comment faire ?
A part ça, pour dédouaner un peu les essayeurs des revues, les bonnes ailes qu’ils essaient sont REELLEMENT très proches les unes des autres !
Bonsoir,
Au risque de me répéter : “…Dès lors qu’on essaye de raisonner en atmosphère “vivante” alors je suis convaincu que la meilleure homologation est celle du temps qui passe.
Achetez donc une voile qui a déjà une ou deux saisons sans histoire, si, en plus, elle a une homologation “paisible” c’est mieux.
N’hésitez pas à lire, lire, lire toutes les revues possibles, puis discutez avec d’autres pilotes, surfez sur d’autres forums…
Et n’oubliez pas qu’un bon pilote avec une voile “tranquille” ira souvent plus loin qu’un pilote qui n’est pas à la hauteur des exigences de son gun…”
Bons vols.
Merak.
Ouais, d’accord avec l’homologation du temps qui passe, mais là encore, ça a ses limites.
Si tu prends la bonne “B” (pour parler comme tout le monde) basique, presque personne dans sa clientèle ne va l’amener dans des conditions limites. Et ceux qui vont faire des supers vols avec, en très grosses conditions vont être les petits génies de la classe.
Donc au final, tu ne sais trop rien.
La dernière vidéo de fermeture d’une de ses ailes, que je viens de voir, m’a fait peur par sa violence et sa rapidité ! J’ai halluciné ! Pourtant c’est une aile sous laquelle on aurait tendance, à priori, à mettre sa petite sœur…
A contrario, tu as des ailes de cross typées petit vélo/subtil/sensible/un peu fragile/jouet réjouissant qu’on voit passer les années avec de très bons résultats sécuritaires. Simplement, c’est qu’elles sélectionnent un peu les pilotes qui sont à l’image de leur caractère et qui de ce fait ont les qualités pour les amener partout tout le temps…
Ben oui. Si un journal fait paraître un essais “néfaste” pour une marque, la marque, voir les marques, n’oseront plus donner de voiles en test à ce journal.
Et par ailleurs, les journaux vivent des annoncent que certaines marques publient.
Personnellement, j’ai déjà refusé d’écrire des articles pour certaines ailes que je n’aimais pas. Et je ne vois pas pourquoi j’aurais cité ces marques qui dans leur gamme ont souvent de très bonnes ailes.
Enfin pour parler un peu plus de PP+, vu que je ne peux pas parler des essais de PPmag. Les testeurs essayent une gamme de voiles. Moi je fais les A et B. Gaby les B, C et Biplaces, Airone et Jean-Mi les C et D, … C’est logique de comparer des ailes comparables.
La Carrera a été testée par Airone, testeur C et D.
Je me recite à propos de PP+ (tu n’est pas l’essayeur à priori) ; Et ce n’est pas de lire dans le PP+ n° 439 page 25 en intro de l’essai de l’Artik 4 ; qu’il existe bien encore sur le marché de bonne “bouses” Mais qu’ils ne nous en parleront pas. Sous pretexte que la mission d’un journal serai de nous orienter vers de vrais parapentes.
Donc il y a bien une réalité affiché de ne pas vouloir éclairer le lecteur sur ces bouses qui existe pourtant.
Si je reste dans cet article PP+ sur l’Artik, il est dit ; Pari tenu, l’A4 est la nouvelle référence… Avec cette A4 Niviuk frappe fort; Très fort.
L’A4 est une vraie 3 lignes (ce qui n’est pas vrai il me semble…)
A propos du suspentage : Moindre trainée… Rendement déchainé ! Plus de doute, le slogan Niviuk est respecté à tous les stades : “Donner de l’importance à ces petits détails qui produisent de grands résultats”
Décollage ; Très confortable et sécurisant… un pur plaisir… l’A4 fera le reste quasi sans tempo… aile compacte et stable… La transmissions des infos dans les appuis est là.
Vol ; .…glisse limpide… L’aile flotte… c’est ce que l’on attend sous une aile de compétition… Sous une C telles sensations de… sont inédites, etc, Je vous économise le paragraphe sur le vol pendant des Km dans le stabilo des Guns de la World Cup à la Réunion pour prendre des photos et qui en a surpris des “cadors”
En thermiques ; Un des points forts de cette A4… fait tout toute seule, amortie et transmet, Rendement exceptionnel… …digne des ailes de compétition… … bien calé en contrôle au-dessus des Enzo 2 et Icepeak 7 (y avait pas d’IP8 ?)
Navigation ; Une seconde révélation… comportements exemplaires… plané proprement hallucinant… quasiment le même plané que les ailes de compétition au 1er 2ème puis 3ème barreau… effet Pac-man (A se demander quel est le public visé) …un bord d’attaue qui “mange” la turbulence à haute vitesse… … … …
Finesse à… 11.
Entre 70 et 80 % d’accelerateur… … les perf restent dans la polaire des voiles de compétition du moment… Une facilité d’évolution dans les hauts régimes révolutionnaire… légère, tolérante, efficace, performante.
Jeux près du sol ; La aussi, l’énérgie dégagée par l’A4, la maniabilité, la précision sont appréciables. Premier petit bémol ;L’aile ne sera pas la + adaptée pour aller poser un stabilo… Quoique ;…préférant la glisse aux angles furibonds. Mais le potentiel de jeu reste énorme par la plage de vitesse à apprivoiser.
Puis enfin une mise en garde honnête sur le niveau d’exigence d’une telle aile à propos des 3.6 engagés ; légère neutralité spirale toujours possible…
Conclusions ; Un nouveau joyau ! Merci Niviuk pour ce pas franchi dans la catégorie… …100% plaisir …facile …pas ennuyeuse rendement inégalé… etc. …
Les plus ; Tous… ou presque.
Les moins ; Je dirais presque trop facile dans les hautes vitesses… … …Quel que soit le confort proposé par la machine, voler et gérer un éventuel incident de vol à 55 Km/h ne sera jamais anodin… Félicitations sincères quand même pour cette mise en garde qui évitera peut-être à quelqu’uns de passer trop vite sous une Artik 4 en pensant que comme ne karting (à la foire foraine) il suffirait d’appuyer à fond l’accélérateur…
Non honnêtement,t est que l’on peut vraiment lire dans cet article une critique positive et négative sérieuse de l’Artic 4. Si cela était le cas, pourquoi encore se casser la tête avec des EN- B et/ou D voire CCC. Volant tous sous Artic 4 et gardant des Alpha 5 pour la période pente-école et initiation.
Notez et je le répète, je ne mets pas en cause les qualité réelles de l’Artik, je veux bien croire qu’elle en est pétrie. J’aimerais juste aussi connaitre ses défauts mêmes s’ils sont mineurs. Ne serait ce que pour pouvoir vraiment comparer grâce à la lecture de ces essais les différentes ailes qui m’intéresseraient. Connaitre les défauts permets de mieux apprécier les qualités. Faire comme si des défauts n’existaient pas, est pour moi de la malhonnêteté intellectuelle.
Il n’y a pas d’attaque contre le testeur qui finalement donne des avis que la ligne éditorialiste de la revue corrige certainement pour faire du politiquement (commercialement) correct.
Je ne suis pas à la maison alors je ne peux pas aller relire les essais des ailes que tu as testé, Laurent. Pour être honnête elle ne font sans doute pas partie de mon panel de choix et je crois volontiers que tu es quelqu’un qui préfère ne pas donner d’avis que de donner un avis qui n’est pas le tien, c’est tout à ton honneur.
Et je partage totalement ton analyse qui est au centre du problème ;
C’est là par exemple que l’on aimerait en savoir davantage ;
Enfin oui je pense que Mérak est dans le juste ;
Mais l’envie et la raison ne font pas toujours bon ménage et aussi que cela n’arrangerait pas le marché et tous ceux qui en vivent…
Sur l’essais de l’Artik 4
Page 25 en haut à droite : curseur d’accessibilité --> Milieu de C. On peut être plus clair, mais bon je vois pas comment. Il ne faut même pas savoir lire au delà de la lettre D.
Et puis le titre en fin d’article : POUR QUI ?
“… attention, même pour la reine du créneau “grand tourisme”, nous restons sur une EN C qui requiert un niveau de pratique avancé.”
Là encore on peut-être plus clair, mais je vois pas comment !
Un article c’est pas 1 ou 2 paragraphe… C’est un article. Il faut TOUT lire !