Je ne suis heureusement pas seul et -contrairement à ce que tu sembles penser- j’ai promu le parapente sans cesse dans la vie publique pendant près de 20 ans, animant des projets importants, accueillant les élus locaux et régionaux, montant des manifestations publiques, animant expo, offices du tourisme, marchés en plein air, como de vacances, maisons de retraite, mettant en place des synergies avec le ski, le vol à voile, etc.
Mais ça, c’est à l’extérieur
Dans la communauté des pilotes, je me suis astreint à tenir un autre discours… histoire d’équilibrer la balance. Car des enthousiastes, on n’en manque heureusement pas dans le vol libre… même si le turn-over y est parfois rapide ! <Peut-être aussi parce que passé 50 ans il est plus facile de d’incarner un vieux c… grincheux : on n’est plus dans un rôle de composition >
Il faut des deux Laurent : un bon équilibre entre ces deux types de personnalité dans le parapente aide à faire avancer les choses dans la bonne direction
Même si la barre grince parfois un peu…
L’accidentologie ne justifie rien, surtout pas l’ignorance et bien sûr encore moins l’indifférence
Elle motive l’action, comme l’adversité la réaction
Si ce sondage peut sembler à certains partir en “cacahouète”, je suis personnellement très content de nos discussions avec Laurent que je respecte - tout le monde l’aura compris - autant en tant que pilote passionné qu’en tant que professionnel impliqué, ouvert et compétent
Pas de hasard d’ailleurs si nous nous sommes tous deux pris d’affection pour un même oiseau bionique !
Nous touchons bien du doigt le partage, le débat et la réflexion qui font la culture du parapente
La pensée unique, c’est la négation de la culture
Nous sommes donc bien dans le sujet et j’espère que ceux que cela intéresse prendrons le temps de lire pour construire et/ou conforter leurs propres convictions
de quand date cette citation ? – je n’ose meme pas demander de qui elle est.
j’imagine quand même que c’est 50m vertical du relief :init:
est-ce que les 50m c’est pour l’ouverture du secours ?
bref, ca me semble un peu extreme comme vision
Ça date de relativement peu d’années, de mémoire je dirais moins de 5 ans, mais le temps passe de plus en plus vite…
C’est pas un discours bien consensuel pour écrire sous de belles photos dans des magazines au papier glacé, mais ça sert à bien faire comprendre.
Lorsque tu voles en aérologie thermique, tu peux être confronté à des phénomènes très localisés et intenses qui sont parfois si brutaux et soudains que tu n’as pas pu les anticiper et qui peuvent te provoquer une frontale massive… J’ajoute qu’il ne faut pas rêver, ce n’est pas le phénomène de fermeture à lui seul qui est en cause, c’est bien la violence de certains cisaillements, même sous un deltaplane tu peux partir en tumbling.
Pour récupérer une frontale en air agité (ou une énorme asymétrique), tu es susceptible d’avoir besoin de ces 50 mètres de marge. Ou bien en effet tu sais immédiatement que tu ne vas pas être capable d’y arriver et tu jettes le secours qui est lui aussi susceptible d’avoir besoin de ces 50 mètres.
Il est clair que ce qui font le choix de ne pas avoir ces marges se mettent en danger.
Le contrepoint, une citation, toujours de mémoire, de John Pendry je crois, il y a 20 ans :
" Lorsque je vole sous le vent, j’essaie de le faire à moins de 2 mètres du relief car on se fait moins mal si on tombe de deux mètres de haut que de cinquante !"
pour etre honnete, je commence à être d’accord avec ca, mais c’est quand meme un peu honteux qu’il faille des années pour s’imprégner de l’opacité ambiante :bang:
et en gros, pour qqun qui vient voler 2 ou 3 fois par an sur un site vaguement connu, c’est juste inatteignable.
causes connues ne veut pas dire cacher la réalité. on parle toujours de l’inadéquation pilote/aile/conditions … quelqu’un a-t-il vu un quelconque début de description de ca? le pifometre a ses limites.
tu as tj des gars à qui il faut répéter de respecter les priorités, de pas poser sur le cul et de pas poser en 3-6, et qui te répondent "bah pourquoi … ? "
et causes connues ne veut pas dire ne ren faire pour y remédier.
quand tu vois encore que meme des top guns ne s’attachent pas … !
bref, faire circuler l’info ne peut être que positif pour l’activité.
effectivement en souhaitant qu’il n y ait pas besoin de la gendarmerie ou du BEA, ni meme du daubé, pour ca.
Tout à fait exact.
A mon sens, il y a inadéquation entre la réalité des pratiques d’une forte proportion des parapentiste et la communication qui leur est destinée.
En gros, comme tu le dis aussi, il faudrait multiplier par un facteur important l’effort de communication. Il faudrait y consacrer des moyens sans commune mesure avec les moyens actuels. Et sans garantie de résultats car ça n’irait pas dans le sens de ce que souhaite l’opinion publique parapentiste. Il faut énormément d’énergie pour ramer à contre-courant.
En ce qui concerne les problématiques diverses des personnes volant moins de 15 h par an (1/3 des parapentistes ?), les solutions existent. Ils gagneraient beaucoup à reconsidérer leur pratique et à ne voler qu’en école, encadrés, deux semaines par an et sans acheter leur propre matériel. Pourquoi vouloir à tout prix se déclarer autonome dans une activité extrêmement frustrante tant que l’on n’a pas atteint un niveau conséquent ?
J’en ai vu un excellent début il y a longtemps je ne sais plus où, par Nervures : l’aisance technique et psychologique pour un pilote à engager un virage franc et maîtrisé en secteur aérologique très turbulent est un bon indicateur de l’adéquation homme/machine/conditions.
Je suis à peu près certain que dans leur cas l’information n’est pas en cause mais que c’est plutôt la problématique de surcharge cognitive et émotionnelle.
En ce qui concerne les problématiques diverses des personnes volant moins de 15 h par an (1/3 des parapentistes ?), les solutions existent. Ils gagneraient beaucoup à reconsidérer leur pratique et à ne voler qu’en école, encadrés, deux semaines par an et sans acheter leur propre matériel. Pourquoi vouloir à tout prix se déclarer autonome dans une activité extrêmement frustrante tant que l’on n’a pas atteint un niveau conséquent ?
j’ai un peu de mal a entendre mettre une limite “15h de vol par an” tu n’a rien a faire en autonome sous une aile,
certes au pieds de la dent de crolles ou a samoens, si tu n’a pas tes 15 h de vol dans l’année c’est que tu est dilettante,
mais il y a d’autres coins ou réussir a faire une heure de vol a chaque sortie est une gageure,
et ces pilotes qui sortent des qu’ils le peuvent, qui font des bornes pour 20 mn 1/3 heure de vol en exploitant le moindre pet de mouche, entre le boulot la famille et la météo, qui sont content d’avoir leur 15-20h qui connaissent bien leur site leur matériel, et savent ne pas se mettre dans le rouge, leur annoncer comme ça qu’ils ne sont rien, voir tout juste bons a répéter les tours de manège téléguidés par un moniteur, a mon sens c’est soit du foutage de gueule, soit du mépris.
Effectivement, en conditions musclées, on voit qui connait bien sa voile est serre bien le noyau.
Autres exemple en conditions a priori plus laminaires sur un site proche de chez moi (Pyla) - vus à plusieurs reprises :
reculade par peur d’utiliser l’accélérateur, alors que c’est un élément fondamental pour voler en soaring sur un site venté
refus de priorité car vole sous un gun en bas de fourchette et a la trouille de se prendre un sillage
départ en vrille consécutif à une exploitation malheureuse des basses vitesses sous une voile chatouilleuse
Totale déformation de mes propos (en particulier avec les termes “ils ne sont rien”, “mépris” et “foutage de gueule”).
Mépris de ta part en ce qui concerne les prestations que sont capables de dispenser les moniteurs : “tours de manège téléguidés”. Des moniteurs impliqués peuvent amener des élèves non-autonomes à réaliser de vraiment magnifiques vols en toute tranquillité d’esprit et en tout confort durant les stages. D’ailleurs, il y a quelques écoles qui ont la clientèle pour ça ; il y a quelques personnes qui volent uniquement encadré depuis des années et ceux-là n’ont que le plaisir, pas la frustration ni le stress.
15 h par an : 60 vols d’1/4 d’heure à l’année soit environ 30 journées de 2 vols. Si il y a des personnes pour qui la pratique du parapente se résume à ne voler que sur le site à côté de chez eux en conditions calmes, très bien, si c’est ça qu’ils aiment et veulent, ils peuvent avoir leur matériel et être autonomes chez eux dans les conditions qu’ils connaissent par cœur. Ce n’est pas ces personnes qui se mettent en danger, elles ont en général une parfaite perception de leur domaine de compétence.
Bref, il y aurait tellement à dire et à développer sans s’amuser à faire monter la mayonnaise sur un terrain émotionnel qui me semble souligner combien le pratiquant est sourcilleux vis à vis de ses prérogatives…
Intéressant, d’autant plus dans ce fil intitulé “culture et vol libre”.
Effectivement, il est possible de voir l’activité comme ça. Ça ressemblerait un peu à faire une balade à cheval en échange d’un billet, en Camargue par exemple, avec des chevaux “tranquilles” qui font le trajet 1000 fois par saison. Je le dis sans mépris, ça peut être très agréable.
Outre le fait que je ne connaisse pas d’école qui propose ce genre de prestation (et j’imagine son prix conséquent), je trouve que ça ne colle pas à une certaine culture du vol libre justement. De mon point de vue, un point important et intéressant de l’activité est intérieur : on est seul à faire l’analyse, même en en discutant avec d’autres, on est seul à décider de décoller, à partir à droite ou à gauche, en transition, etc… On prend ses responsabilités et ce n’est pas une bonne idée de se mentir. Je trouverais dommage de passer à côté de cet aspect là du parapente.
Ceci dit, un passage de temps en temps en école pour remettre les fondations d’aplomb ou pour passer un pallier, me semble une bonne idée. En tout cas, c’est ce que je fais (avec un œil sur le compte en banque).
c’est la que l’on voit que même ayant une même activité, nos points de vue “cultures” sont totalement différentes.
la preuve en est que tu est tellement conditionné par ton site type qui doit faire dans les 7 a 900 m de dénivelé “il faut bien ça pour un plouf même amélioré d’1/4 d’heure”, et tu considère que tous les sites de vols sont sur ce gabarit.
j’ai le regret de te dire que pré des 3/4 de la France se trouve a une altitude inférieure a 600 m et que des sites de plus de 400m de dénivelés font plus figue d’exception que de norme, et a 400 m de dénivelé on tombe déjà a moins de 5 mn pour les ploufs ce qui pour un pilote qui ne chercherais pas forcément a optimiser son vol passerais a 90 j de vol en suivant ton raisonnement, ce qui a tendance a limiter fortement le temps disponible.
chez moi les sites ne dépassent pas 150 m de dénivelé, en gros un plouf fait 1 a 2 minutes voir moins d’une minute si tu a le malheur de partir dans la dégueulante, donc si on reste a ton calcul de 2 vol jours on en est sur une base de 450 a 900 jours de vol par an et la on frise le professionnalisme.
ensuite le gars qui fait 15 minutes chez toi en conditions calmes n’apprend rien ou pas grand chose,
mais chez moi celui qui fait 10 minutes c’est celui qui a su décoller au bon moment du cycle, qui a su l’exploiter, remonter au dessus de la crête avant la fin du cycle, qui a réussi a rester en l’air “souvent les pieds dans les branches” en attendant le cycle suivant, c’est celui qui s’est battu a gratter tout ce qu’il a pu, et qui souvent arrête de se battre juste le temps de sortir les jambes a atterrissage, et qui est content au sol d’avoir réussi a multiplier par 10 ou 15 la durée potentielle minimale que pouvait assurer le site.
alors dit moi entre ces 2 pilotes, lequel est le plus autonome?
certes tu pourrait arguer que des pilotes périgourdins on en a pas des masse en compète ni en cfd, mais dit toi bien qu’un des sites dont je parle a été mis en lumière au printemps, et des bornards tels que sylvain gattini, eddy dampierre, setphen guchki, et quelque autre sont venu y faire plus de 150 bornes, mais ils ont aussi fait des tas de moins de 5 minutes sur ce site et pourtant ce ne sont pas des manches sous des enclumes.
quant a ta théorie qui veut qu’a moins de 15 h de vol annuel tu doive te contraindre au vol en école,
premièrement, si tu est sur une région ou le dénivelé des sites, leurs éloignement, ton temps disponible, et les créneaux météo sont limitants, passer plus de temps en école, si tant est que tu puisse te le permettre financièrement on en temps, ne te permettra pas de passer plus de temps en l’air.
deuxièmement, si tu va en école pour être intégré a un groupe en apprentissage, un groupe comme un troupeau cale normalement son allure sur le plus lent de groupe, donc malgré la meilleur volonté possible du moniteur un pilote un peu dégourdi va végéter.
troisièmement, si tu rejoint un groupe pour un voyage de vol a l’étranger “orienté cross” déjà pas sur que tu soit accepté si tu n’a pas ton matériel, de plus si tu ne pratique pas par ailleurs faute de matériel, pour le coup c’est toi le plus lent du troupeau, et pour le coup tu a de forts risques de te mettre en danger.
c’est pour toutes ces raisons qu’un jugement a l’emporte pièce venant d’un pilote qui a une montagne dans son jardin et stipulant qu’a moins de 15 h de vol annuel tu doit être encadré en école me fait bondir.
si malgré tout tu veut me convaincre que même un manche peut faire 15 mn de vol sur mes sites périgourdins en conditions calmes sur un plouf, il n’y a pas de problèmes
ps: quand je parle d’un pilote qui ne se met pas dans le rouge, je n’entend pas par la qu’il vole en conditions calmes, mais juste qu’il en garde sous le pied.
pour info il m’est arriver de voler avec des rafales a 30-35 km/h en étant parfaitement serein sous mon aile, en la maitrisant et en sachant que j’en avais encore sous le pied,
et pourtant il ne m’est pas toujours facile de passer les 20 heures de vols sur une année.
Je ne sais pas dans quoi tu es en train de partir en me prêtant des considérations qui ne sont pas les miennes…
Je ne vais pas chercher à répondre stérilement point par point. Je veux par contre dire que j’ai d’innombrables ploufs et heures de vol sur un site de 70 m de dénivelé. Avec en conditions nulles souvent 5 vols par jour. Autant d’heures et de ploufs sur un site de 120 m de dénivelé. En conditions nulles 3 vols par jour (la rotation est plus longue). Des centaines de ploufs sur une pente-école de 30 m de dénivelé au vent toujours de travers (c’est formateur). Ma distance la plus facilement réalisée, ça a été dans le Gers. Etc, etc.
Ne m’attribue pas cette méconnaissance de l’activité.
Pour peut-être apporter une autre perspective, dans la vie d’une école de parapente il arrive assez souvent (ou très souvent en fonction de son volume) d’avoir des clients fidèles qui reviennent année après année. Certains en effet ne volent qu’en école, un à deux stages par an ; ce n’est pas une vue de l’esprit, ça existe. Et certains atteignent rapidement un excellent niveau technique.
Pour un client que tu connais bien en tant que moniteur, que tu as formé, avec qui le relationnel est agréable, il n’y a aucun problème pour lui faire faire des vols que les 2/3 des pilotes autonomes ne réalisent pas à cet endroit là le jour dit.
Il y a plein de vallées qui se prêtent à faire du “grand tour”, du “bocal élargi” de l’ordre de 30 km en triangle. Typiquement à Val Louron pour prendre un exemple que tu connais certainement, ce sont des clients que l’école prend sur des stages perfs ou thermique et pendant que les autres stagiaires font des “tours de manège” il y a toujours un moniteur pour garder le client en visuel (au besoin à la jumelle) et lui faire faire ses 3 h de tour de vallée.
Ce sont des gens à qui il suffit de donner des consignes du genre “Là tu es bien placé, tu peux transiter direct sur les Myrtilles”, ou “Les plafonds sont bien montés, tu peux te laisser reculer sur les reliefs” et “On va basculer de l’autre côté, il faut que tu grattes vraiment le maximum pour partir au plus haut”… Ils sont pris en charge, ils sont amenés sur le bon site au bon moment, ils sont libérés de toute logistique et ils tirent le meilleur parti de la météo de la semaine tout en payant le prix d’un stage perf ou thermique.
Je trouve que le ratio plaisir/sérénité/efficacité vaut le coup et si on voulait bien laisser tomber la religion de l’autonomie (je ne le suis pas en toutes circonstances), c’est une forme de pratique qui devrait se développer fortement.
tu a ton point de vue et j’ai le mien,
j’ai trop souvent entendu des remarques a l’emporte pièce de la part de pilotes pour qui tout est facile et surtout l’accès au sites, qui ne regardent pas plus loin que leur site et le sacro saint temps de vol, et parfois même sur le forum http://www.parapentiste.info/forum/techniques-de-base-du-pilotage/quest-ce-quun-vol-t19596.0.html
et ça me hérisse au plus haut point, non seulement du fait que cela puisse être écrit
mais aussi que cela puisse être lu par tout le monde, et donc interprété par certains comme une valeur universelle.
mais je répète ce que j’ai toujours dit
oui il faut un niveau de pratique minimum
mais non il ne faut pas mettre un curseur que ce soit en heure, en nombre de vol, en km ou en pet de chouette
l’autonomie n’est pas un sésame,
il n’y a pas de différence de valeur entre celle acquise en école et celle sur des sites sans accompagnement,
il n’y a pas une mais plusieurs autonomies, entre autres celle de décision, celle de pilotage, celle de gestion, mais aussi celles liée a la capacité d’aller sur d’autres sites, a "affronter d’autres conditions météo, et surtout celle de renoncer.
ce qui me gène c’est que des “pilotes” vont se dire j’ai mes 15 h de ploufs donc je suis bon et je peut aller partout et dans n’importe qu’elle conditions
certes l’effet inverse est moins gênant, mais je ne suis pas sûr qu’il soit bon pour un pilote de dévaloriser son expérience.
certes sur certains sujets je suis parfois épidermique et sur celui la surement un peu trop, mais on ne se refait pas
dans le parapente qu’ont soit en autonomie ou pas il y aura toujours 2 dangers : le pilote et le sol.
et malheureusement le premiers oubli parfois le second, l’inverse jamais.
Les seules choses qui comptent c’est de savoir si on est ou non dans sa zone de confort, cela concerne aussi les + expérimentés d’entre nous.
Si l’accident du débutant sera généralement liée à une grosse faute d’évaluation, le pilote expérimenté sera victime de son ego, de la routine donc d’un manque de vigilance, ou d’un désir d’aller +loin, + fort.
Bien entendu, on pourrait réduire nos accidents avec un respect de toutes les consignes (attention certains peuvent être foireuses), mais nous devons déjà en respecter au travail, sur la route,… la vie deviendrait certainement bien moins agréable.
pour le nombre de vol par an c’est quand meme plus compliqué !!!
il arrive que certain pilote ayant énormément de vol et très bon pilote , passe une année en volant peu pour plein de raison (changement de taf, arrivé de nouveau événement dans la famille, pas dispo les jour ou ça vol …) ben ces pilotes même avec leur peu de vol peuvent être en total secu malgrés le faible nb d’heure dans l’année !!!
bref pas facile a mettre des barrière sur le nb d’heure de vol !!!