En tout 1er je te souhaite gain de cause auprès d’Ozone pour ton souci de SAV. J’ai aussi du mal à imaginer qu’ils puissent vouloir se retrancher derrière la durée de péremption de la garantie contractuelle. Ce serait extrêmement petit de leur part et certainement hors la Loi si on considère que ton souci relève bien plus de la garantie légale et du vice caché rendant impropre à l’usage et pour lequel les règles sont différentes (consulte un Code Civil à propos)
Ce qui est déjà dommage, je trouve. C’est la réaction d’Alixa qui se sent obligé de tout de suite te signaler la péremption de la garantie sans même être capable de définir l’origine du problème (cf ; puisqu’ils en sont à demander l’expertise à l’équipe technique & développement d’Ozone.
Autant Ozone en tant que constructeur inspire serieux et compétences, autant Alixa me semble d’un mercantilisme exacerbé et déplaisant. J’avais par le passé (2011 ?) formulé une demande de SAV à Alixa pour récupérer un plan de suspentage côté de mon biplace que j’avais égaré et ; Plutôt que de me répondre ils (je mets au pluriel ne sachant qui…) avaient préféré rabrouer mon dealeur à qui je n’avais rien demandé, pourquoi lui ne s’occupait pas de mon cas plutôt que de me laisser les enquiquiner “eux”.
Bref, ce jour là Ozone a perdu durablement un client grâce à Alixa.
Sur l’aspect du SAV, nombreux sont ceux qui pourraient prendre exemple sur Advance et plus encore Supair. Autant pour leur disponibilité à repondre qu’à chercher des solutions acceptables.
On va voir si Ozone rattrape le côté petit joueur d’Alixa. Merci pour ton retour et témoignage interressant.
Edit ; merci pour le rappel sur les nouvelles règles de garantie contractuelle (je pense). De memoire la garantie légale n’est pas directement lié à une durée depuis la date d’achat mais plus à des délais depuis le constat d’un vice caché qui rendrait impropre à l’usage prévue. Dans tous les cas il faut croire qu’Alixa en tant que professionnel du commerce ne sait pas ou ne veut pas savoir ce que lui impose la Loi et à minima la politesse et le respect dû au client (CQFD ; d’abord prendre la mesure du problème avant d’opposer un refus préventif… infondé de surcroit)



