Oui, l’écrit est toujours très difficile à interpréter et en plus facilite les départs en vrille. Ceux qui utilisent beaucoup les mails au boulot en savent quelque chose.
D’une part on s’autorise des choses derrière son clavier qu’on ne s’autoriserait pas en face-à-face.
D’autre part on arrive rarement à savoir quelle est l’humeur et quel est le ton de celui qui écrit, pas plus que si le mode est léger ou sérieux.
1er Championnat de France de précision d'atterrissage
Quel compétiteur de PA va accepter de faire régulièrement 500km pour participer à une épreuve et faire 5 ploufs dans la journée en dehors des mois d’hiver?
Est-ce bien écolo?
Après les ploufs tu peux voler non ? Ou avant si la compétition est en fin de journée ?
Ça c’est de l’argument totalement imparable !
Bon, tu nous avais habitués à mieux tout de même…
La question n’est pas si anodine que cela car cela fait + de 10 ans qu’on se la pose pour les compétitions.
Donc c’était sérieux 
Le parapente est une activité “de luxe” polluante.
Les matériaux utilisés proviennent presque exclusivement de la chimie du pétrole. Pour la plupart des marques, ils font le tour de la planète avant de composer le produit final.
Presque tous les pilotes utilisent des moyens mécaniques pour se rendre sur leurs lieux de pratique.
Une forte proportion des pilotes réguliers se propulse à grand renfort d’avions vers les destinations internationales du tourisme parapentesque, tout au long de l’année.
Les compétiteurs nationaux sillonnent leur territoire en voiture pour courir leurs épreuves et les compétiteurs internationaux se déplacent dans le monde entier en avion.
Avec le peu d’enneigement et les remontées mécaniques existantes (donc écolo), c’est en ce moment qu’il faut faire des championnats. En plus, ça ploufe donc les pilotes ne seraient pas frustrés et tous les skieurs qui attendent les flocons (les vrais pas ceux des canons à neige) de potentiels spectateurs et futurs adeptes du parapente
que demander de mieux ? :sors:
Sinon oui le parapente n’est pas le plus écolo des activités mais il y a bien pire, comme le ski…
Quel compétiteur de PA va accepter de faire régulièrement 500km pour participer à une épreuve et faire 5 ploufs dans la journée en dehors des mois d’hiver?
Est-ce bien écolo?
Ca ne me semble pas un argument qui tienne la route. C’est pas pire que de faire 1000 bornes pour se faire cuire les yeux sur une plage bondée …
Ce qui te fais participer à une activité (compétition ou autre), c’est l’envie, l’occasion, la passion et la motivation. Personne ne te forces à le faire. Bon, maintenant si tu es “professionnel” tu as des obligations.
Pour chacun il y a des activités sportives qui paraissent sans interêt et c’est évident. Néanmoins si des personnes se démènent pour concevoir, organiser, prendre la responsabilité d’une activité, laissez les au moins aller jusqu’au bout de leurs démarches.
Je connais des compétiteurs qui sillonnent la France entière pour leur passion et ça ne dure que peu d’instants…moins qu’un vol en parapente c’est dire… mais tant que ça existera, ça voudra dire qu’on est vivants 
Donc c’était sérieux
Le parapente est une activité “de luxe” polluante.
Les matériaux utilisés proviennent presque exclusivement de la chimie du pétrole. Pour la plupart des marques, ils font le tour de la planète avant de composer le produit final.
Presque tous les pilotes utilisent des moyens mécaniques pour se rendre sur leurs lieux de pratique.
Une forte proportion des pilotes réguliers se propulse à grand renfort d’avions vers les destinations internationales du tourisme parapentesque, tout au long de l’année.
Les compétiteurs nationaux sillonnent leur territoire en voiture pour courir leurs épreuves et les compétiteurs internationaux se déplacent dans le monde entier en avion.
Allons Vincent, tu nous avais aussi habitués à mieux. Beaucoup font l’erreur, l’activité humaine pollue et polluera toujours. Nos actions ne peuvent qu’en réduire le volume. Et même si elles sont déjà très polluantes, on peut jeter un oeil pour voir si cela peut être fait à moindre coût.
Je connais des compétiteurs qui sillonnent la France entière pour leur passion et ça ne dure que peu d’instants…moins qu’un vol en parapente c’est dire… mais tant que ça existera, ça voudra dire qu’on est vivants
Et oui, certains ne vivent que pour la competition … mais sans ego bien sur !!
Il y a plusieurs manières d’aborder la compétition. Les meilleurs le font pour gagner, les autres pour le fun et participer à l’ambiance. Je ne vois pas ce que fait l’ego là-dedans ElpontasMP
http://www.youtube.com/watch?v=kOx4yKPCTJM
Voilà la vidéo du vainqueur. C’est vraiment sympa, ces pilotes qui pompent à 10m/sol sous la pluie en voile école. Très varié aussi, je comprends que ça excite le public au point d’en faire une épreuve des JO.
http://www.youtube.com/watch?v=kOx4yKPCTJM
Voilà la vidéo du vainqueur. C’est vraiment sympa, ces pilotes qui pompent à 10m/sol sous la pluie en voile école. Très varié aussi, je comprends que ça excite le public au point d’en faire une épreuve des JO.
Effectivement, ça ne vend pas du rêve :grat: Et d’un point de vue “voler mieux”, comment dire, ça me semble le parfait contre exemple…
je ne suis pas sur que les manches de championnats du monde de distance soient un meilleur exemple de “voler mieux” (pilotes qui enroulent dans la fumee d’un feu, 3pilotes pris au piege d’un cumulonimbus, secours assez frequents…). La X-Alps n’est pas non plus exemptes de reproches question securite
il faudrait comparer les stats d’accidentologie, je ne suis pas sur qu’elle soient en defaveur de la precision d’atterissage.
Apres, il en faut pour tous les gouts, en Asie notamment ca plait beaucoup.
C’est plus facile pour les spectateurs néophytes à suivre que des épreuves de distance. On le voit tous les jours sur les atterros ou déco / atterros.
ça me laisse dubitatif surtout quand je vois les trois spectateurs au bord de la route mais il est vrai que je ne suis pas pour la compète en parapente (sauf pour les très bons pilotes) même si j’ai un esprit plutôt compétiteurs ! Au niveau du club des pitroux nous allons mettre en place une cible à l’atterrissage pour améliorer notre précision mais sans plus d’objectif en s’interdisant les basses vitesses.Pour le pumping avec le risque gradient ou déclenchement de thermique ça devrait être interdit car le jour ou l’aile va décrocher il y aura quelques bobos.
Quelle pratique réductrice !!! je pensais pas que c’était si inintéressant !!! même vu de l’estérieur, je ne voispas où est spectacle : on des bâches qui arrivent doucement un pré. Heureusement certains font le show (le Dom de la vidéo).
Il apparait que cela attire les foules ailleurs, alors comme le McDonald certains ont trouvé justifié de faire la même chose.
…Au niveau du club des pitroux nous allons mettre en place une cible à l’atterrissage pour améliorer notre précision mais sans plus d’objectif en s’interdisant les basses vitesses…
Bonjour,
si je peux me permettre une suggestion: installez plutôt une signalétique (moquette etc…)d’une dizaine (ou +) de mètres de long et un ou deux mètres de large. Cela permet la concentration sur une cible sans problème de longueur. Prendre cette habitude permet de choisir des “vaches” en cross avec beaucoup plus de sérénité.