Pour en revenir au sujet, je pense que la configuration de l’aérologie qui me pose le plus souvent des problèmes est la suivante:
- ça tient en grattant au relief.
- rares bulles plus puissantes, mais brèves; cycliques.
- ça dègueule hors du relief dès qu’on sort du thermique.
- accessoirement, il y a plein de monde au même niveau et les priorités sont peu respectées.
Dans ce cas, mon réglage de vario, adapté aux thermiques plus faibles mais continus me perturbe par son retard au déclenchement ainsi que par le son qui s’affole trop facilement. Je finis par être à contre-temps et j’ai l’impression de tout rater.
Le remède est de couper le son du vario et de ne se fier qu’aux sensations dans les mains et les fesses. L’accroche de la bulle et le cadencement du virage deviennent instinctifs. Je me retrouve souvent plus incliné et avec un virage plus rapide que d’habitude, limite 360°. Il y a deux avantages: ça monte bien et ça fout la trouille aux habituels grilleurs de priorités.
mais àhma faut remettre le son du vario dès que tu distingue plus les feuilles pour se défendre contre l’effet de fausse ascendance

mais les poteaux ils devaient m’avoir coupé mon kit anti-gravité pour me faire une farce, parce qu’ils étaient toujours quelques dizaines voire deux ou trois centaines de mètres plus haut que moi
Enfin, tout le temps sauf au début car on est tous partis ensemble. Je suis donc curieux du pourquoi, vu qu’on était toujours au même endroit. Et ça m’intéresserait d’en savoir un peu plus sur

Surtout si c’est petit et pas régulier.