Ton exagération était inapproprié dans le sens; que si tu veux tester le comportement d’un système au limite (comme on le fait pour les études de fonctions), tu dois le faire avec les variables du système.
L’anti-G est une réponse à la demande d’avoir un moyen de descente rapide sur les ailes de compétition.
Le parachute de secours, augmente aussi notre prise de risque, mais permet de sortir à moindre frais d’une situation irréversible.
L’anti-G ne joue pas ce rôle, cela peut être vu à titre individuel comme un confort au pilotage: un moyen de descente.
En compétition, si la météo est incertaine au niveau des développements, l’anti-G n’apporte pas une solution et comme on le voit ici certains DE risque de penser à tort que les pilotes sont + en sécurité grâce à ce moyen alors que la descente verticale n’est surtout pas une bonne solution.
Pour le cas des gros noirs, cela risque même d’encourager les pilotes à voler + près de la base avec le risque d’entrer dans l’influence l’accélération du taux de montée brutal liée à la libération de la chaleur latente dans le gros noir.
La clé de la sécurité c’est la notion de risque acceptable, c’est ce qui guide nos choix, et c’est vrai en sécurité routière comme dans le milieu sportif : on fonctionne plus ou moins à niveau constant ou perçu constant.
Si la voiture apparait sûre, on va rouler + vite, il en est de même en vélo, on descendra à toute vitesse un col bien connu avec un beau revêtement… si on maîtrise une figure accro, on la passera + près du sol…
Si un pilote a une voile pointue, du moins qu’il perçoit comme telle, il va réduire intuitivement les conditions de vol ou limiter ses options à des zones de vol + acceptables, il évitera les combes réputées malsaines,…