:affraid: plus de batterie. Mon message est à recommencer :fume:
Mon post sur le transport a été mal formulé.
La question est de savoir si un biplaceur peut faire payer son petit tour à sa belle-mère bourrée de pognon? Donc il vole en loisir, n’en fait pas son gagne-pain, n’intervient pas en installant sa p’tite chaise à côté d’une école pour casser les prix quand le client vient se renseigner… :ange:
1\ les textes applicables par Jeunesse et Sport mentionnent “enseignement, animation, encadrement”. Ils parlent de structures et établissements. Pour moi c’est clair ces textes s’appliquent à tous les professionnels (au sens d’activité professionnelle) mais aussi aux centres de loisirs, clubs de vacances ou activité exercée dans le cadre scolaire ou extra scolaire.
Notre petit gars qui prend son pied tout seul y échappe. 
Mon questionnement m’a conduit à aller voir du côté du droit du transport …donc:
2\ le droit du transport s’applique au transport terrestre, maritime. Quant au transport aérien, le code de l’aviation civile mentionne le transport de plusieurs passagers à la fois…avec obligations à la clef. J’ai lu (bon rapidement quand même - bien que ce soit relatif - j’y ai pas passé des jours entiers)
Là encore vide juridique.
Notre petit gars y échappe 
@ Gilles. Depuis quand il faut être professionnel pour être rémunéré ?
Quand le quidam participe aux ventes aux déballages (=brocantes) 2 fois par an, il s’inscrit sur le registre (son nom ou celui du pote qui a réserve l’emplacement). Il n’a même pas à déclarer ce qu’il gagne. Ce fameux registre existe parce qu’en principe il ne peut participer qu’à 2 ventes par an …
Quant à différencier frais et autre rémunération, on est dans l’appréciation purement subjective et appréciable à mon avis au cas par cas.
@Laurent. Un pilote de voiture de course pratique bien un sport non?
Pour moi le parapente reste une activité sportive. Il demeure que ceux qui exercent une activité professionnelle directement liée au parapente interviennent dans un cadre juridique et sont soumis à des obligations.
Pour les autres dont notre petit gars qui veut juste compléter ses économies pour se payer une nouvelle voile, il y a un vide juridique.
Les pros peuvent penser que ce p’tit gars leur fait de la concurrence déloyale mais le standard de preuves exigé n’irait pas à mon avis dans leur sens (avec les restrictions citées plus haut: occasionnel et sans manoeuvres visant à casser les vrais pros.
Je m’enflamme pour pas grand chose?
Je vole depuis peu mais j’entends des informations et affirmations absolument erronées ou sans aucun fondement à tout va, sur ce fil et d’autres.
Nous pratiquons le vol libre que diable! (Pardon pour le blasphème !) Arrêtons d’affirmer que nous avons des contraintes quand elles n’existent pas! Un texte m’a peut être échappée, pas de souci. S’il existe, je m’y soumettrai. Je ne supporte pas cependant que l’on véhicule n’importe quoi et que la rumeur finisse par devenir parole d’évangile (aïe encore). La France souffre de lenteur administrative. Une pléthore de textes dont certains vieux de plusieurs siècles n’ont toujours pas été abrogés et vous vous soumettez d’emblée à des textes qui ne s’appliquent pas? Pour des pratiquants de vol libre, avouez que c’est cocasse!
Bon j’attends toujours des précisions pour le parachutisme. C’est une piste.