mais c’est sur que si la fédé se décidait (enfin) à communiquer clairement, on éviterait ces approximations (pas seulement journalistiques) douteuses …
et il tombera jusque là ou on le laissera tomber.
si je ne m’intéresse pas au contenu de la caisse du chat, ça va commencer à sentir la merde.
je pense qu’on a le service publique qu’on mérite.
A mon sens impossible. Lors du gros posé de 2012 en août, le 19 ça pouvait, par analogie avec la cotation montagne, être côté PD, alors que le lendemain c’était possiblement côté ED…
Par exemple, si le mt blanc est coté extermement difficile
ca deviendra plus facile de renoncer … et change l’état d’esprit avant le vol
parce que renoncer alors qu’en 2012 des débutants l’ont fait, le mt blanc est devenu facile (à mes yeux aussi)
Je n’irai pas jusqu’à dire que cette cotation est impossible, mais qu’elle existe dans d’autre sports similaires et qu’elle a le mérite de faire réfléchir avant de s’engager (combien sont partis cette année sans matériel de haute montagne? est-ce bien raisonnable ?)
meme en alpi cette cotation peut ne pas avoir de sens, par ex. le mt blanc pd un orage deviendra nettement moins peu difficile
Quand on lit que certains pilotes espèrent encore mettre des cotations aux conditions de vol, on comprend que la culture aérologique n’a pas suivi la progression technique. :bang:
Grâce aux voiles et aux moyens d’information les pilotes réalisent bien plus facilement des vols plus longs, plus techniques. Il n’est que voir les déclarations CFD du 26 avril, plus de 300 vols déclarés, près de 100 vols de 100 bornes et plus.
Prudence, prudence, gardons des marges de sécurité. Il m’est pénible de dire ‘j’avais bien raison’ mais pourtant.
il y a déjà eu un fil consacré à la quotation des sites
quel serait la valeur d’une note ou d’un drapeau rouge le jour où “on” se rend compte que malgré un drapeau noir, des débutants peuvent se poser au sommet du mont blanc.
Hormis la pub pour Sky, ce que j’en retiens c’est ça : “Vous dire que l’argent pervertit notre petit sport, que les gloires sont aussi éphémères que relatives, que l’impression d’être incompris ou rejeté me pèse, que des tas de choses ne fonctionnent pas, tout cela ne mène pas bien loin. A part le silence, je ne sais pas par quel bout prendre la question.”
Je pense que ça fait ça à tous ceux qui restent impliqués plus de 15 ans dans l’activité. Et on en arrive en effet à penser que la seule chose à faire c’est de se taire et de regarder les pilotes tomber.
J’ai encore du mal à me taire.
Sinon, vos histoires de silhouettes noires, ça me rappelle que, à fréquentation égale, il me semble que certains sites font nettement mieux que d’autres en termes d’accidentologie.
Petit retour aux sources avec ce que prônait Laurent de Kalbermaten pour un avenir serein de la pratique : le concept de stade de l’air. A méditer.
Il faudrait peut-être se pencher sur ces endroits où l’accidentologie est faible et analyser finement quels sont leurs points forts en la matière.
La il va falloir faire de la dissuasion en explicitant les risques… mais pas sur que ça marche bien étant donné l’'égo" des pilotes
J’ai entendu dire que des BE ont emmené des élèves aux MB en 2012, honnetement, était ce une bonne idée ???
Des vols au MB il y en aura tous les ans je pense de part l’amélioration des perf des ailes par exemple… donc au moins une occasion dans la vie d’un parapentiste (et avoir une progression tempérée EN-A, B puis C et D pour les plus motivés)
Certaines régions du globe, notamment la France ont bien été quadrillées par des parapentistes, maintenant on est plus dans la reproduction d’itinéraires de vols et c’est la ou une cotation peut faire sens
ben non … enfin pas à mon avis car tel itinéraire est très faisable parce qu’il y avait (exceptionnellement ou non) telle condition.
je ne vois pas comment on peut faire une cotation
A vrai dire moi non plus, mais c’est surement pas impossible ROTFL
pour chaque vol, il doit y avoir un minimum syndical, mais je verrai plutot la cotation comme la somme des difficultés, la possibilité de faire marche arrière et poser en lieu sur, le nombre de transitions et leur longeur, le passage de cols, …