Entièrement d’accord avec Gilles. On pourrait même trouver un terme nouveau et accessible pour tout ce qui vole à ski en mini voile. Ou alors on pratique la mini voile à pied ou à ski. Ce qui enlève de nombreuses cases.
Si le speedriding est le fait d’évoluer à ski, en hors piste toute neige, avec une aile qui ne vole pas mais qui sustente seulement , dans une pente raide et le tout à grande vitesse. Je pense alors que cette discipline élitiste est pratiquée avec un minimum de marge de sécurité par de très bons skieurs et excellents pilotes de vol libre ou de parachute. Le problème aujourd’hui est que l’on en fait la promotion comme une activité ouverte à tous avec ses écoles, sa licence fédérale et son marché.
SI le problème des mini voiles à ski est le fait qu’elles volent trop, il suffit d’adapter le terrain en recherchant une inclinaison moindre. Évoluer en hors piste dans des pentes de 10 à 20° à des vitesses de 30 à 60 km/h (prendre en compte les brises descendantes les reliefs enneigés), me semblent plus accessibles au plus grand nombre tout en apportant une grande technicité. Et ça va encore bien assez vite…
Alors on simplifie le terme de speedriding aux mini voiles à ski et de speed flying aux mini voiles à pied. Bien que ces termes connoteront toujours une forme de performance de part le “speed”
Wingski, skiwing, skivole, … Seraient plus adaptés à une activité pour tous.
Mouep. Je persiste à ne pas voir ce que le speed riding a de si élitiste.
Pour moi le speed c’est : une pratique à ski sous voile qui va d’une 14m² à une 8m² possédant une finesse limitée, une bonne capacité de ressource. Si on vole un peu plus sous une 14 que sous une 8, ça reste quand même du speedriding = fréquents contacts neige.
La pente raide n’est pas un critère à mes yeux. La vitesse, au final, non plus. Quoi qu’on en dise, une grosse voile de speedriding, genre nano 14, ça vole pas si vite. Je doute d’ailleurs que ça vole bien plus vite qu’une spiru 14 (il me semble qu’on a fait un test avec les ASKA, et qu’on arrivait à faire suivre la 12m² de speed par la One Seven, l’une complètement cabreuse et sur les freins et l’autre full trim…).
L’avantage du speed, c’est que d’une ça t’apprend à skier plus facilement vu que t’es délesté, de deux ça pardonne vachement les erreurs (commandes longues et chewing-gum). Ca permet d’aborder des vitesses de plus en plus élevées en descendant facilement dans les tailles de voile et sans se mettre spécialement en danger, et d’aller en sécurité dans des faces où, à niveau de ski égal, on mettrait pas les pieds.
Le problème de la mini-voile, ou voile de speedfly en SR, c’est sa finesse, mais surtout, c’est pas le même pilotage et pas les mêmes risques. Entre autres, c’est carrément moins résistant en turbulence. C’est pas monté aussi lourd donc bonjour les dégâts sur le matos. Je fais du speed et du parapente, mais je ne sais pas si j’irais me lancer dans le vol et ski, c’est pas du tout la même activité.
A force de répéter à quel point c’est chaud, franchement, ça risque juste de dégoûter les gens de la discipline. J’en ai un peu marre d’entendre les gens dire “tu pratiques un sport de malade !” “vous volez à mach 12 à ras les barres rocheuses”, alors qu’on peut avoir une pratique cool et safe du speed, sous des voiles adaptées, c’est à dire à faible finesse, avec un gonflage immédiat et une bonne ressource, et sur des pentes cette fois adaptées au niveau du pilote. Genre en débutant, le spot de speed de l’Alpe du Grand Serre, ou Valfréjus, et après, des trucs plus rigolos équipés de couloirs/barres/poudreuse profonde ROTFL .
C’est un sport qui permet d’aborder le vol libre avec une extrême facilité -pour moi, c’est le sport aérien le plus facile d’accès, pourquoi y rajouter du danger et de la technicité en incitant les gens à utiliser des voiles bien trop perf pour l’activité ?
Là, on est en plein hors-sujet, mais, Berti, juste pour savoir, est-ce que tu pratiques le speed sous des voiles de speed-riding ?Ou est-ce que tu t’es limité à utiliser les mini-voiles à cet effet ?Ne le prends pas mal, mais je ne comprends pas du tout ta position sur la question vu le nombre de débutants non volants, non chuteux et souvent pas excellents skieurs qui sortent des écoles chaque année…
Il ne faut JAMAIS croire. Il faut s’informer pour se faire une opinion.
Tu aurais dû voir le 16 août 2009 la tête de Corinne se posant avec la Spiruline 18 après avoir décollé au Cruet, puis la mienne l’après-midi après m’être posée à Doussard. Malgré tout ce qu’Eric Aubert nous avait dit, nous avions toutes les deux détesté cette voile.
[quote]Je décolle avec la Spiruline, je me fais dégueuler par le premier thermique, je sens que je vais avoir du mal à atteindre le terrain si cette foutue voile ne monte pas et je n’insiste pas, ce sera un plouf. Un plouf à la Forclaz, c’est 12 minutes. Avec la Spiruline j’ai mis 6 minutes, avec un nœud dans les tripes parce que poser aux vaches à cette vitesse ne me disait rien. J’ai atteint le terrain et posé correctement. Un vol de m… avec une voile de m…
[/quote]
Après une rapide enquête, nos impressions étant par trop contraires à toutes les autres, nous avons constaté que la voile était complètement détrimée, ce qui explique la sensation de vitesse et le taux de chute énorme. Ce n’était pas la voile qui était mauvaise, mais les pilotes.
J’ai vu depuis voler pas mal de gens sous cette voile, toujours pour des ploufs ludiques ou du vol rando. Il m’est apparu évidemment très vite que mes impressions premières étaient fausses parce que j’avais tout faux : la Spiruline est une mini-voile, elle se pilote comme un parapente mais ce n’est pas un parapente, elle n’est pas faite pour le vol thermique.
Du coup il faudra un de ces jours que je fasse un vol rando avec une Spiruline 18, mais j’ai déjà une Awak 18, qui est un vrai parapente, tout à fait adapté au vol-rando et capable d’enrouler les thermiques. J’ai aussi envie d’essayer la Mario, avec laquelle j’ai vu un tout bon faire très fort dans l’AirTour en juin dernier…
Le speed-riding (je déteste le franglais alors je dis paraski) me fiche une trouille pas possible. Je skie depuis 1962 et je passe partout, dans toutes les neiges, tous les terrains et toutes les pentes (pas plus de 45°), mais la vitesse sous une mini-voile je laisse ça aux jeunes. J’aurais adoré à 30 ans et même encore à 50 ans.
Corinne m’a fait essayer cet été sa Whistler 13 sur la pente-école de Lathuile. Je n’avais jamais couru aussi vite dans une pente sans me casser la gueule mais cela n’allait pas assez vite pour décoller… heureusement, parce qu’atterrir aurait été un peu craignos. Quand je vois des gars courir comme des calus sous 9m² et se jeter dans le trou, cela me stresse.
Le paraski n’est pas de mon âge. Je suis fêlée, tout le monde le sait, mais pas à ce point.
Evidemment la spiru n’est pas destinée en premier lieu au vol thermique, ça m’empêche pas d’avoir sorti les dents (de Lanfon) avec ma 18 cet automne.
C’est sûr que décoller détrimé à fond (sans vent ?) ça doit faire drôle si on est pas prévenu…
AHHHHH un bon discours qui fait du bien aux oreilles … Ou aux yeux je sait pas
J’ai fait mes premiers runs en speed sur grande pente dégagée avec personne dessus neige stable et nano 12.5 et poids leger : pas extrême du tout
Parfaitement débutant dans l’activitée , j’ai pu savourer la vitesse … et le vol parce que j’ai pas beaucoup skié pendant la descente ^^
à l’attéro tout simple travers pente avec les skis la vitesse fait beaucoup moins peur
Après on joue un peu sur les virage et trim pour faire des virages dans la peuf Dur dur cette image du speed d’un truc totalement extrême ou l’on va forcément raser les cailloux en 8 à mac 12
étiquette dur à décoller , mais y’a des supers écoles qui sont la pour ça personnellement j’hate que la saison commence !!
Le speedriding et la mini voile à ski sont d’excellents moyens de découvrir ou de pratiquer le vol libre. la simplicité d’utilisation du matériel ne peut nous mettre à l’abri du danger de la montagne en hors piste, de son aérologie, de la vitesse et des obstacles lorsque l’on évolue en 3D. Les enseignants et fabricants ont le devoir d’étudier tous les paramètres liés à cette activité. L’activité n’est certainement pas arrivée à maturité et je pense qu’elle a beaucoup à apprendre de son expérience pour être accessible au plus grand nombre . Il est clair aussi que des sites et des écoles forment de très bons pilotes en speedriding. Mais ne fermons pas les portes à toutes les formes possibles.
L’enseignement et les fabricants sont , en terme de maturité, assez loin devant l’idée que les non-pratiquants se font de l’activité, idée sans doute répandue à cause du fait qu’une vidéo montrant un tonneau juste avant de passer entre deux barres rocheuses ou une descente de l’Eiger va engendrer pour le pilote en mal de reconnaissance bien plus de vues que celles d’un débutant en pente école que peu de monde regardera jusqu’au bout et qui ne sera pas relayée par la suite . Le monde restera ce qu’il est, tout le monde réclame de la sécurité mais ne va relayer sur le net que des vidéos “à sensations”, c’est en fait à celui qui montrera à ses potes la plus grosse et récente folie …
Si vous voulez que les choses changent, essayez de mieux relayer les vidéos plus sérieuses et responsables, nous avons publié ou relayé des vidéos d’école que très peu de monde a regardé, c’est un peu décevant , en voilà une , vous me direz ce que vous pensez risquer …
Le taux d’accidentologie dans les écoles de SR est exceptionnellement bas parceque la pratique encadrée est facile et sûre et que les écoles savent exactement comment enseigner en sécurité et exigent des voiles qui obéissent à des règles bien précises, c’est en cela que nous pouvons encourager tout le monde à essayer et découvrir par eux-mêmes cette activité qu’ils pourront juger ensuite .
Les marques travaillent en liaison très étroite avec les écoles qui leur font le feed back de ce qu’ils veulent exactement, les pilotes de haut niveau font la même chose avec leur marque . Tous les paramètres sont optimisés, stabilité dans la mauvaise aérologie, gonflage facile, démêlage rapide, ressource, roulis, lacet, caractère piqueur ou pas selon la gamme à la commande, stabilité aux basses vitesses pour le freerider qui aborde à ski ralenti un obstacle, les voiles de speed évoluent beaucoup en ce moment, et elles vont bien plus loin dans la technicité et l’adéquation à la pratique que beaucoup peuvent l’imaginer, on est très loin actuellement des premiers parachutes qu’ont utilisés les premiers pilotes et des premières voiles de SR qui en ont été inspirées .
Alors qui croire, ceux qui sont dans la pratique depuis longtemps et qui sont acteurs et développeurs ou ceux qui restent en dehors et vous déconseillent de juste vous faire plaisir ?
De toutes les façons, ce n’est qu’une question de temps, le kite a mis un peu de temps lui aussi (réelle explosion en 2004/2005) alors qu’on nous prenait pour des fous en 97…Il faut laisser du temps, c’est l’image de ce sport qui va changer peu à peu, certains y perdront en “prestige” mais d’autres seront heureux que ce sport fabuleux devienne accessible au plus grand nombre, je le trouve d’ailleurs finalement plus accessible que le kite sur le plan purement sportif, c’est à dire beaucoup moins physique, encore que là aussi tout dépend de la pratique ;mais je raconte souvent avec ironie que je fais du speed parceque c’est bien moins fatiguant que de skier sans voile, à 54 ans, appuyer un peu moins sur les cuissots, ça compte :mdr:
Une dernière chose, mon premier atéro en 13.0m m’a étonné, je viens du kite , et je m’attendais à réceptionner assez fort comme il nous arrive souvent de le faire en snowkite, j’ai eu carrément l’impression d’arriver au ralenti sur la neige, j’ai largement été encouragé par cette première sensation. Ceux qui viennent du parapente et savent ce que sont des commandes et un arrondi n’ont absolument aucun souci à se faire, voilà pour une tartine de plus !!!
Dommage le casque en laine ou en cheveux de la jolie demoiselle brune !
Dans une vidéo de présentation “pédagogique” ne pas assurer le minimum d’équipement légal que les enseignants sont tenus de fournir est une grossière erreur. Sinon les voiles sont très jolies.
Je confirme qu’en école avec une progression et un terrain adapté le speed riding est une activité ludique et relativement sure.
hello,
Le speed riding c’est trés bien, je pense que les écoles compétentes et pros abordent l’activité et la font découvrir dans un contexte qui va bien (terrain, pente, neige, aérologie) .
le reproche que je fais c’est l’image qui est véhiculée, c’est à dire de la vitesse, petite surface, phase de glisse dans du raid, terrain engagé .
je me dis que si l’objectif du speed riding n’est que ça, alors oui c’est une pratique engagée, pas du tout grand public, destinée à des pilotes et skieurs aguerris, donc c’est élitiste.
En parallèle, on dit attention si la pratique de la mini voile (à pieds ) qui est véhiculée n’est que du speed flying, ça aura alors la même conséquence. c’est bien dommage.
Il y a une approche ski qui peut être trés intéressante pour apprendre le vol libre, se balader, aller en montagne c’est de faire du vol à ski. Avec une petite surface type mini vole (car un peu de perf/ voile de speed) on va pouvoir aller sur des terrains vierges, moins pentu avec moins de vitesse (donc le vol et le ski seront moins technique).
On ne voit plus trop de vol à ski à part dans les compets amicales de vol à ski.
cela pourrait redonner goût à ce type de vol l’hiver en station, en ski de rando,…
Et je trouve cette aproche idéale et efficace, l’hiver, pour apprendre à voler;
Le speed riding n’est pas forcément un sport extrême, mais ce qu’on voit sur ces vidéos n’est pas très attractif non plus !
Quel interêt de skier avec une aile sur la tête pour faire ça ???
Si on ne voyait que ce genre de vidéo, je me demande qui trouverait un intéret à payer du matos à ce prix-là pour descendre une piste de la même manière que sur ses deux skis …
Mis à part l’éventuel côté pédagogique dans un stage de formation, je ne vois pas l’intérêt.
Certaines vidéos nous font rêver sans présenter un risque de mort à chaque image, et d’autres nous montrent des trucs totalement insensés. Certains les prennent pour des inconscients en mal de reconnaissance (c’est l’air du temps …). Ce n’est pas toujours faux et internet encourage, ou au moins autorise peut-être les excès. Moi, j’adore les voir faire ce genre de truc et je rêverais d’être capable d’en faire le dixième.
A chacun son niveau, pas la peine de péter plus haut que son cul, mais le courage et la bravitude ( ) ont toujours été des éléments moteurs dans une société. Le fait qu’on associe cela aujourd’hui à de l’inconscience et de l’exhibitionisme médiatique devrait amèner à un questionnement philosophique sur l’évolution de notre société (qu’on pourrait, sans crainte de sombrer dans une banalisation audiovisuelle de cette réflexion, comparer à l’évolution de l’émission Ushuaïa depuis sa création …).
Tout le monde doit-il rentrer dans le rang ? et lorsque le speed riding sera devenu un sport bien lisse, ceux qui étaient attriés par cette forme d’engagement ne se sentiront-ils pas obligés de se tourner vers d’autres pratiques plus extrêmes ?..
Il y aura le vol “saut de l’ange” en “combinaison volante” avec des mini-skis aux pieds.
:grat: Je me demande si je ne dis pas une connerie… :sors:
Salut et fraternité*
(note : ne comptez pas sur moi pour user de mots américains quand on peut les traduire en français. Je hais le franglais, qui abâtardit notre belle langue et qui la met dans la sujétion culturelle de l’inculture américaine.)
L’idée n’est pas d’interdire ou de faire passer les speedriders pour des fous furieux. Mais à partir d’une discipline élitiste, de susciter d’autres formes de vols à ski accessibles pour un plus grand nombre.
Tu veux pas le faire passer pour une discipline ellististe, mais si quand même un peu en fait.
Alors ui les vidéos engagées sont engagées, mais la découverte sur une pente école avec une 14 m² ne l’ai pas.
Et puis désolé mais une voile de speed riding est encore ce qu’il y a de mieux pour évoluer avec des skis.
Elles sont plus lente, plus amortis, plus stable, avec des débattements plus long, ont plus de ressource et sont plus précises. Ce n’est pas pour rien qu’elle empreinte une partie de leur conception à des parachutes.
Et ui incroyable, elles sont développées pour faire du speed riding !!
Après je suis tout a fait pour le vol à skis également, a partir du moment ou les skis servent au décollage et à l’atterrissage, mais quand il s’agit de faire des touches à répétition, ou du skis avec des voiles qui ne sont pas développer pour supporter le “délestage” et ben je te laisse essayer, tu m’en diras des nouvelles.
Chaque sport nécessite une voile adaptée et chaque sport à son propre matos, croire que tu peut rendre accessible le vol à ski/speedriding avec des voiles qui ne sont pas du tout conçues pour ca, est tout simplement irresponsable.
Après, je préférai voir un peu plus de 14m² et un peu de moins de 10 sur les spots de speed riding.
C’est un peu comme sur les décos de parapente, on voit beaucoup de EN C, mais pas beaucoup de pilote qui court pour décoller.
En tous cas, pour ce qui me concerne, vos vidéo pas du tout extrêmes… et bien elles me donnent envie d’essayer, alors que celles qu’on voit plus souvent me faisaient plutôt l’effet d’un “c’est pas pour moi”. Un peu comme celle d’accro en PP. :vrac:
Sans s’éterniser dans un débat qui devient stérile. On a essayé. On aime et on le transmet.
Nous avons des espaces hors piste de proximité sous convention tri parties: station, commune et écoles. L’ESF propose des sessions découvertes du speedriding avec des voiles de speed de 12 M2. L’école de parapente propose de la formation de pilotes en mini voile à ski. La découverte du speedriding avec une voile peu surfacée est très ludique sur des terrains adaptés (pente école). Ou peut être un excellent support pédagogique pour qui a des difficultés à gonfler une mini voile à ski. En école, les moniteurs ont fait le choix, en toute responsabilité, de former au pilotage d’une aile en glissant et en volant sous des ailes aux surfaces supérieures à 16 m2. Sans oublier, l’analyse de l’environnement (météorologie, aréologie, montagne…). L’ ESF et l’école de parapente travaillent en parfaite harmonie sans différenciation d’activité par la surface. Tout au long de l’hiver à Serre Chevalier, Les pilotes autonomes de toute petite surface et ceux de plus grande surface se côtoient et partagent des sessions sans préjugés et agressivités verbales. Les meilleurs volent et rident les plus beaux hors pistes de Serre Chevalier / la Grave. D’autres préfèrent pratiquer tout au long de la saison sur la pente école. Chacun se fait plaisir à son niveau. Serions nous protégés par la vitamine D…
Allez, un peu de soleil, une cure de Spiruline, de la carotte, et une tisane de camomille…
Moi qui croyait que c’était des bâtons… :mrgreen:
Autrement assez d’accord avec le bandit… Ca fait pas trop rêver la descente de verte avec une voile au dessus de la tête…
Pour ceux qui n’auraient pas compris l’idée, la pente douce voile sur la tête et en glisse, c’est pour montrer qu’il y a les deux extrêmes : Ce qui fait peur à beaucoup et à 'opposé, ce qui ne donne pas envie à beaucoup, entre les deux, à chacun de choisir sa pratique, évidemment, il n’y a pas de policier derrière vous pour vous forcer à faire l’un ou l’autre, il me semblait que le message serait clair , mais pas de souci si il faut un peu expliquer
Si, si, on avait bien compris !
Mais bon, personnellement, ça me donne pas envie. Ca en attirera peut-être d’autres qui se sentiront rassurés par ces images et trouveront cela plus accessible.
Pour moi, ça serait plutôt l’effet inverse !
Mais si ces images ne sont pas très regardées (comme tu semblais t’en plaindre), c’est peut-être parce qu’ils ne constituent qu’une petite minorité d’un public plutôt motivé par la vitesse et l’adrenaline. Cette minorité ne rêve peut-être pas spécialement de faire du speed-riding, mais d’essayer un truc différent du ski. Ce n’est donc pas elle qui sera très prescriptrice sur le visionnage de ce genre de vidéos.
Mais il faut de tout pour faire un monde …