@patrick, la vidéo est bizarre… c’est 70K€ bruts annuels… pas mensuel… car sinon il ne paierait pas 10K€ d’impôts par an seulement… je suis de l’avis de certains commentaires sur youtube… 10K€ c’est l’impôt sur le revenu d’un célibataire qui gagne 70K€ bruts annuel par an. 70K€ brut ca fait 54K€ net et il reste 44K€ net annuel après le paiement de l’IR.
donc on est vraiment loin du richard… un cadre sup qui bosse dur et qui pête un peu les plombs car s’il se fait virer ce qui va arriver vu son age, c’est chomdu pendant 2 ans (ca va encore, il ira un peu moins souvent à la baule car il pourra plus payer ses billets de train ou il réduira son train de vie et quittera paris pour aller à la baule) puis RSA à 600€ par mois…et là il vend sa baraque de la baule et il n’a plus rien après une vie à avoir trimé comme un con… je ne connais pas ce gars là, mais j’en connais plein dans la vraie vie…
est ce que l’effort de solidarité dont certains parlent, c’est de paupériser tout le monde ou de faire monter la mediane et réduire les inégalités ???
la politique actuelle est d’augmenter les inégalités
ensuite, sur un graphe comme ca il est intéressant d’analyser les mouvements interdeciles… est ce que ce sont les mêmes personnes dans les déciles ou les changements de déciles sont-ils nombreux ??
la majorité des entreprises présentes dans le Standard&Poors 100 n’y étaient pas quelques années auparavant… ca c’est pour les entreprises.
traduit en individu : la majorité des riches ne l’étaient pas mais le sont devenus… ca c’est un fait qu’on a tendance à oublier. le boulanger qui trime toute sa vie et quand il touche un héritage, il créé une 2ième boulangerie, puis 3, puis 4 et finit par prendre sa retraite avec 25 boulangeries qu’il vend, ben il a commencé pauvre et il finit riche…
Stepson, je suis perplexe devant ta propension (en tout cas apparente) à tout ramener à ton cas ou à tes préoccupations personnelles. On te parle mondialisation et inégalités, et tu réponds autoentrepreneurs et SSII. Franchement, même si je suis d’accord avec toi sur les problèmes que pose/posait ce statut, tu ne lui accorderais pas une importance un peu excessive?
Attention, dans 2 minutes tu nous fais le panégyrique de Bernard Arnault, grand créateur d’emploi et contributeur quasi-bénévole à la prospérité nationale! :mrgreen: Dis-moi, à l’origine, ce sont les produits de luxe qui créent les emplois ou les employés qui créent les produits de luxe?
Ils claquent beaucoup dans l’absolu mais en proportion de leurs revenus/patrimoines, ce sont de véritables grippe-sous par rapport aux classes “inférieures”. Et comme ils sont bcp plus mobiles (et leurs actifs encore plus, suivez mon regard qui se perd au fond des coffres suisses), leur enrichissement profite proportionnellement beaucoup moins à la France que celui des classes moyennes et inférieures.
Pour les données après 2008, j’ai rien trouvé sur le coup mais ça doit bien exister quelque part sous une forme ou une autre…
Edit en réponse aux derniers posts:
Ca, il me semble qu’il existe aussi plein de chiffres qui le contredisent carrément. La mobilité sociale recule à grands pas, et je dirais que sur ce plan la France est particulièrement mal lotie!
je parle du secteur que je connais pour y bosser (et j’ai autant souffert du statut d’autoentrepreneur que je l’ai aussi utilisé à mon profit sur un projet, je ne suis ni blanc ni noir), mais en dehors du secteur IT, l’ensemble de l’autoentrepreneriat, c’est 5 milliards d’euros de PIB non assujettis à TVA qui sont venus se substituer à 7Md€ de PIB auujetis à TVA si c’était passé dans les entreprises normales. Le manque à gagner pour l’état est énorme. Le manque à gagner pour les entreprises aussi… une bourde à plus de 3Md€… les réformettes de l’ISF, 800 millions €… désolé de ne pas être excessif et de faire une fixette sur mon cas perso …
je fais une pirouette, c’est l’existence du marché du luxe qui créé l’offre … c’est le fait que des gens veuillent acheter des produits de luxe qui créé des emplois pour les fabriquer…
il faudrait qu’on trouve des chiffres pour éviter les apriori et les idées reçues. ma conception c’est qu’il ne peut pas y avoir d’enrichissement des classes moyennes et inférieures sans enrichissement des classes supérieures. pour que la femme de ménage du cadre sup de la vidéo soit augmentée il faut que lui même soit augmenté et qu’il ne soit pas ponctionné par les impôts.
j’ai le sentiment contraire mais ce n’est qu’un sentiment peut être biaisé par ma volonté de sortir de mon décile 8 de naissance qui m’a permis d’arriver au décile 2. en ce moment, petit passage par le decile 9 que j’espère transformer un jour en passage par le decile 1.
la mobilité sociale ne recule pas, c’est la volonté de bouger qui recule. si tu veux bouger, tu bosses, tu lances ton affaire et tu vas bouger.
c’est dur mais on y arrive. en revanche si tu attends de bouger en étant salarié, tu ne bougeras pas voire régressera, ca je suis d’accord avec toi.
Ils claquent beaucoup dans l’absolu mais en proportion de leurs revenus/patrimoines, ce sont de véritables grippe-sous par rapport aux classes “inférieures”. Et comme ils sont bcp plus mobiles (et leurs actifs encore plus, suivez mon regard qui se perd au fond des coffres suisses), leur enrichissement profite proportionnellement beaucoup moins à la France que celui des classes moyennes et inférieures.
Je ne vois pas l’intérêt de ce raisonnement.
Qu’il dépensent proportionnellement ou pas, c’est pas le problème, ce qui est important c’est ce qu’ils dépensent non ? :grat:
Dans une autre vie, j’étais Housemanager en Suisse, le gars dépensait 100 000 euros par semaine, sa (ses) maisons tournaient comme une PME avec plus de 20 salariés.
Aucun des ses clients ou de ses employés s’est amusé à calculer la proportionnalité de ses dépenses.
Quand je lis des journaux qui titrent casse toi riche con, ou quand j’en tends des frustrés qui disent qu’un a pas besoin d’eux, j’ai vraiment le sang qui bout.
L’objectif d’un pays ça ne doit pas être d’avoir moins de riches, mais plus de riches et donc moins de pauvres.
En France si les aisés entretiennent le clivage riche/pauvre ou privé/public, c’est parce qu’on leur demande de + en +.
Force est de constater que nous sommes quand même le pays ou les impôts sont les plus élevés et le secteur public le plus lourd.
Ce n’est quand même pas être un odieux capitaliste de vouloir faciliter la création puis la croissance des entreprises.
Par contre c’est très facile de demander aux “plus” riches de payer pour les autres.
On est très facilement généreux avec l’argent des autres.
Les socialistes estiment que c’est une question de justice de demander + aux “aisés”.
Personnellement j’ai 2 questions :
1- à partir de quand on est considéré comme riche ?
2- à partir de quand on passe de la justice à la spoliation (ou à partir de quand cette justice fiscale est contre productive ?)
Si je respecte (+ ou - je l’avoue) l’avis de chacun, j’aimerai vraiment avoir un débat (ou avoir votre avis) sur le point N° 2.
Ils claquent beaucoup dans l’absolu mais en proportion de leurs revenus/patrimoines, ce sont de véritables grippe-sous par rapport aux classes “inférieures”. Et comme ils sont bcp plus mobiles (et leurs actifs encore plus, suivez mon regard qui se perd au fond des coffres suisses), leur enrichissement profite proportionnellement beaucoup moins à la France que celui des classes moyennes et inférieures.
Je ne vois pas l’intérêt de ce raisonnement.
Qu’il dépensent proportionnellement ou pas, c’est pas le problème, ce qui est important c’est ce qu’ils dépensent non ? :grat:
Dans une autre vie, j’étais Housemanager en Suisse, le gars dépensait 100 000 euros par semaine, sa (ses) maisons tournaient comme une PME avec plus de 20 salariés.
Aucun des ses clients ou de ses employés s’est amusé à calculer la proportionnalité de ses dépenses.
Quand je lis des journaux qui titrent casse toi riche con, ou quand j’en tends des frustrés qui disent qu’un a pas besoin d’eux, j’ai vraiment le sang qui bout.
L’objectif d’un pays ça ne doit pas être d’avoir moins de riches, mais plus de riches et donc moins de pauvres.
En France si les aisés entretiennent le clivage riche/pauvre ou privé/public, c’est parce qu’on leur demande de + en +.
Force est de constater que nous sommes quand même le pays ou les impôts sont les plus élevés et le secteur public le plus lourd.
Ce n’est quand même pas être un odieux capitaliste de vouloir faciliter la création puis la croissance des entreprises.
Par contre c’est très facile de demander aux “plus” riches de payer pour les autres.
On est très facilement généreux avec l’argent des autres.
Les socialistes estiment que c’est une question de justice de demander + aux “aisés”.
Personnellement j’ai 2 questions :
1- à partir de quand on est considéré comme riche ?
2- à partir de quand on passe de la justice à la spoliation (ou à partir de quand cette justice fiscale est contre productive ?)
Si je respecte (+ ou - je l’avoue) l’avis de chacun, j’aimerai vraiment avoir un débat (ou avoir votre avis) sur le point N° 2.
Bizarre que tu ne voies pas l’intérêt de ce raisonnement. Parce que sur le plan économique (donc en parlant des effets à l’échelle du pays, et non uniquement des salariés de tel ou tel Cresus), ça me paraît assez important. Si on sait que tel ou tel segment de population réinjecte à peu près 100% de ses revenus dans l’économie, j’aurais tendance à vouloir le favoriser par rapport à ceux qui en accumulent une grande proportion et en dépensent aussi une grande partie à l’étranger.
Vu comme ça, ça te parait toujours sans intérêt?
Concernant les socialistes, ça fait bien de parler de spoliation mais rassure-toi, on en est très loin. Je vais certainement pas pleurer pour une Liliane Bettencourt dont le taux d’imposition est inférieur au mien (et tu t’en doutes, je suis loin d’être milliardaire). Comment peut-on parler de spoliation concernant un système fiscal régressif?
Je comprends qu’on parle de spoliation si on répète aveuglément la comm’ de la droite “décomplexée” et des grandes fortunes, mais si on réfléchit 5 mn, ça tient pas la route. C’est comme cette histoire d’impôt à 75%: ça fait peur, mais uniquement parce qu’on oublie qu’il s’agit d’un taux marginal (calculé non pas sur le total mais sur la dernière tranche de revenus du contribuable), tout comme on oublie les systèmes de parts fiscales, d’abattements, de niches fiscales qui font que ce taux a surtout une valeur symbolique: redonner une impression de justice fiscale (pour mieux faire passer la pilule pour les classes moyennes et moyennes sup qui vont logiquement passer à la caisse). D’ailleurs, en passant, on oublie aussi que la plupart des pays industrialisés ont connu des taux d’imposition bien plus élevés que ça.
Bref, on est très très loin de la spoliation.
Par contre, l’argument de l’efficacité de l’impôt me paraît plus pertinent. Et là, on peut se poser la question: si on a tellement peur de voir partir les contribuables aisés, est-ce que c’est à cause de l’impôt ou plutôt du dumping fiscal généralisé que pratiquent tous les pays, y compris au sein même de l’Union européenne?
Et pour conclure sur l’efficacité, les bases d’un système juste et efficace ont déjà été jetées de manière très précise. Tout est là (y compris les courbes qui démontrent la régressivité de l’impôt en France): http://www.revolution-fiscale.fr/
Je plussoie avec Mathieu sur toute la ligne sauf sur la liberté d’utiliser sa richesse perso comme en l’entend (j’y reviens + loin), mais je te l’avais déjà dit précédemment.
Tu fais dans la mauvaise foi et au minimum dans l’angélisme en prétendant que l’accroissement de la richesse des nantis les amèneraient à se montrer plus généreux avec les défavorisé qu’ils exploitent. Si c’était le cas, ça se saurait, non ? :shock:
Et franchement, est-ce que tu te relis ? Ne trouves-tu pas toi-même tes retours sur ton ex-réussite professionnelle, ta sortie du caniveau social avant d’y rechuter plus bas faute aux autres (comment cela pourrait-il en être autrement) et ta volonté annoncée de grimper, un jour tout en haut de la chaine alimentaire, ne trouves-tu pas que tu en fais un peu de trop dans le mélo-dramatique ? Je pense que tu à trop (et mal) lu Victor Hugo et pris comme exemple Steve Jobs.
(J’ai pas une grande culture littéraire alors je fais simpliste dans mes exemple, désolé si je suis à coté, tant mieux si vous me comprenez, merci dans tous les cas pour votre compréhension) :canape:
Enfin, si vraiment tu crois ce que tu raconte : “la mobilité sociale ne recule pas, c’est la volonté de bouger qui recule. si tu veux bouger, tu bosses, tu lances ton affaire et tu vas bouger.
c’est dur mais on y arrive. en revanche si tu attends de bouger en étant salarié, tu ne bougeras pas voire régressera, ca je suis d’accord avec toi.”
Et si en plus tu te sens destiné au décile 1 (je n’ai pas tous suivi pour savoir ou vous êtes allé chercher cette classification sociale) Alors je ne comprends pas à quoi tu joues en perdant ton temps ici sur le forum au lieu d’aller conquérir gloire et argent sur les chemins du vaste monde. :taupe:
@ Limonade67, bien sur que tu n’as pas tort, il n’est pas utile et intéressant de mettre en corrélation les revenus/patrimoine avec les dépenses des uns (les riches) et les autres (les pauvres). La liberté de faire ce que l’on veut avec ce qui nous appartient est un minimum (je n’enlève rien en disant cela à la justesse des impôts pour assurer le fonctionnement de la société même si je concèdes qu’ils (les impôts) ne sont peut-être ni justement ponctionnés ni justement utilisés) :bang:
M’enfin, il existe un dicton populaire et de bon sens qui dit ; “On ne devient pas riche (sous-entendu, on ne se construit pas un patrimoine) avec l’argent que l’on gagne mais bien plus avec celui que l’on ne dépense pas” Ok, c’es pas vraiment le sujet du fil. :floodstop:
Mais, mais, la réalité en France et dans le monde d’ailleurs, que les riches veulent rester riches voire encore plus riche et que cela passe forcement pas l’exploitation du reste du monde aussi bien de ses richesses naturelles que humaines.
Et je le précise tout de suite, je ne suis ni trotskiste, ni écologiste, plutôt rien du toutiste à tendance désabusé. Mais cela ne m’amène pas pour autant de me plaindre de mon sort en accusant les uns ou les autres pour les selles trop dures ou trop molles de ma vie.
Que celui qui veut se déchirer son c… dans l’idée de s’élever, eh ben qu’il le fasse. Que celui qui préférer vivre sa misère au soleil, eh ben qu’il le fasse. Mais s’il vous plait arrêtez donc tous (que tous ceux qui se sentent concernés bien sûr) de vouloir cacher le soleil à ceux qui sont dans la misère en leur cassant le c… :affraid:
Pour le reste je ne dispose de la culture, des connaissance et des compétence pour discuter réellement sur le fond avec vous, :canape:
:sors: Bon appétit à tous, ou bon appéro si vous y êtes encore, :bu:
mouaip … entre un gars qui va généreusement ré injecter un smic à 1000€ dans l’économie en achetant des Tshirt, des boites de conserves etc tout ça fabriqué ailleurs
et un gars qui gagne mettons 100.000€ qui n’en dépense que -mettons 50%- 50.000€ dans des chaussures de luxes fabriquées en France, des fruits et légumes bio cultivés en France et du bon pinard français (*) …
mais il n’est même pas question de choix ! l’économie c’est exactement comme la nature : il faut de la (bio) diversité. Il faut un mec riche pour faire travailler 1 traiteur, 1 chausseur de luxe et 2 agriculteurs bio. lesquels vont à leur tour faire travailler un boulanger etc …
Le problème des discours racistes ségrégationistes, c’est que c’est la classe moyenne qu’ils finissent par tuer. c’est la classe moyenne qui finie par payer trop d’impôt par rapport à ce qu’ils peuvent, c’est la classe moyenne qui fini par devenir la classe pauvre, alimenter les stats du chômage, la peur d’investir en France et donc de (re)démarrer l’économie.
Les riches, eux, de toute façon on leur conserve les abattements fiscaux (il ne faut pas croire tout ce que vous lisez en matière de lutte contre la fiscalité, effacer un ISF est beaucoup plus facile que de gommer 2 à 3.000 euros d’impots, d’autant plus que ces gens là n’ont pas peur de faire appel à des conseillers pour les aider).
Les (très) pauvres restent exonérés d’impots …
en revanche, le gel des barèmes d’imposition (décrié par la gauche quand la droite l’a mis en oeuvre, mais qui reste d’actualité) c’est la hausse des impots des classes moyennes donc une perte de pouvoir d’achat.
[quote]range a identifié le salarié qui avait été filmé en train d’agresser verbalement une employée de la SNCF mercredi, suscitant de nombreuses réactions sur internet et les réseaux sociaux jeudi et celui-ci présente de « lourdes difficultés personnelles », a indiqué le groupe vendredi.
Volonté de s’excuser
« Comme nous nous y étions engagés hier, l’entreprise a pris le sujet très au sérieux et a présenté ses excuses à la salariée de la SNCF. Le salarié à l’origine de l’altercation a été identifié. Nous avons pris contact avec lui ce matin », a déclaré Bruno Mettling, directeur général adjoint en charge des ressources humaines du groupe.
« Il nous a fait part de lourdes difficultés personnelles et de sa volonté de s’excuser auprès de l’intéressée et de son entreprise. Dans le cas présent, les mesures appropriées semblent davantage relever de l’accompagnement que de la sanction. Cela étant dit, cela n’excuse en rien ces propos inacceptables », a-t-il ajouté.
Selon des informations du Parisien, le salarié ne gagne pas 70 000 euros par an et ne s’est jamais rendu en République dominicaine pour le compte d’Orange, comme il le prétend.
Plus de 800 000 vues
La vidéo de la vive agression verbale d’une employée de la SNCF mercredi par un homme se présentant comme un cadre d’Orange, qui lui lançait notamment « vous gagnez le smic, alors vous fermez votre gueule », a fait le buzz jeudi sur internet.
Difficilement exploitable, cette vidéo, visiblement réalisée avec un téléphone, permet de suivre l’échange en ne montrant qu’un sol carrelé et les pieds de l’homme qui s’emporte.
Postée mercredi soir par une personne identifiée sur son profil Twitter comme un jeune de 15 ans « passionné par le journalisme », la vidéo avait déjà été vue plus de 810 000 fois sur YouTube vendredi après-midi. Sur Twitter, les avis étaient partagés entre l’indignation, le sarcasme et la parodie.
[/quote]
Un peu mytho sur les bord quand même.
Bref, un pauv’type!
Les arguments qui tendent à justifier l’exploitation d’une immense partie de la population mondiale par une toute petite minorité de très riches me laissent sans voix (pour un forum on dit comment “sans touche”?).
Il y a bien 2 visions philosophiques (et politiques) qui s’opposent et qui pourront difficilement trouver des domaines d’entente. On le perçoit nettement dans ces échanges.
A ces 2 visions s’ajoutent de manière de plus en plus significative les problèmes environnementaux. Consommer de plus en plus, gaspiller des plus en plus, produire de plus en plus de déchets. Ce dernier point à lui seul devrait amener tout le monde à réfléchir à davantage partager et être solidaire. Des notions qui perdent progressivement leur sens. Quel dommage !
moi je dis 1M€, c’est parce que je ne suis pas très gourmand et pas un vrai de vrai et qu’un rendement de 3 ou 4% sur 1M€ me suffit pour vivre, j’ai mes origines prolétaires qui me tiennent les pieds sur terre, les riches eux disent 4M€.
33% (au pif comme ca, juste en pied de nez aux 33% des banques pour calculer le seuil d’endettement maxi.
[quote]L’objectif d’un pays ça ne doit pas être d’avoir moins de riches, mais plus de riches et donc moins de pauvres.
[/quote]
Bienvenue sur l ile aux enfants.
J adore la causalite directe entre “plus de riches” et “moins de pauvres”. C est grandiose !
[quote]moi je dis 1M€, c’est parce que je ne suis pas très gourmand et pas un vrai de vrai et qu’un rendement de 3 ou 4% sur 1M€ me suffit pour vivre, j’ai mes origines prolétaires qui me tiennent les pieds sur terre, les riches eux disent 4M€.
[/quote]
Tes provocations frisent vraiment l obscenite.
si tu as 100 français, 50 riches, 50 pauvres (peu importe l’échelle et comment on définit riche ou pauvre).
un de plus devient riche car il a inventé la super aile EN A plus perf que la R11 et qui passe la SAT avec des suspentes incassables. tous les parapentistes l’ont achetée.
forcément ca fait 51 riches et 49 pauvres. plus de riches = moins de pauvres.
il faut arrêter de croire que devenir riche est systématiquement au détriment d’un autre qui deviendrait pauvre. ca ca serait dans un système sans création de valeur… or on vit dans un système en expansion (l’entropie)…
où y-a-t’il de la provocation akira ? je ne te comprends pas.
je réponds à la question demandée. pour moi riche c’est à partir d’1M€ c’est pas de la provoc, c’est mon opinion, car à partir de ce moment là, tu as gagné la liberté de pouvoir vivre sans travailler et ne plus faire que ce qui te plait.
de plus, je ne les ai pas. j 'ai à peine là moitié. et j’ai démarré dans la vie en partant de zéro, avec un prêt étudiant sur le dos à rembourser et j’ai des parents aux minimas sociaux et j’étais étudiant boursier… j’estime être une illustration que la mobilité sociale existe encore, si on veut bien se bouger. j’ai bossé pendant 10 ans sans prendre de congés, mes patrons me les payaient tous les ans, ca me faisait un petit pécule qui petit à petit m’a aidé à développer mes projets et me lancer dans mes propres affaires. mon patrimoine ne vient pas de mes activités salariés, mais de mes activités libérales.
c’est pas en travaillant en tant que salarié que tu peux t’enrichir.
c’est un constat, c’est la société dans laquelle on vit. je ne vois pas ce qu’il y a d’indécent.
+1 avec Akira, votre raisonnement est complètement foireux. stepson desolé, mais ta démonstration ne tient pas : dans la vrai vie, il n’y a pas que des gens riches et pauvres (heureusement). Donc si ton génial inventeur n’est pas pauvre ni riche (comme toi ou moi quoi), ça fait peut être plus de riches (tant mieux), mais toujours autant de pauvres (dommage !).
ce graphique illlustre parfaitement le malaise. les très aisés, on s’en tape. ils donnent tellement à travers leur consommation que leur taux d’imposition est secondaire.
par contre la classe moyenne et la classe aisée, ce sont eux qui créent les emplois et l’activité et aujourd’hui on a atteint un stade d’imposition qui frole la contre productivité car l’intérêt de travailler n’est plus là pour ces classes.
mon cas là encore est une illustration du phénomène. si j’arrête mon activité libérale pour prendre un poste contractuel dans la fonction publique momentanément, je vais tomber dans la classe populaire et momentanément mieux vivre. par contre je serai payé du coup par les impots des classes moyennes et aisées. je ne génèrerai plus mes revenus par mon travail.
et là, ca va être explosif si on est beaucoup à baisser les bras
j’ai posé le postulat qu’on était ou riche ou pauvre dans cet exemple, justement pour pas polluer le débat avec la question de “à partir de combien on est riche”.
(et je suis informaticien moi y en a connaître que le binaire. 0 ou 1 :mrgreen: ).