cout du parapente

Tout est dit … et pourtant cela n’était pas cher… :pouce:

Bonjour tous,

Après un an de vol, le budget est assez conséquent pour un débutant :

  • équipement neuf : voile, sellette, parachute, sac = 5000$
  • équipement occasion : casque intégral, radio, Gps-vario, sacoche SupAip : 200$
  • petit équipement : 200$
  • monter sur site, adhésion, passage de niveau : 900$

Après pour 190 heures de vols/ans cela fait, avec un amortissement sur 3 ans, (5400/3) 1800$ / 190h = 9,47$ + (900 / 190) 4,73$ = 14,2$
Soit environ 14$ pour une heure de vol en Californie.

Il faut ajouter la formation : 1500$ le stage de 10 jours et 500 à 700$ le SIV.

Par rapport au planeur, je me souviens avoir payer 5€ de l’heure plus 2€ la minute de remorquer, soit environs 15€ pour une heure de vol, dans un petit club du Causse en 1991 (c’était en Franc, j’ai converti). L’achat d’un planeur n’est pas envisageable vu les prix exorbitants… 80 à 150k€.

Par rapport à l’avion, ce n’est plus pareil : 150€/h pour un Robin DR400 dans un club, l’essence est trop chère maintenant… L’achat est possible avec un model expérimental comme le Pottier P180, 15 à 25k€. Cela peut être intéressant avec +150h/an.

Donc, passer l’achat de l’équipement, le coût du parapente reste le moins chère pour voler, surtout si on habite près d’un site ou mobile avec un camping-car.

C’est dur pour un jeune au Smic, quelque-soit l’activité aéronautique, mais c’est possible avec une énorme envie de voler alors, courage…

J’ai fait le choix d’un équipement neuf pour être tranquille, le marcher de l’occasion n’est pas grand ici, avec des voiles plutôt anciennes.

Bon vol, Jean-Nono

Ben à l’époque (mais ça doit être vrai encore maintenant), en planeur il y avait des bourses conséquentes pour les jeunes, et on pouvait passer son brevet de pilote pour presque rien. Une fois le brevet de pilote en poche et quelques heures, le brevet avion était très fastoche a avoir (j’ai par ex ete laché au bout de 2h15 en avion !)

Hormis les stages évoqués (cobaye de jeunes monit en formation) je sais pas s’il y a la meme chose avec des bourses en parapentes ??

Et encore Jean-Nono t’as pris un budget pour une aile classique… Le jeune qui voudrait débuter en Enzo2 ben c’est 6400€ qu’il doit débourser !
:mrgreen:

Norbert

Ouch !
Mais attends, 90€, c’est le prix qu’on paie généralement pour avoir le matos…+ 2 moniteurs qui encadrent + les navettes : en clair, c’est le tarif d’une journée école, matériel fourni.
Du coup, je ne comprends pas trop comment on peut arriver au même tarif juste pour le matos :grat:

Bonjour Norbert,

Oui, j’ai passé le brevet planeur, puis le brevet avion avec une bonne réduction d’heure de vol obligatoire… :bravo:

Une Enzo2 pour un débutant, t’es sur ? Sur le site Ozone : :bisous:

THE ENZO 2
L’objectif de la Enzo 2 : créer la plus formidable voile de compète, en matière de vitesse, de finesse et et de perfs globales. :canape:

J’ai bien compris qu’il s’agissait d’une blague, par contre 6400€, c’est heu… 8500$, waooouu ! :sors:

Bon vol, Jean-Nono :ppte:

:shock: Pourtant ça me paraît carrément raisonnable, et parfaitement justifié. Franchement, je m’attendais à “pire”. Tu avais prévu un système de cautionnement et/ou une assurance optionnelle en cas de dégats au matériel ?

[edit: le raisonnement de Derob est valide aussi, du coup je m’interroge aussi, comment font les écoles?]

Elles touchent le matos un peu moins cher et le revendent au même prix la saison d’après ?

Ha oui ! au temps pour moi ! c’est 6200 pas 6400 ! :stuck_out_tongue:
Heureusement qu’ils la payent pas ce prix là … :stuck_out_tongue:

Norbert

@ Jean-Nono, salut, :pouce:

Wouaouh ! 190 h/an, je te tire mon chapeau très bas parce-que là oui il faut beaucoup de motivation même en habitant dans son camping-car au pied d’un site ou il fait toujours beau surtout en début de carrière. Tu me diras pour nombre d’entre nous il manquerait déjà la motivation de vivre en continu dans un camping-car (mais c’est un autre débat) Non, tout simplement pour la majorité d’entre nous cela n’est pas possible qu’importe l’envie que l’on peut en avoir (famille, boulot, etc. …)

Je reprends ton exemple d’un point de vue coût d’acquisition du matos et des stages que tu as suivi. Je donne six ans de vie à l’ensemble de ton matériel (il y a des éléments qui peuvent durer plus et d’autres moins) même si je suis certain que tu l’auras renouvelé bien avant (l’envie, sacré envie) et je divise par la moyenne du nombre d’heures annuelle qui me concerne calculé sur les six dernières années. Petite précision, je n’ai plus besoin de travailler depuis avant ces dix dernières années et elles ne représentent pas mes six premières années dans l’activité. Mais, il y a toujours un mais, j’ai femme, enfants (autonomes depuis) petits-enfants, chien et canaris, amis, maison et obligations associatives (note, librement choisies) Tout de même je pense être quelqu’un de vernis. Ma femme est toujours partantes pour le parapente et on peut, important cela, nous le permettre.

Alors mes six dernières années représente ; 508 vols pour 312 heures en l’air, disons 300 h en six ans.
Ton calcul donne un coût d’acquisition matos et formation de ; 8500 $ que l’on arrondit à 8000 €.

8000 €/ 300 h = 27 € de l’heure et je le répète, on à négligé ce qui coute le plus cher en parapente les déplacements et hébergements nécessaire quant on n’habite pas au pieds d’un site et faire du stop pour la navette n’est pas la solution. Et il existe d’autres faux-frais qu’il faudrait envisager. Tiens par exemple, ce que t’as couté ton aller-retour en france pour te soigner après ton accident de parapente.

Enfin dans mon cas et exemple, on parle quand même de 50 h en moyenne par an sur six ans, ce qui me semble encore être loin de la pratique usuelle de la grande majorité de nos ami(e)s parapentiste Français lambda surtout en partant de zéro. Ciblant 20, allez disons 25 h/an on est sans doute bien plus juste dans nos estimation et du cout le prix moyen dépasse les 50 €/heure. Toujours sans les autres frais induits… Tiens, on a oublié les révisions d’ailes et éventuelles … réparations.

Non le parapente n’est pas un sport populaire et ne le sera sans doute jamais.

Si on parle de location pro et à la louche avec des prix d’acquisition pro et hors TVA (tu me diras il faudra bien que le pro finisse par facturer une TVA au loueur) avec une obligation de louer du matériel nickel et même s’il arrivera encor à le vendre à un bon prix (je le lui souhaite) mais avec aussi des assurances et charges professionnelles à assumer, on se rend vite compte que les 90 €/jours c’est pas trop cher. Dans le cadre des écoles et stages le moniteur de par son rapport à son élève lui vendra bien plus facilement du matos que le loueur à son client, question d’image.

Bonne soirée,

Bonjour Wowo,

T’y va un peu fort avec le change, disons : 6500 € c’est plus proche de la réalité. :bisous:

Donc 6500/300 = 22 € au lieu de 27 € dans ton exemple, mais ce n’est pas le plus important. :ange:

Oui, vivre coûte de l’argent, avoir des amies aussi, je suis d’accord, mais cela n’entre pas en ligne de compte pour le coût de notre activité… Quelques soit le sport que tu fais, tu dois avant vivre. :canape:
Quand je faisais pas mal de plonger sous marine, cela me coûtai aussi un bras, mais quel pied… (sic), le transport depuis la région parisienne vers la mer ou l’océan, c’était le même problème…
:trinq:
Je serai plus catégorique que toi, l’aéronautique n’est pas à la porté de tous. :bang:
J’ai commencé grâce à un bon job, avant j’enviai les autres … de voler. Je m’amusai dans ma piscine à chercher les impressions de la troisième dimension, d’où la plonger sous marine. :init:

Pour la location, c’est compliquer avec du matériel qui peut très vite s’abîmer (arbre, roc…). D’où des sommes plus importante avec un marcher très petit. :cry:

Bon vol, Jean-Nono :ppte:

Ouf, je suis rassuré, 200€ moins chère, c’est déjà 10 à 15 heures de vol en plus… presque une année pour certain. :ppte:

Bon vol pas trop chère, Jean-Nono

je pense que le coût du parapente est largement influencé par la pratique. Si je calcule le coût horaire du vol pour mon matos de cross, je m’attends à être à +/- 20€/h
Mais si je fais le calcul pour mon matos de vol rando, ca me revient à 4€ la journée de vol rando. honorable :slight_smile:

Tu fais une estimation du nombre de journées annuelles de location et tu prévois d’amortir sur 3 ans (durée de vie raisonnable d’un matériel maltraité, si tu veux pouvoir présenter quelque chose de digne au client).
Pour proposer la location, il te faut le matériel dès que tu as une demande. Au moins 4 tailles d’aile, 3 sellettes et trois parachutes de secours, 2 casques (réglables), une radio, 5 tailles de gants. Au moins une révision pour les ailes. Là tu es vraiment sur la base minimum en matos.
Donc tu paies tout ça pour faire d’hypothétiques locations. Si tu calcules bien tout et que tu es réaliste… tu ne le fais pas !

Les choses paraissent toujours faciles, simples, évidentes, vues de l’extérieur. Quand tu y es, tu y laisse des plumes.

Caution.

@triple seven France.
Non, non, ça n’a pas l’air particulièrement facile, c’est juste pour essayer de comprendre et voir si ça pourrait être une solution pour ce qui concerne le coût d’entrée dans l’activité. J’espère que tu n’y vois pas d’agressivité ni de reproche.
Le problème est que si on n’est pas pro, on ne sait pas à combien une école ou un revendeur touche le matos, beaucoup moins que le prix affiché apparemment (d’ailleurs, ça aussi ça me dépasse, mais c’est un autre sujet).
Dans mon esprit, cette activité de location ne serait qu’un complément à une structure qui existe déjà ; je pense par exemple à une “grosse” boutique dans les Pyrénées où un salarié est présent pour gérer pour la boutique, et je suis sûr qu’il y en a d’autres, notamment du côté des Alpes.
Ensuite, sur la question des 3 ans de vie, je ne sais pas trop, mais ça me semble bien court. Le principal public sera constitué de débutants : pas de manœuvre engagé, ni beaucoup d’heures en vol, surtout du temps passé dans les rotations. Quelques arbrissages probablement, et encore, faudrait voir des stats (j’ai l’impression que ce n’est pas quand on débute qu’on est le moins prudent, mais juste après). OK pour changer le matos après 3 ans si on veux pour suivre l’évolution technologique, mais dans ce cas, elle peut encore se vendre (et d’autant plus si elle n’a pas été beaucoup louée). Non ?
Bon, pour te dire le fond de ma pensée et ce qui m’agace un tout petit peu ; j’ai l’impression que prêté du matos, ça se fait fréquemment, et gratuitement en plus. Mais bon, il faut être “pote” avec quelqu’un de l’école/revendeur ou être une fille mignonne du dernier stage init. Dans ce cas, contre une petite pipe (symbolique, j’entends), pas de problème. Le gros barbu antipathique qu’a un peu de sous mais pas trop, on va lui expliquer que c’est mal d’acheter une voile rincée à 150€ pour faire du gonflage, mais rien ne lui ai proposé. Tiens, tout à coup je pense à Trekking (que je ne connaissais pas et dont j’ai suivi le débat sur LCDV), qui me devient plus sympathique.
Bref, ça n’a pas l’air faisable ou ça n’intéresse personne. Tant pis.
Merci pour la conversation en tout cas.

Le fond de ma pensée c’est que le parapente est une activité de passion et que le modèle économique pour le rendre plus abordable n’existe pas en système capitaliste.
Pas plus qu’il n’existe de système économique pour rendre plus abordable la moto, autre activité de passion. Il y a eu à une époque MZ, qui n’était pas un modèle économique mais un produit à bas coût venu d’un système différent ; combien MZ a eu de clients en France ? Malgré de véritables passionnés ?
Dans le parapente, les prétendus modèles économiques à prix cassés n’en sont pas ; ce sont juste des politiques de terre brûlée qui déshabillent plusieurs Paul pour vêtir un Pierre.

Comment font les écoles, toussa, toussa ?
D’une manière très générale, hormis quelques centres touristiques mondialement connus drainant une population à fort pouvoir d’achat, les écoles en chient grave avec des conditions de vie que la plupart de leurs clients n’accepteraient pas pour eux-mêmes.
Les “grosses” boutiques dans les Pyrénées s’appuient commercialement sur bien plus que du parapente pour trouver une rentabilité et tout professionnel pyrénéen souffre énormément de manière cyclique.

Oui il est plus “rentable” de prêter car ça apporte une valeur ajoutée à la présence de la structure que de (ne pas) louer.

Quant à inclure dans son calcul une hypothétique revente des ailes après trois ans, c’est prendre un risque perdant dans les 2/3 des cas. La vente d’occasion en parapente est un enfer (les particuliers s’en aperçoivent lorsqu’ils n’arrivent même pas à vendre leur aile bradée et surbradée) et toutes les écoles ont en fond de tiroir des ailes dont ils ne feront jamais rien qui sont invendables car il n’y a pas de clients.

Alors pour “la copine qui a du mal à pouvoir s’équiper”, premièrement elle n’a pas forcément besoin de se payer le matos de suite à la sortie du stage, j’ai rencontré plusieurs personnes qui faisaient un stage de temps en temps quand ils avaient suffisamment économisé pour pouvoir se le payer et qui étaient en fin de P2 sans matos (4j par niveau, init, P1, P2) et l’achat était un souhait mais pas encore possible…
Le second aspect des choses c’est que bien souvent il est possible de s’arranger avec le magasin en faisant plusieurs chèques (payer en 4 fois ou 10 fois)… Le troisième aspect est que si on veut vraiment mettre de l’argent de coté pour quelque chose, le x€/jours, semaines, mois, ça aide aussi, à condition de réellement mettre ces sous sur un compte, dans une tirelire, sous le matelas, mais vraiment à part et de se forcer à ne pas y toucher… Quand j’étais étudiant, j’ai pu me payer une partie d’un VTT de comptet de cette façon, en économisant et bouffant des pâtes tous les jours, ça se fait.

Sinon pour ce qui est de la location, au delà de la rentabilité du matos qui a une durée de vie très limitée (3ans est un max car quand c’est pas a soit on y fait pas gaffe), l’autre problème qui m’avait été évoqué par un professionnel à qui j’en avait parlé, c’est que pour éviter les problèmes, il faut s’assurer de l’état du parapente à chaque fois qu’on le loue, c’est à dire un contrôle méticuleux des suspentes et de l’aile et voir même passer par un organisme agréé pour le faire, et ceci ajoute encore pas mal d’argent au total.

Ok, ça se tient (notamment le côté vérification minutieuse après le prêt, surtout s’il y a une caution en jeu, pas dit que le “client” dise qu’il a foutu la voile dans un arbre, même si on peut penser par ailleurs, qu’on est tous sensible au fait qu’on vole sous un bout de chiffon).

A part ça, je reviens vous donner des nouvelles par rapport à ce qui a été suggéré plus haut ; ça peut intéresser les débutants qui passent par là.
j’ai eu quelques renseignements sur le truc d’élève cobaye de moniteur en formation (donc quasi gratuit). En fait, il y a quand même peu de monde qui suit cette formation. De ce qu’on m’a dit, cela arrive une fois par an (souvent en novembre) et quelques fois, une fois en juin. Faut pas se rater, surtout qu’il ne doit pas y avoir une grande publicité !

Ensuite, dans les clubs, il y a des moniteurs fédéraux : c’est une formation fédérale qui donne le droit d’enseigner (donc couvert par les assurances). Je précise que le moniteur ne peut pas exercer professionnellement, mais uniquement bénévolement (il a le droit d’être défrayé), il est donc dans un club. Parallèlement, c’est une autre formation beaucoup plus complète pour être professionnel (BP JEPS). Il y avait des ponts pour les moniteurs qui voulaient passer pro, mais ça n’existent plus si j’ai bien compris.

De ce que j’ai compris, il y a 3 cas de figure pour les clubs
*) les clubs qui n’ont pas de moniteur parmi leurs membres
*) les clubs qui ont des moniteurs parmi leurs membres mais qui n’enseignent pas (là, j’avoue que ça me dépasse un peu surtout si le club prend en charge tout ou partie du coût de la formation :grat: )
*) les clubs qui ont des moniteurs qui enseignent et qu’on appelle club-école (CEFVL)
C’est ça ?
Ce dernier semble, au moins sur le papier, le plus accessible. Un exemple pour se faire une idée, obtenu au hasard avec un coup de moteur de recherche : je vois une formule à 550€ (+licence et cotis club de 40€) pour apprendre à voler, pour toute la saison (de mai à octobre) le week-end, matériel et navette compris. C’est sur le papier et ça dépend des disponibilités des moniteurs bénévoles, donc ça doit beaucoup dépendre des clubs-écoles. En tout cas, 550€ pour commencer, c’est déjà plus accessible, et ça permet d’attendre la 2eme année pour s’acheter du matos.

En apparte, j’avoue que ce système m’étonne un peu et je me demande comment se passe la cohabitation avec les écoles pro, qui ont besoin de client pour vivre elle aussi. J’imagine que le pros font la guerre à ce système. Qui choisit entre soutenir les pros, et soutenir l’accessibilité (financière) ? La fédé ? Tiens, je crois que le même genre de phénomène est en train de se produire en ce moment même dans les clubs d’aviation, où des bâtons dans les roues sont mises pour ce qui concerne la formation dans les clubs. C’est vrai que ça ne fait pas monter le PIB et tant pis si moins de monde peut y accéder.

Par contre, j’ai l’impression que ces structures CEFLV sont très rares, mais je me trompe peut-être. Et encore moins assure des formations initiales. En tout cas, peu l’affiche ouvertement. En plus, il faut qu’elle soit dans le coin où on habite.
Quelqu’un sait s’il y aurait ça dans les Pyrénées pas trop loin de Toulouse ? J’ai beau y réfléchir je ne vois que des écoles…

Au risque de redire quelque chose qui a déjà été dit (j’ai pas tout lu avant :oops: ) je pense que ça dépend beaucoup d’où on habite. En habitant à la montagne il suffit juste d’un investissement de départ pour le matos (certes non négligeable) et après pour voler on peut se débrouiller en stop/covoiturage pour que ça coûte rien ou presque. Je trouve quand même que pour les possibilités que ça apporte ça vaut son prix :ppte:

Salut Treuze,

En fait, j’ai déterré ce post en axant plus sur le coût d’entrée dans l’activité et voir s’il n’y aurait pas des solutions possibles pour étaler la dépense rédhibitoire pour certains. Si tu veux relire le post, c’est juste en haut de la page précédente.

Derob