décro tout seul

Et bien je suis arrivé un peu plus bas que d’habitude, plus que 200m de gaz, mais toujours au-dessus de l’eau.
C’est pas grave, j’en fait presque tous les jours, il suffit de s’appliquer et ça ira…
Je met les mains en bas, remonte en marche arrière, désymétriquement. Du coup je pivote et me retrouve en direction de la plage.

Je redécroche car je sais pas trop où j’en suis, je remonte les mains tranquille, j’ai une petite cravatte, je fais l’erreur de redécrocher.

Sur ce coup là, j’ai un peu du mal à analyser, mais le résultat, c’est que je reste en parachutale jusqu’au sol. Plusieurs explications sont possibles :

  • mon aile est vraiment rincée: elle a du mal à gonfler, à tendance à rester derrière en entrée de thermique, ça fait un mois que je cherche une nouvelle aile
    ET/OU
  • je relève les mains trop lentement pour éviter une grosse abatée près du sol et je me retrouve en parachutale.

C’est surement une combinaison de tout cela qui m’a mené au tas. A aucun moment je n’ai pensé à tirer le secours, lacher les commandes dans une telle configuration ne m’a traversé l’esprit.

La vidéo pour ceux qui peuvent analyser l’action, ça pourrait peut être servir.

Par contre, je préfère prévenir que c’est pas très agréable à regarder, je n’ai rien coupé et on me voit taper le sol et gueuler, mais c’est aussi la réalité d’un accident

http://www.youtube.com/watch?v=vm9PUXlKfWs

Je vais faire le chieur … T as un bateau qui te suit quand tu fais des decros au dessus de l eau ? un gilet de sauvetage ?

Sinon j ai quand meme un peu l impression que tu surpilotes pas mal tes sorties de decros. Y a des coups de frein plutot a contre temps, non ? Du coup tu as une phase parachutale (a partir de 0:20) assez longue qui fait que la voile part en lacet.

Pleins de courage pour un bon retqblissement :trinq:

Salut Akira,

non, pas de bateau, ni de gilets de sauvetage, j’avais vraiment tout faux. Et j’ai vraiment eu de la chance de n’avoir blessé personne.
Je cherche pas du tout à me décharger de ma responsabilité mais de voir plusieurs pilotes exécuter ce genre de manoeuvre au même endroit a du banaliser l’affaire dans mon esprit. Après, les autres pilotes sont plus hauts et, jusqu’à présent, n’ont pas fini au sol…

Effectivement, en regardant la vidéo, il semble que mon analyse ne soit pas très bonne. Le coup de frein est tout à fait inaproprié.

Je pense que laisser voler ma voile aurait permis une sortie de décro/parachutale. Je crois qu’à ce moment-ci, j’ai eu peur d’une abattée trop sévère et pas si loin du sol et j’ai trop anticiper sur la tempo, c’est ce qui, à mon avis, m’a laissé en parachutale. Avec le recul, on peut réussir à analyser ses erreurs, et c’est pour cela que j’ai posté ici, je profite de l’expérience des autres, et de la tienne en particulier, pour que ça ne se reproduise plus. Mais tu sais, pendant le vrac, j’avais qu’une fraction de seconde pour prendre une décision dans une situation de stress et je ne sais pas si laisser voler l’aile m’aurais permis d’atterrir safe, peut être.

Une autre interrogation me vient à l’esprit : j’ai atterri sur les fesses, du moins sur le mousse-bag, encore une décision d’urgence. On m’a dit que de mettre les jambes pour amortir un minimum m’aurait sauvé de la blessure. Vous en pensez quoi vous autres??

Et merci pour les messages de bon rétablissements, ça touche vraiment

:shock: la video… j’espère qu’au moins ça calmera les acrobates de basse altitude…

Je pense que dans ce genre de situation, tout va très vite et on fait ce qu’on peut, je ne suis pas sûr que tu aurais vraiment pu te relever : si ça avait été le cas, àmha, tu en aurais été probablement pour une cheville, c’est potentiellement plus réversible qu’une vertèbre, mais comme je te disais sur FB, tu t’en tires après tout à bon compte ! Allez, bonne récupération ! :pouce:

En tout cas à voir les images, c’est bien l’impression qu’on a.
Et c’est ce qui provoque généralement le surpilotage en incident de vol non intentionnel et qui conduit aux accidents graves : la proximité du sol induit une appréhension qui empêche le pilote de relâcher son aile complètement, qui lui fait refuser l’abattée.
De même pour les atterrissages catastrophe : la plupart du temps on a le réflexe de se mettre en position fœtale alors qu’il vaudrait mieux “sacrifier” ses jambes… On le voit ne serai-ce que sur les atterros vent de cul ou presque tous les pilotes rentrent les jambes et rebasculent dans leur sellette plutôt que de rouler-bouler.

Une des seule cascade de vrac que j’ai pris en sortie de decro, c’etait a peu pres pareil. J’ai refreine des sorties de decro, la voile repart en decro dynamique, un peu de parachutale … qui part evidemment en vrille … etc … Pas evident de penser a mettre bras haut quand on est en plein stress.

Un grain de folie :
Bravo pour le crash, bienvenue au club des frappadingues et bon rétablissement.
A mon avis, il faut être cinglé pour faire près du sol des manoeuvres de SIV qu’on ne maîtrise pas parfaitement. Le moindre incident et c’est la cata.
D’autres me répondront avec raison qu’il faut avoir une case vide (et même plusieurs) pour décoller d’une montagne sous le vent, dans un rouleau ! C’est la cata annoncée.
Décollage parfait, retour immédiat à la pente (toute en herbe), la voile appuyée par le rouleau vole, cela va très vite, ressource pour éviter un petit talus et sauver mes jambes, je me râpe vilain sur l’herbe rase et ma main gauche tape violemment sur un affleurement rocheux, douleur atroce, le sketch est fini et le poignet est cassé. La fracture est vilaine, le poignet a tourné de 30°, la saison 2010 est foutue.
J’en ai pour 6 semaines de plâtre, de la rééduc pénible à l’issue, une broche qui me fait mal en permanence, je garderai sans doute une raideur.
Avec une sellette string sans mousse ni airbag, sans protection dorsale, sans casque, cela aurait pu être un désastre. J’aurais aussi pu ne pas taper sur ce caillou et m’en tirer avec des écorchures sans gravité.
Je m’en sors quand même bien et ma petite voile ultra-légère n’a pas souffert.
On sait parfaitement qu’il ne faut jamais déconner comme ça, et on le fait quand même. Allo, Dr Freud ? :fume:

rétablissez vous bien. merci de nous faire partager votre expérience.
pour les décro l’année dernière j ai eu le cas ou il m’en a fallu 3 pour remettre la voile en vol par coup de bol j’étais haut 1000m/sol et depuis ce jour je ne fait pu de décro a moins de 500m sol a part a annecy au dessus du lac avec le bateau en dessous.
mais avant mon incident je faisais pareil j’attaquai bas et la seul fois ou c’est parti en cacahouète j’étais haut. il m’a fallu plus de 50 mètre pour récupérer la voile.

Dans le dernier ParapenteMag il y a aussi tout un article de réflexion de Maeva Giacometti…

Et en gros, il réfléchissait quoi ?
(et c’est qui Maeva Giacometti :?: )

Oui, bon, intervention un peu rapide de ma part.
C’est une réflexion suite aux derniers décès chez les pilotes de voltige. Sur l’engagement que ça suppose, sur l’entrainement, sur “est-ce qu’il faut risquer de mourir ?”, etc.

Pour savoir qui est Maeva, je t’invite à la Googleliser…

Un petit mot d’encouragement sur la facture de poutocole de Paragliding Old Bag que j’ai expérimentée
Qu’une broche fasse mal, c’est normal vu le peu de chair autour du poignet
Et l’extrémité de la broche qui gratouille va être bien utile au chirurgien pour l’extraire
Pour ce qui est de recouvrir l’intégralité de la mobilité de l’articulation, c’est un travail d’équipe : le boulot du chirurgien <c’est fait> mais aussi et surtout la rééducation qui doit commencer… dès le plâtre! Un des meilleurs que m’ait donner un kiné, c’est de travailler sur la sensation de mobilité stimulée par le souvenir des activités qui te plaisent le plus et qui mettent justement à contribution cette articulation : aussi faibles soit les déplacements autorisés, des stimulations musculaires luttent effacicement contre l’ankylose. Il faut savoir aussi que les os se consolident plus rapidement sous une faible charge <faible!> que sans celle-ci. Il est aussi important de travailler sur la circulation : massage des extrêmités qui sortent du plâtre <avec des mains propres en n’employant que des produits antiseptiques <talc par exemple, pour éviter les démangeaisons sous le plâtre!> et surveiller tout signe d’oedème <après 17 fractures et deux grosses immobilisation, j’en étais à savoir me faire moi-même mes piqures de calciparine>. Un exemple de dispositif simple pour une fracture de la jambe, c’est de faire rouler le pied sur un morceau de bois rond en recherchant les sensations <en appuyant doucement tout de même!>. Idem avec une balle dans les doigts. C’est cette volonté de garder le contrôle de l’articulation et de saisir tous les moments qui peuvent aider à récupérer rapidement qui fait la différence entre un sportif volontaire et une personne lambda. Des mots même du traumatologue qui m’a opéré mon poignet, j’ai récupéré trois fois plus vite que la victime d’un match de foot “amical”, rentrée aux urgences en même temps que moi avec la même fracture et opéré dans les mêmes conditions par la même équipe. Je me souviens très clairement de notre premier rendez-vous parallèle pour ôter le plâtre. Quand il tenait son poignet sale sans oser le bouger, j’en étais déjà à exercer déjà mon articulation, gagnant degré après degré dans la salle d’attente, dès la sortie du plâtre, après avoir préalablement méticuleusement nettoyé mon bras aux toilettes avec ma savonnette préférée <tous les détails compte pour le moral!>. Dans la semaine qui avait précédé ce rendez-vous, je randonnais en moyenne montagne non loin mon décollage préféré, avec une furieuse envie de me remettre en l’air! Dans les semaines qui suivent le déplâtrage, les interfaces de l’articulation sont entre assez plastiques et il faut intensément travailler, aux limites de la douleur, voire en peu au delà, sous la direction d’un kiné si vous n’en avez pas l’expérience, pour mettre toutes les chances de votre côté de réellement remodeler ces surfaces de façon à récupérer toutes les mobilités qui peuvent l’être. Bon courage : ça en vaut vraiment la peine!

Cela faisait un bail que je n’étais pas venu sur LCDV et qq posts me font réagir alors je vais vous faire partager mon expérience du 11 juillet dernier même si j’ai encore du mal à digérer ma connerie mais bon elle me servira de leçon et si cela peut aider les autres…comme je le dis toujours faut assumer ses conneries et y faire face !

Après une heure de vol tranquille, j’arrive à 1200m au dessus de l’attero et comme je suis pressé…

  • j’envoie des wings circulaires(du style 3/4 de tour à chaque wing)…ils passent pas mal, je suis bien content de ma progression
  • puis 360 face planète
  • puis à 400m sol : petit wings (1/2 tour à chaque inversion) l’histoire de perdre ces fichus 400m rapidement

Au bout de 2 wings, je me dis merde Dav on te regarde ne va pas te faire mal et leur montrer je ne sais trop quoi ce n’est pas le moment et là commence la catastrophe:

  • en haut du wing, au lieu de faire bras haut sellette droite, j’arrête de piloter et je garde de la commande à gauche et fait sellette gauche…comme si j’avais voulu dissiper l’énergie en haut du wing…
    Bing c’est partit pour 30 secondes de surpilotage et de cascades d’incidents de vol avant de tirer le secours à 124m sol et de me poser sous secours (avec l’aile en miroir à 8m/s)…sur 1 jambe + 1 poignet car retournée acrobatique juste avant impact pour éviter le poser airbag !

Histoire du vrac :

  • Une bonne grosse demi aile fermée en haut du wing
  • un rappel pendulaire mémorable avec cette demi aile fermée
  • Suivie d’une abattée dissymétrique (déjà vécue en SIV et très bien gérée lors du stage…bras haut + sellette tout simplement)
  • et là comme un idiot au lieu de faire bras haut avec un peu de contrôle sellette (pas besoin de garder le cap tu me diras là où j’étais): je balise de tomber dans l’aile…étrange non… :grrr: donc je tente une tempo que je maîtrise visiblement pas du tout car…
    => conséquence Décro dynamique…je ne fais rien donc sortie de décro sans action du pilote…L’aile revole mais ne se regonfle pas comme il faut…mais shoote à 90° par contre (normal)
  • je la freine bcp trop tard et trop longtemps
    => nouveau Décro dynamique…bon là j’essaie de mettre mes mains directement en position marche arrière de sécurité…mais bon mon aile est rentrée tellement violemment en décro que je ne reconnais rien (rien à voir avec les petits décros gentils du SIV), juste un tas de tissu qui fait flip/flap…donc je n’insiste pas impossible de reconnaitre la porte de sortie…l’aile reshoot à 90° et devinez quoi…
    => refreinage au mauvais moment…quand on aime on ne compte pas :frowning:
    => Donc redécro dynamique. Et là j’arrête les conneries je suis à 124m sol, je tire le secours.

Tout cela pour dire par rapport à mon expérience que:

  • un bon bras haut avec une DHV1/2 en air calme libre de tout obstacle (falaise, autre aile, etc…) et bien cela aurait été génial (j’ai eu au moins 2 sorties possibles de décro et sans surpilotage je n’aurais jamais décroché après le wing/fermeture)…mais bon le stress et la peur ne te permettent pas toujours d’avoir ce réflex pourtant si simple à réaliser !
  • les conditions en SIV et dans la vraie vie ne sont pas du tout les mêmes…dans la vraie vie tout va plus vite et est plus violent. Pour ma part le SIV ne m’a servi qu’à une seule chose : comprendre ce qui m’est arrivé mais je n’ai rien pu appliquer et pourtant j’avais déjà tout vécu dans ces incidents de vol…Faut que j’y retourne c’est sur…j’ai envie de demander à rejouer mon VRAC en SIV d’ailleurs pour avoir la même violence d’incident !
  • le secours c’est bien ça te sauve la vie mais n’évite pas forcément la casse (un peu comme l’ARVA en montagne quoi !)
    => pas simple d’ailleurs de prendre la décision de tirer le secours, surtout quand tu as des maisons pas loin et que tu te dis qu’avec la dérive tu ne sais pas trop où tu vas arriver…
  • si j’avais à refaire mon atterro sous secours je referais le même car je préfère avoir une jambe + 1 poignet cassé (car atterrissage de côté) plutôt qu’une lombaire avec des conséquences bien pire en cas de malchance
  • Quand on fait de l’accro (même des wings ou 360 engagés) et bien faut penser “au cas où” et donc à la dérive, etc…car si je n’avais pas eu ce pb de dérive et de risque d’atterro dans les maisons j’aurais tiré le secours plus haut et aurais certainement pu affaler mon aile pour éviter l’atterro miroir un peu rapide !

Voilà ! Plein plein d’erreurs dans mon histoire mais bon…je suis là pour vous en parler alors c’est que tout va bien finalement.
Faites bon usage de cette modeste expérience !!! J’espère qu’une de mes cases vides est remplie maintenant :frowning:

A+
Dav

Merci pour ce témoignage qui peut nous servir à tous.
Faire secours a été la bonne décision.
Et bon rétablissement.

Intéressant le feedback.

Je pense que si t’avais eu un parachute dirigeable, tu ne te serais pas blessé,

car:

1 Tu aurais ouvert plus haut, sachant que tu aurais ensuite eu la possibilité de te diriger.
2 Tu aurais donc eu le temps de ramener ta voile pour éviter la mise en miroir (même si c’est moins sensible sur les rogalos)
3 tu aurais pu faire un pseudo arrondis et te poser en douceur. :slight_smile:

C’est mon analyse.

Mais les 3/4 (voir meme plus) des parapentistes trouvent que c’est trop cher. (700/900 euros). Ca doit etre aussi ton cas vu que tu avais un secours “rond”.

Après coup (sans jeux de mot), je suis sur que tu penses comme moi, que la différence de prix vaut largement la jambe et le poignet. Pas vrai ? Bref moi j’ai commandé le mien la semaine derniere. Taux de chute 3.8 M/S à 130 Kg de PTV.
Et le parachute ne fait que 2 kg … (C’est le poids de mon rond actuel). J’ai lancé un post dans la rubrique secours. (beamer2…)

Enfin je te souhaite un bon rétablissement. Courage,

Benoit

Oui je suis entièrement d’accord avec toi sur le parachute dirigeable par rapport à tout ce que tu dis !

  • tiré plus haut
  • temps pour préparer l’atterro en douceur…ou presque

En fait quand j’ai acheté mon secours je ne pensais pas trop m’en servir si vite et j’ai juste regardé le poids et le prix…sinon oui pour 1000€ je veux bien être guéri tout de suite si qq sait faire :-)…bon tant pis je vais patienter encore 2 à 3 mois alors…

D’ailleurs si je veux continuer à apprendre un peu l’accro (juste SAT et Helico je m’arrêterai là ce sera déjà bcp…j’en suis au début pour le moment: wings) et comme je n’habite pas à Annecy je crois que je devrais vraiment réfléchir à ta suggestion :slight_smile:

Merci,
Dav

C’est quoi le rapport avec Annecy ? :slight_smile:

Sinon, concernant le dirigeable, c’est certes bien dans certaines situation, mais ça n’évite pas vraiment le surpilotage. Je reste persuadé (déjà dit en privé à david) que l’ouverture du secours aurait du se faire plus haut (on l’attendait tous en regardant la cascade de decro).

Bon rétablissement !

A propos de décro, il m’est arrivé un petit incident cet été : je vole avec un cocon sur lequel il y a du scratch devant, ça fait cockpit et j’y mets mon vario. Lors d’un de mes décros, mon vario s’est fait la malle et est allé faire 3 tours autour de ma commande gauche, me la bloquant 5cm au-dessus du mousqueton. Résultat : sortie de décro en départ d’autorot, à deux doigts de me faire quelques tours de twists. Moralité : mef aux instruments quand on veux jouer au c…

Dans la même serie, mais j’en ai deja parlé dans un post je ne sais plus ou ya quelques semaine, decro et au moment de relever les mains bien symétriquement, une de mes poignée (type T), c’est coincée dans le fil de l’accelero, qui remonte le long des élévateurs, et qui n’est pas toujours bien tendu… Mefiance à ca aussi donc

tant qu’à faire l’apologie du secours dirigeable, autant faire aussi celle du maillon largeur. Si on est prêt à mettre 900€ dans un secours, on peut bien rajouter 50€ pour un largeur.
Et tant qu’a y être, puisque le prix n’est pas un argument dans ton discours (attention, je ne polémique pas, hein !), on pourrait prendre un secours comme celui de Sup’air/RR ou de profly dont on parle dans un fil à coté qui semble encore plus efficace qu’un Rogallo tant qu’on est pas emmelé dans les suspentes de sa voile.