Des reines déchues... Des balles de guerre aujourd'hui enterrées

Bonjour,

Il pourrait éventuellement que ce soit ça…

J’ai longtemps volé avec la Météor, puis la Météor Gold, qui étaient toutes les deux des voiles très sympas, faciles d’accès et utilisables par des pilotes ayant peu d’expérience.
Rien à voir avec la Saphir !!!

Remarque : si on pouvait éviter de mettre des commentaires au milieu de textes cités par d’autres, ce serait sympa.
Voir au-dessus le message de THIERRY54 qui mélange un texte à lui au milieu de mon message qu’il cite !
C’est juste un problème de “quotes” mal placées ou oubliées…

:trinq:

Marc

quel boulet ce THIERRY54!!
Non seulement je ne reconnais plus les voiles de mes débuts et de plus je mélange ma prose avec celles des copains…
Trop pressé j’aurais du prévisualiser mon texte…désolé,je vais faire attention!

Quant à ma voile de début ,la raison voudrait que ce soit plutot une météor et pourtant…je questionnerai Régis cet hiver quand je le croiserai en snowkite sur les sommets vosgiens enneigés…mais on s’éloigne… :trinq:

jolis mamatus!!!

Je doute que Régis ait filé une Saphir à un “débutant”. Pour mémoire, elle avait une plus grande queue, contrairement aux arc de cercle de la Météor, elle représentait un damier.

Juste pour rire

La Saphir Must 255 était labellisée ACPULS Niveau 1
Alors que la Vega 11 du même constructeur, était sortie seulement Niv.2

La première -pure voile compé- gonflait très bien et était très stable… tant qu’elle était ouverte !

Car en fermeture en vol réel, les accélérations et chocs ressentis n’avaient vraiment rien à voir avec la Vega contemporaine, voile d’initiation

Les Must ont un temps écrasé la concurrence dans les compé réservées aux voiles “standard”

Le championnat espagnol classe Club a de même été dominé par les pilotes qui avaient pu acquérir des Carrera

Des échos de l’époque, la Véga, voile école, était plus chaude que l’intermédiaire, la Météor …

Tout est un éternel recommencement : aujourd’hui, le débat s’est reporté sur l’allongement -même si ce critère ne peut suffire à lui seul à définir l’accessibilité d’une aile- us égards aux risques de cravatte, à la gestion de l’aile au sol, etc.

Un aile allongée mais présentant un profil d’épaisseur relative importante (18 ou 19 %), centré en avant (facilitant un montage en trois lignes et fortement lobée, pourrait présenter un allongement projeté inférieur à une aile de la catégorie inférieure, lui donnant une stabilité supérieure à cette aile plus “accessible” en tangage commen roulis, tout en pouvant être neutre voire tendance instable spirale du fait de ce même lobe associés à des profils porteurs à haute incidence en plume (comme un kite).

Inversement, une aile présentant un profil moins épais (16 ou 17 %), présentant un allongement projeté relativement plus important pour la même envergure (à plat donc) montée en quatre lignes (école A. Paux!) peut s’avérer tout aussi manoeuvrante et efficace en ascendance tout en restant parfaitement stable spirale.

La leçon de tout ceci est que l’offre en matîère de parapente est plus riche que ce que le marketing veut bien nous le laisser le croire

Qu’il n’existe pas non pas une seule voie mais plusieurs en matière de conception et donc de comportements dans une même classe d’homologation

Nous tendons à l’oublier

Comme nous tendons à effacer de notre conscience toutes les adaptations, parfois imperceptibles, parfois moins, que avons du apporter à notre pilotage pour “coller” à chacune de nos nouvelles acquisitions

Nouvelle aile mystère (Spéciale dédicace - Mes meilleurs vœux Laurent)

https://i37.servimg.com/u/f37/17/49/83/26/stubai10.jpg

http://para2000.org/wings/cpproducts/cut.html

Du genre à faire des cauchemars :affraid:

http://para2000.org/wings/photos/cpproducts-cut.jpg

:bravo:

Une autre : Retour vers le Futur (proto 3 rangées de suspentes en… 92)


https://i37.servimg.com/u/f37/17/49/83/26/nova_p10.jpg

facile ,
Nova Phantom
Je l’avais essayée à l’époque :ppte:

Proto Phantom EX avec 3 rangées de suspentes basses et 59 caissons
Les voiles compé de l’époque avaient 4 ou 5 rangées de suspentes

La Phantom avait quatre rangées de suspente (un certain allongement pour l’époque - mon dernier vol sans parachute de secours fut mon premier vol sous ma Phantom 49 caissons !) http://www.parapentiste.info/forum/competition/des-reines-dechues-des-balles-de-guerre-aujourdhui-enterrees-t33387.0.html;msg428791#msg428791


https://i37.servimg.com/u/f37/17/49/83/26/apco_a10.jpg

Des perfo remarquables
Un virage perfectible
Le tissu Gelvenor :soleil:


https://i37.servimg.com/u/f37/17/49/83/26/parate10.jpg

Cf. http://www.parapentiste.info/forum/techniques-de-base-du-pilotage/la-relation-incidence-ressenti-pilote-t45756.0.html;msg582879#msg582879

http://www.expandingknowledge.com/Jerome/PG/History/Strange/Image/WING_DoubleTopSurface_SwingMinoa_VL_1994_05_p25.jpg

Un concentré d’innovation :

  • Double surface constituée par des pontages de tissus à l’extrados formant des cellules prismatiques alimentées par des évents positionnés à l’extrados du bord de fuite

  • Double commande permettant de générer un volet à la demande, soit plus accentué en plume (pour plus de manoeuvrabilté), soit réparti sur toute l’envergure (pour le taux de chute)

Inconvénients :

  • une construction lourde et un gonflage un peu laborieux

  • des commandes complexes, à déméler soigneusement

Une des meilleures ailes à Waga de l’époque… Si ce n’est LA meilleure !

A+
L

Profil creux et mince, lobe à la limite de l’instabilité en roulis… Une aile de connaisseurs… avertis

On en a connus, dont un bon qui pourtant finit dans les arbres… en waga, bien sûr

Faut pas mollir !

J’en ai connu un qui a fini au sol à Mieussy sans jamais pouvoir sortir de la fermeture induite par un wing à peine mal contrôlé. Pourtant un très bon pilote.
Mais moi j’ai adoré cette P4

A+
L

http://www.parapentiste.info/forum/competition/des-reines-dechues-des-balles-de-guerre-aujourdhui-enterrees-t33387.0.html;msg428602#msg428602

Autre inconditionnel de la P4 : Régis Laurent (Bol d’Air)
Allez les Vosgiens !

Ces souvenirs nous renvoient au récit d’un championnat de France homérique, où pyrénéens et vosgiens avaient “cassé la baraque” parce que la météo capricieuse n’avait pas permis de dérouler l’habituel processus discrinatoire de l’époque qui aboutissait immanquablement à les exclures faute de points (à moins d’accepter de faires plus d’un millier de km à chaque week-end de compé)

Les vosgien Régis L. et Christophe Mougin, mais aussi les pyrénéens (6 dans les treize premiers) Fréd Bugat, Marc Boyer, notre regretté cathare Laurent Combes, Didier Exiga, Bernard Ricaud et Francis Barraud, qui avaient pu enfin démontrer leurs compétences, comme quelques autres flibustiers chasseurs de trophées descendus pour l’occasion de massifs absents de la géographie fédérale pour monter à l’assault des Alpes

pour le double extrados et les doubles commandes tu parle de la minoa swing car mon pere en avait une et avant la prisma que j’avais recup