7 heures de pratiques plus tard les choses se sont mises en place. Plus de problèmes particuliers pour la repose au sommet avec éventuellement technique du pompage puis maintient de l’aile au dessus de ma tête (souvent je reste moins d’une minute posé et je redécolle). Le point de décrochage de l’aile est assez exigeant, il est subtil dans la sensation qui précède, il m’a fallu du temps pour décrypter comment l’aile fonctionne. Je précise que je n’ai jamais subi aucun décrochage avant d’avoir les pieds au sol.
En l’air les wings sont d’une amplitude qui n’ont rien de comparable avec mes autres ailes (j’en ai maintenant 4 et les utilise toutes). C’est comme ci mon cône de suspentage était beaucoup plus long. Un régal. La qualité de vol est également nettement au dessus de mes autres ailes, l’aile glisse dans l’air avec beaucoup de cohésion et ça plane vraiment mieux. J’apprécie d’avoir un débattement relativement court pour les commandes et juste ce qu’il faut en fermeté, ni trop ferme (ce serait fatiguant), mais suffisamment pour bien sentir l’aile. J’ai commencé les 360, mais j’engage très peu pour le moment.
Une machine très addictive