Je rejoints totalement Guy,
La pré-Qbi est là pour trier le grain de l’ivraie parmis les titulaires du BPC qui visent la Qbi. Comme la 1ère année en médecine pour les titulaires du baccalauréat qui espèrent être un jour docteur, on ne leur demande pas d’avoir une voiture.
Cette exigence d’une aile minima EN-ceci ou cela me semble vraiment être une dérive lié à un état d’esprit Alpin. L’exemple moto est non-pertinent car que penser alors du permis qui se passe sur une CB 500 et qui donne droit à l’Hayabusa de 200 cv ?
Puis surtout comment vérifier avec quelle type d’aile vole réellement le candidat BPC ? Ah oui… on la lui vendant.
Pour le “moment” le BPC relève de la responsabilité des ligues. Les candidats n’ont qu’à se renseigner et aller passer le brevet dans la Ligue avec l’école ou on les acceptera avec leur aile et ou les jugera sur leurs compétences vérifiées et non supposées.
Et sinon, que penseriez vous de moyens (petits ou grands événements, actions clubs ou ligues, outils d’auto - évaluation, etc.) qui permettraient sans forcément passer par la case “Brevet” d’avoir une évaluation assez précise de son niveau réel de competences (ce qui inclut ; connaissances théoriques, capacités technique, estimation de l’expérience, etc…)
Attention, je ne dis pas que cela soit simple d’imaginer, créer, proposer de tels moyens d’évaluation. Mais, il me semble que cela serait très complémentaires à ce que propose déjà l’action “Volez-Mieux”. En fait, je pense que pour être motivé et demandeur de formation, il faut être conscient de son vrai niveau, de ses réelles “faiblesses”.
Bien sûr que se présenter à un brevet fédéral donne des réponses mais on voit bien que d’une, c’est parfois compliqué question organisation et que de deux, si on est reçu on n’en sait pas forcément plus sur nos faiblesses et si on est recalé, on peut en être dégoûté et se dire ; basta ! (réactions humaines…)
Il faudrait des possibilités ludiques qui ouvrent des horizons et non pas les ferment.
Bonne soirées,