Désolé pour mes courts commentaires. Je ne suis pas un spécialiste de la longue prose, mais je vais essayer :grat:
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Ca ce serait associer une qualification à un niveau de matériel !
Pour le BPC on demande:
- Analyse & mental,
- Cadre de pratique
- Technique
et pour le valider: maitrise au sol, maitrise en l’air, gestion sécurité, performance.
Rien que tu ne connais pas. Nul part est demandé d’utiliser un type de matériel (et c’est sage de l’avoir fait).
Lorsque l’on passe une épreuve (sportive ou autre) on utilise le matériel que l’on connait (autrement on augmente les chances de se “planter”).
Alors pourquoi se priver d’un matériel “facile” à maitriser ? Serait-ce honteux ?
C’est quoi une “A” par rapport à une “B”, et alors plus loin une “B-” par rapport à une “B+” (l’homologation est-elle différente ?) …
Tout ça pour dire que si un prétendant au BPC vole avec une “A” et est capable de faire de la “performance”, il n’y a pas de raison de le sous-évaluer (bien au contraire).
Question pilotage, il y a des pilotes plus sages que d’autres et qui ne veulent pas se mettre dans des conditions et configurations hasardeuses (analyse et connaissance de soi) et choisissent un matériel en adéquation. Serait-ce de mauvais pilotes ? Alors pourquoi n’aurait-il pas accès au BPC ?
Note: Pour les voiles de début/progression/etc., certaines peuvent avoir des réactions assez surprenantes … ça tu as déjà dû t’en apercevoir.
Imaginons les conséquences directes …
A ma connaissance le BPC n’est qu’une porte d’entrée aux différentes qualifications fédérales. J’ai vu dans les différents commentaires que l’on associait BPC et qualif Bi.
Pour le biplace il y a une préformation puis la formation. Donc on se doit de former des “newby” et non de regarder si ils savent déjà utiliser un biplace (c’est le principe d’une formation). Alors dire qu’un Bi est “A, B, C” ne doit pas être un motif: on forme un pilote à une activité nouvelle.
J’ai le souvenir récent d’un formateur me demandant si une de mes connaissance avait le niveau pour entamer sa préfo. Les critères n’étaient pas la performance mais de savoir si il était capable de décoller et d’atterrir proprement/correctement pour éviter de se faire éjecter dés la préformation … (saine question par ailleurs).
Ce qui m’amène a dire que si on associe un type d’homologation de voile pour passer un brevet et d’ouvrir la “boîte de Pandore”. Voudrait-on
à court terme installer un système type usine à gaz avec par exemple: BI avec voile “A”, BP avec voile “B”, SIV avec voile “C” pour le BPC, etc., on ne ferait pas mieux. Mais que se passera t-il avec l’évolution des homologations déjà que les “C” deviennent des “B”; On parle même de A+ dans certaines littératures (germanique). Et que dire des différents comportements des ailes d’une même catégorie ! En parlant des “germains”, leurs réglementations sont bien plus dures & contraignantes que celles des “latins”, et si j’ai bons souvenirs (merci de commenter svp), leurs brevets sont associées aux sites pratiqués et voile/assurance …
Pour moi, un bon BPC et quelqu’un ayant, une bonne technique et une bonne analyse. Dans l’analyse il y a aussi l’adéquation pilote/matériel et l’honnêteté envers soit-même.