Je ne voulais plus intervenir sur ce sujet car ce qui s’est passé à ce moment-là a été longuement expliqué sur d’autres fils.
Mais quand je vois la façon complètement biaisée avec laquelle les faits en question sont relatés, je me sens forcé de préciser à nouveau un peu les choses pour les replacer dans leur contexte.
1/ Si SAAM/Vespieren n’était pas devenu le courtier de la FFVL, il n’y aurait jamais eu le moindre souci et en tant qu’assureur de la FELA il aurait pu continuer à appliquer évidemment les tarifs d’assurance vol libre qu’il voulait.
2/ A l’expiration du contrat liant la FFVL avec le courtier précédent (Air Courtage), la fédération a procédé à un appel d’offres à courtiers.
Au vu des dossiers envoyés par les différents candidats qui ont répondu, c’est la proposition de Vespieren qui a été retenue.
3/ En acceptant ce rôle Vespieren avait donc pour mission de défendre au mieux les intérêts de la fédération et des licenciés en matière d’assurances.
En lien avec la commission des Assurances, il a participé au choix des différents assureurs retenus par la fédération et il est devenu le lien entre la fédération et les assureurs fédéraux.
Mais il avait la particularité de proposer lui-même des assurances vol libre, en particulier auprès de la FELA.
De façon naturelle il a été proposé à Vespieren de devenir le courtier de la FFVL à condition de ne pas concurrencer celle-ci par la fourniture d’assurances vol libre, en dehors de la fédération, à des prix plus compétitifs que ceux proposés par l’assureur retenu par la fédération.
Vespieren ne pouvait en effet pas être à la fois le courtier fédéral (et donc avoir pour mission d’être le garant du meilleur produit d’assurance vol libre pour les licenciés) et concurrencer en parallèle la fédération en proposant directement aux pilotes des tarifs d’assurance plus attractifs.
L’acceptation de la mission de courtier (pour laquelle il avait postulé) impliquait de fait qu’il aligne ses propres produits d’assurance vol libre sur ceux pratiqués par l’assureur de la fédération.
Il ne s’agit absolument pas d’ingérence inacceptable, mais simplement de cohérence entre son rôle de courtier fédéral d’une part et son rôle d’assureur d’autre part.
Je croyais que ceci avait été compris par tous depuis longtemps, mais quand on lit la désinformation qui est faite sur ce fil par certains, cela laisse un peu rêveur ! :grat:
Je suis vraiment désolé d’avoir dû, une nouvelle fois, redire ce que j’ai déjà écrit de façon détaillée à plusieurs reprises sur ce forum.
Marc
et je rejoins Pïment et MARIUS sur cet aspect des choses.
